FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

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Mot(s)-clef(s) recherché(s) : La Légende de saint Julien l'Hospitalier

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
  • Scénario général, 1875, f° 492 : "− aime mieux être seul."
  • Scénario partiel, f° 408v° : "plaisir qu'il y prend - effraie un peu sa mère devient farouche veut chasser seule."
  • Scénario partiel, f° 418 : "aime mieux chasser seul"
  • Brouillon, f° 415v° : "- chasse au faucon. on le décapuchonne, il s'envole - combat dans l'air. - puis l'oiseau vient se remettre sur le poing. - grelot d'or"
  • Brouillon, f° 419v° : "Mais mepr Julien meprisait les pièges, preferait la chasse au faucon."
  • Brouillon, f° 420 : "l’oiseau panache de plumes. capuchon de cuir bouquet -"
  • Brouillon, f° 419 : "c’etait le plus souvent un gd faucon de Norvege blanc comm une (nl) cygne les pattes vertes, les pieds ble yeux le bord des yeux rouge α dont les pennes faisaient la croix. La bete ferme contre le vent se tenait posé sur le gantelet Le capuchon qui lui. couvrait toute Sa tete sauf le bec, etait surmonté d’un panache, embaigu embeguiné dans un son capuchon de cuir - une aigrette comme une fleur pieds. - des sonnettes d’or tremblaient à ses pieds, jambes α serrant dans de ses ses larg larges griffes le gantelet de cuir que son maitre portait au bras droit, - il se tenait ferme contre le vent malgé la rapidité de la course"
  • Brouillon, f° 451v° : "C’etait, le plus souvent presque toujours un gd faucon gd Tartaret de Norvege d'irlande Scandinavie C'était presque toujours ordinairement un gd tartaret de Scythie blan comm la neige. Le capuchon qui enveloppait toute sa tête sauf le bec, - etait bleu surmonté d’un panache, des grelots d’or tremblaient a ses pieds bleus, d'aplomb à plein α serrait de ses larges griffes debout monté sur poing le gantelet de cuir que son maitre portait au bras droit, il se tenait ferme contre le vent malgré la rapidité de la course pendant que Le cheval galoppait, les plaines se deroulaient."
  • Brouillon, f° 429v° : "c’etait presque toujours un gd tartaret de Scythie, blanc comme la neige Son capuchon de cuir etait surmonté d’un panache, des grelots d’or tremblaient à ses pieds bleus - α et debout sur le gantelet de son maitre, il se tenait ferme sur le poing gantelet de son maitre sur le poing pendant que il se tenait ferme contre le vent et serrait dans ses griffes le gantelet de son maître sur le bras pendant que le cheval galoppait α que les plaines se deroulaient."
  • Manuscrit définitif, f° 37 : "C'était presque toujours un gd tartaret de Scythie, blanc comme neige. Son capuchon de cuir était surmonté d'un panache, des grelots d'or tremblaient à ses pieds bleus et il se tenait ferme sur le bras de son maître pendant que le cheval galopait, et que les plaines se déroulaient."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 (aucune mention)
  • Scénario général, 1875, f° 493 (aucune mention)
  • Brouillon, f° 433 : "Tue des monstres. comme la gargouilles tue un monstre qui ravageait le pays de X. ."
  • Brouillon, f° 432v° "c’est lui α non pas X comme on l’a pretendu qui tua X (= la tarasque d’Avignon Il tua des monstres C’est lui α non X comme on l’a pretendu qui tua la X = (gargouille de Tarasc)"
  • Brouillon, f° 462v° : "C’est lui α non X qui tua la X = (tarasque d’Avignon). pas le sire de St Ubert. le sire Hans de Frankes cte de lui α non pas. le cte de Frankestein le Frankestein piemontais qui tua la guivre de Milan guivre de Milan, α le dragon de X α la C + dragon d’Oberbirbach. Gilles seigneur de Chin, le dragon de Wasmes en Hainaut"
  • Brouillon, f° 456 : "c’est lui, α non le pas un autre extermina sire Ubert piemontais, lui α non plus le comte de Frankestein qui tua 1 la guivre de Milan, ⎣α le dragon d’Oberbirbach]. α le dragon d’Ober assomma la guivre de Milan α qui etrangla le dragon 2 d’Oberbirbach le dragon du Hainaut α la"
  • Brouillon, f° 434 : "c’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."
  • Manuscrit définitif, f° 43  : "C’est lui, α pas un autre, qui assomma la guivre de Milan α le dragon d’Oberbirbach."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "amour de la chasse"
  • Scénario général, 1875, f° 492 : "− aime mieux être seul."
  • Scénario partiel, f° 408v° : "plaisir qu'il y prend - effraie un peu sa mère devient farouche veut chasser seule."
  • Scénario partiel, f° 418 : "aime mieux chasser seul"
  • Brouillon, f° 415v° : "- chasse au faucon. on le décapuchonne, il s'envole - combat dans l'air. - puis l'oiseau vient se remettre sur le poing. - grelot d'or"
  • Brouillon, f° 419v° : "Mais mepr Julien meprisait les pièges, preferait la chasse au faucon."
  • Brouillon, f° 420 : "il le decapuchonnait retirait son capuchon d'un d’un mouvemt preste α filant en ht l’oiseau, montait. - combat dans les airs -"
  • Brouillon, f° 419 : "Julien apercevait qq chose un point noir dans le ciel. Julien desarmait le fauçon otait l’oiseau debridait les longes le lançait d’un fort mouvemt. Mais tout à coup Julien s'arrêtait tout coup subitemt lâchait q fois un cri rauque. il avait apercu un milan au dessus de lui decapuchonnait l'oiseau, ouvrait la main qui tenait ses longes, donnait une secousse - la bête hardie montait dans l’air, droit dans l'air comme une flèche - α l’on voyait deux larges points noirs tourner decrire des lignes courbes sur le ciel, se rapprocher se joindre, α bientôt se perdre puis disparaitre dans les profondeurs hauteurs infinies de l’azur. - descendre α peu à peu. le combat. durait qq temps pas. puis au rappel sans leurre, avoir besoin avoir besoin il revenait se replacer juste sur le poing tout - fremissant de colère la poit. - du sang sur ses α rouge de sang avec du sang à la guêle guele la gueule sanglante α frem tout encore de plaisir α tout fremissant enivré de plaisir. Puis le faucon ne tardait a redescendre tenant ayant dans ses pattes un milan qu'il dechiquetait α quand il ne restait plus de son mâtin qu’un ventre ouvert a des plum epars pennes dispersés plumes"
  • Brouillon, f° 451v° : "Mais Julien s’arrêtait brusquemt, tout a coup decapuchonnait desarmait l’oiseau, ouvrait ses longes, donnait une le lançait d’une brusqumt le jetait brusquemt secousse. la bête hardie montait droit droit en l’air comme une fleche α l’on voyait α il repartait dans α le voir deux points noirs decrire des cercles courbes sur le ciel, se rapprocher, se rejoindre, puis se joindre puis α disparaitre dans les hauteurs infinies infinies de l’azur. Le faucon ne tardait pas à descendre ayant liant dans ses pattes griffes un milan autre oiseau qu’il dechiquetait, rait - α quand il n’en restait plus que les pennes dispersées, - il revenait se placer juste de lui-même pr de lui même sur le poing. des morceaux de viande à la gueule α tout fremissant encore. les deux ailes fremissantes de plaisir"
  • Brouillon, f° 429v° : "Julien s’arrêtait denouait son mai les liens denouait ses longes le lâchait tout à coup decapuchonnait l’oiseau, ouvrait ses longes, les lançait brusquement, la bête hardie montait droit en l’air comme une flèche, - α il regardait (nl) on voyait deux larges taches inegales tourner points noirs decrire deux courbes sur le ciel, au loin puis se joindre α et puis puis disparaitre dans les hauteurs de l’azur. Mais Le faucon ne tardait pas à redescendre, Puis redescendait tout en liant dans ses griffes un autre serrant dechirant de ses griffes qques oiseau qu’il dechirait dechiquetait α la - α quand il n’en restait plus que les pennes dispersées il revenait a de lui-même α repus α α de lui même puis α de lui mê puis poser juste se placer placer placer se poser placer poser placer sur le poing gantelet , les deux ailes fremissantes."
  • Manuscrit définitif, f° 37 : "Julien, denouant ses longes, le lâchait tout à coup ; la bête hardie montait droit d en l’air comme une flèche ; α l’on voyait deux taches inegales tourner, se joindre, puis disparaître dans les hauteurs de l’azur. Le faucon ne tardait pas à descendre, tout en dechirant un oi qqu’oiseau, α revenait se placer poser sur le gantelet, les deux ailes fremissantes."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.

