FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


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Mot(s)-clef(s) recherché(s) : Christ en gloire

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "Jesus Christ."
  • Scénario 1875, § III, f° 494 : "Le bonhomme grandit, la cabane s’illumine. tout eclate. C’est Jesus-christ - l’enleve au ciel."
  • Scénario partiel, f° 470 : "Le bonhomme grandit. s’allongea. avec. le feu se ranimant jete une gde lueur. Sa tête touchait aux 2 murailles parois la cabane s’illumine tout eclate. C’est Jesus.-Christ. - l’enlève au ciel"
  • Brouillon, f° 444v° : "Le lepreux. . et son corps s’allongea. avec sa tete et les pieds, il touchait aux deux côtés de la cabane - B. à mesure que se sert serrait serré changemt progressif de sa figure. les yeux. - le front - se deplisse. les cheveux blonds blondirent rayons Le feu le Feu se s’anime, avec eclaire, jete une gde lueur. comm une clarté d’etoiles - blancheur de coupole - tout eclate. le toit s’envole. Le lepreux C’etait notre Seigneur Jésus qui l’emportait dans le ciel."
  • Brouillon, f° 447v° : "Alors le Lepreux l’etreignit se lev - et ses prunelles yeux tout à coup prirent une lueur d’etoiles - Ses rares cheveux blan Sa ses chevelure cheveux se leverent comm les rayons du soleil - Son sa peau prit une Son haleine eut la douceur des roses. avait douceur de colombe s’echappa - Les flots chantaient des un nuage d’encens s’eleva jaillit du foyer et il grandissait, gdisait touchant avec la sa tête et ses talons les deux parois murs de la cabane. Le feu se ran jaillit du foyer. Le toit s’envola. - le firmamt couvert d’etoiles -"
  • Brouillon, f° 446 : "Alors le Lepreux l’etreignit, - et ses prunelles tout a coup prirent une clarté d’etoiles, ses cheveux s’allongèrent comme les rayons du soleil le souffle de ses narrines avait la douceur des roses. Un nuage d’en s’eleva du foyer, les flots chantaient - B Et celui dont bras le serraient toujours il grandissait, grandissait touchant avec sa tete et ses talons les deux murs de la cabane ; le toit s’envola - le firmament se deployait. -"
  • Mise au net, f° 447 : "Alors le Lepreux l’etreignit - et ses yeux tout à coup, prirent une clarté d’etoiles, ses cheveux s’allongèrent se levèrent comm les rayons rais du soleil. Le souffle de ses narrines avait la douceur des roses. un nuage d’encens s’eleva du foyer ; les flots chantait chantaient."
  • Manuscrit définitif, f° 57 : "Alors le Lepreux l’etreignit ; et ses yeux tout à coup prirent une clarté d’etoiles. ; Ses cheveux s’allongèrent comme les rais du soleil. ; Le souffle de ses narrines avait la douceur des roses ; un nuage d’encens s’eleva du foyer, les flots chantaient."

Auteur : Sylvie Giraud
À Rome, en avril 1851, Flaubert prit de nombreuses notes dans les églises décorées de mosaïques du XIIIe siècle, œuvres de Pietro Cavallini (connu entre 1273 et 1321) marquées par l’influence byzantine.

Collection : Les images
Auteur : Sylvie Giraud

Collection : Les images
Auteur : Sylvie Giraud
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