Nous ne reprendrons pas ici l’histoire circonstanciée de toute notre entreprise de sauvegarde du fonds telle que nous l’avons développée à l’orée du tome I des Oeuvres cpomplètes de Rabearivelo (CNRS Editions, 2010-2012).
Nous nous contenterons de la compléter en soulignant comment la découverte de la seconde Malle de documents, en février 2010, nous a contraints à revoir nos plans, élaborés dès la fin 2008. En effet, puisque notre travail a été dès l’origine placé dans une perspective génétique, l’apparition inopineée de nouvelles séries de manuscrits, souvent plus anciennes que celles dont nous disposions déjà, nous a forcés à reprendre des dossiers déjà bien établis et a compliqué notre approche. Toutefois, du point de vue scientifique, cette nouvelle manne fut une aubaine, car elle nous permit de conférer plus de profondeur chronologique à notre vision et de mieux comprendre l’évolution de l’écriture créatrice de JJR tout comme l’organisation qu’il souhaita donner à ses recueils. Ce fut surtout le cas pour des ensembles complexes comme Chants pour Abéone et Vers dorés, l’un destiné à évoluer dans le temps jusqu’à son édition en 1936, l’autre quasiment laissé en plan en 1931 et dont il fallait reconstituer la structure.
Nous ne reprendrons pas ici l’histoire circonstanciée de toute notre entreprise de sauvegarde du fonds telle que nous l’avons développée à l’orée du tome I des Oeuvres cpomplètes de Rabearivelo (CNRS Editions, 2010-2012).
Nous nous contenterons de la compléter en soulignant comment la découverte de la seconde Malle de documents, en février 2010, nous a contraints à revoir nos plans, élaborés dès la fin 2008. En effet, puisque notre travail a été dès l’origine placé dans une perspective génétique, l’apparition inopineée de nouvelles séries de manuscrits, souvent plus anciennes que celles dont nous disposions déjà, nous a forcés à reprendre des dossiers déjà bien établis et a compliqué notre approche. Toutefois, du point de vue scientifique, cette nouvelle manne fut une aubaine, car elle nous permit de conférer plus de profondeur chronologique à notre vision et de mieux comprendre l’évolution de l’écriture créatrice de JJR tout comme l’organisation qu’il souhaita donner à ses recueils. Ce fut surtout le cas pour des ensembles complexes comme Chants pour Abéone et Vers dorés, l’un destiné à évoluer dans le temps jusqu’à son édition en 1936, l’autre quasiment laissé en plan en 1931 et dont il fallait reconstituer la structure.
Sylves (poésie), Tananarive, Imprimerie de l’Imerina, 22,5 cm, 98 p., 1927.
Volumes (poésie), Tananarive, Imprimerie de l’Imerina, 24 cm, in 8o, 112 p., 1928.
Enfants d’Orphée (Quelques poètes, I) [essais sur les poètes Marcel Ormoy, Paul Fierens, Armand Godoy, Robert-Jules Allain, Georges Heitz], Port-Louis (Île Maurice), The General Printing & Stationery Cy. Ld., 19,5 cm, 84 p., 1931.
Presque-Songes (poésie) [poèmes hova traduits par l’auteur], présentation de Robert Boudry, eaux-fortes d’Urbain-Faurec, dite «édition 1933-1934 », Tananarive, éditions Henri Vidalie, Librairie des Arts Graphiques, 34630 cm, non paginé (78 p.), 1934.
éphémérides de Madagascar [éphémérides à partir des grandes dates de l’histoire malgache], recueil constitué par Eugène Jaeglé, Tananarive, Imprimerie de l’Imerina, 19 cm, 365 p., 1934.
Traduit de la Nuit (poésie) [poèmes transcrits du hova par l’auteur], avec deux hors-texte par émile Perrin, Tunis, éditions de Mirages, coll. Cahiers de Barbarie, no 6, 72 p., 1935.
Imaitsoanala, fille d’oiseau (cantate), Tananarive, Imprimerie Officielle, 29623 cm, 40 p., 1935.
Chants pour Abéone (poésie), Tananarive, éditions Henri Vidalie, Librairie des Arts Graphiques, 41,6 cm, 68 p., 1936.
Aux portes de la ville, imagerie populaire (théâtre), Tananarive, Imprimerie Officielle, 31 cm, 28 p., 1936.
Tananarive, ses quartiers et ses rues, en collaboration avec Eugène Baudin, bois gravés de Pierre Fonterme, Tananarive, Imprimerie de l’Imerina, 19,5 cm, 100 p., 1936.
Bibliographie secondaire :
Abraham, R., « À propos d’un anniversaire : suicide d’un poète », in Lumière no 1528-1530, Fianarantsoa, juillet-août 1965.
Adejunmobi, Moradewun, J.-J. Rabearivelo, Literature and Lingua Franca in Colonial Madagascar, New York, Peter Lang, 1996.
A.M.P., «À une ombre », in Le Journal de Madagascar franco-malgache , 7e année, no 532, Tananarive,29 juin 1937.
Andriamaharo, Ariane, Ecriture et création poétique dans l’oeuvre de Rabearivelo, le poète des contradictions, Thèse de troisième cycle, Université Paris XII, 1989.
Andriamalala, Emilson Daniel, « Jean-Joseph Rabearivelo », in Hehy, no 1774, Tananarive, 23 mai 1967, p. 2.
Andrianarahinjaka, Lucien Xavier Michel, « Rabearivelo et la traduction poétique », préface à Jean-Joseph Rabearivelo, Vieilles chansons des pays d’Imerina, Antananarivo, Madprint, 1974, pp. 5-15.
—, « Discours », in Jean-Joseph Rabearivelo, cet inconnu ? , Actes du colloque international de mai 1987, Marseille, Sud, 1989, pp. 9-16.
Andrianjafy Ratsihorimiamina, Danielle Nivoelisoa, « Jean-Joseph Rabearivelo, auteur d’une oeuvre romanesque inédite », in Jean-Joseph Rabearivelo, cet inconnu ?, Actes du colloque international de mai 1987, Marseille, Sud, 1989, pp. 121-135.
Auber, Jacques, « Jean-Joseph Rabearivelo (1901-1937) », in La Revue de Madagascar, Nouvelle Série, no 3, 3e trimestre, Tananarive, 1958, pp. 27-34.
Baudin, Eugène, « Imaitsoanala », in La Tribune de Madagascar et Dépendances, Tananarive, 26 novembre 1935, pp. 203-204.