FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

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Mot(s)-clef(s) recherché(s) : L'Éducation sentimentale

Auteur : Sylvie Giraud
L'énoncé du Carnet de travail appartient au scénario initial de L'Éducation sentimentale ; le roman s'appelait alors Mme Moreau.

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 170v° (NAF 17606) : "l'insurrection s'etait organisée les chefs de corps faisaient mettre aux soldats la crosse en l'air. fraternisation 11 Municipaux 8h. 9h. du mat. coup de fusils rue de l'echelle sur les app des xxx d'orleans 9 6 à 8 heures du matin le peuple de gré ou de force s'etait emparé de presque toutes les mairies α de cinq casernes. occupait tous les points stratégiques de l'interieur. port. St Denis place des vict. pointe St Eustache des le matin furie furie des barricades des femm encouragements 12. ça depassait les previsions Od. Barrot lui à la barric. Bonhomme"
  • Brouillon, f° 158v° (NAF 17606) : "La masse l'insurrection avait grandi et s'etait organisée pendant la nuit L'insurrection s'etait organisée – impulsion merveilleuse. de rue en rue de barricade en barricade des hommes vont de barricade en barricade. haranguer eloge febrile. tocsin – barricades. – et dès le matin furie de barricades Paris en est couvert et une furie de barricades les femmes y aidaient. encourageaient. - Ordres impossibles à transmettre. magasins d'armes de la rue St Honoré enlevé d'armes d'assaut"
  • Brouillon, f° 160v° (NAF 17606) : "L'insurrection s'etait organisée. formidablemt – impulsion unique de rue en rue, de barricade en barricade Des hommes surgis d'une eloquence febrile haranguaient avec une eloquence ferile. d'autres sonnaient le tocsin à pleine volée le magasin d'armes de la rue St Honoré etait enlevé d'assaut Les armuriers en donnaient On frappait portes des maisons pr avoir d'autres on forçait les pharmaciens à faire de la poudre on fondait des balles, on faisait des cartouches on aiguisait le fer. on forçait les pharmaciens à faire de la poudre. Les arbres des bds tombaient sous les coups de hache. Les vespasiennes, les bancs, les grilles, les balustrades, les becs de gaz. tout fut renversé arraché. – et Paris se reveilla au milieu des tout couvert d'un reseau de barricades"
  • Brouillon, f° 174v° (NAF 17606)
  • Brouillon, f° 3 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 4 (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 5 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 161v°  (NAF 17606) : "fusillade sur la Place du Palais-Royal, devant le chateau d'eau Mouches blanches sur la facade du ch. d'eau. = empreintes de balles"
  • Brouillon, f° 170v°  (NAF 17606) : "château-d'eau. on voulait delivrer 50 prisonniers que l'on croyait y être et qui avaient été relâchés. à droite vue du monument deux etages soutenus par quatre colonnes, engagés et deux ailes latérales percées chacune de trois fenetres. perron de qq marches. – au centre du premier etage. vasque etc. Les balles qui frappent les pierres font des mouches blanches. à droite Beaucoup de fumée, sifflement des balles à gauche. – barricade au coin de la rue de Valois."
  • Brouillon, f° 165v° (NAF 17606) : "Le poste du chateau d'eau, sur dans la Place du Palais royal. – et l'on On... croyait qu'il y avait ... et l'on attaquait pr delivrer cinquante prisonniers. Mais ils avaient été relâchés. qui n'y etaient plus depuis le matin. frederic s'arrête à l'angle de la rue St Honoré. à droite le Poste monument deux etages soutenus par 4 colonnes engagés – 2 ailes laterales percées de 3 fenetres – perron de qq marches au centre du 1er etage, vasque. en face, un peu à gauche hte barricade de la rue de Valois on se battait fumée. – par intervalles mouchetures blanches sur la pierre blanche grise"
  • Brouillon, f° 169v° (NAF 17606) : "Les abords Tuileries qui n'etait pas défendu et le poste du Chateau d'Eau où l'on et on l'attaquait pr delivrer afin de delivrer cinquante prisonniers – qui n'y etaient plus depuis etaient pas –"
  • Brouillon, f° 6 (NAF 17607) : "Frederic s'arreta au coin de la Place. forcement car car des groupes armées l'emplissaient à droite à droite à droite à droite des fantassins deux pelotons de la ligne occupaient et Fromenteau à droite à droite la les deux rue de Chartres et la rue St Thomas. – un peu à gauche, en face, une grosse barricade defendait enorme bouche la rue de Valois — et une masse et de la fumée se balançait à sa crête se balançait haute à sa crête en prolongeant la hauteur en prolongeant la hteur. Elle s'entr'ouvrit tout à coup sous un coup de vent des hommes à figures menaçantes qui couraient dessus en faisant de gds gestes ils disparurent, ils se renforcèrent Puis la fusillade recommença et les coups de feu repartirent Le Poste y repondait, sans qu'on vît dedans personne. à l'interieur – car car Car car les fenêtres percées defendues par des barrreaux, etaient  garnies defendues defendues de volets en chêne troués etaient percés meurtrières la façade du monument avec ses deux etages deux murs ses deux ailes, sa petite basse porte porte basse au milieu et sa fontaine qui coulait coulait avait qq chose de farouche. sa petite fontaine au premier et. Son perron de trois marches restait vide. sous le choc des balles commençait à se tacheter de mouchetures mouchetures. Le choc des balles. Les pierres noires qui se detachaient mouchetures blanches"
  • Mise au net, f° 5 (NAF 17607)
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