  • Plan, 1856, f° 490 : "I. education - chateau."
  • Scénario, 1875, f° 492 : "- enceinte, tours, jardin, verger, mail, chapelle, pigeonnier, etc -"
  • Scénario partiel f° 409v° : "− De l'autre côté les ecuries, le chenil, le moustier, l la meunerie magasin − la grange. − le pressoir. la basse cour, le pigeonnier. − un mail."
  • Brouillon f° 410v° : "De l’autre coté, de l’occident, De l’autre coté se trouvait le chenil, les ecuries, la fauconnerie, le pressoir les granges lpressoir α le pigeonnier colombier − s’etendaient de l'autre coté − de gazon un paturage [d’herbes tres verte] comm une large ceinture verte d’herbe verte"
  • Brouillon f° 411v° : "De l’autre côté se trouvait le chenil les ecuries la. la fauconnerie le pressoir α les granges. un paturage de gazon vert s’etendait autour de cette seconde enceinte se developpait tout autour comme une large ceinture verte, α etait lui-même enclos par un fossé que dominait une forte haie d’epines."
  • Mise au net f° 437v° : "De l’autre côté, se trouvaient le chenil les ecuries, la fauconnerie, le pressoir α les granges. un paturage de gazon vert se develo developpait tout autour, enclos lui-même dans une forte haie d’epines."
  • Manuscrit définitif, f° 31 : "De l’autre côté se trouvaient le chenil, les ecuries la boulangerie, le pressoir a les granges. Un paturage de gazon vert se developpait tout autour, enclos lui-même d’une forte haie d’epines."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.

  • Plan, 1856, f° 490 : "I. education - chateau."
  • Scénario, 1875, f° 492 : "Jamais il n'y eut meilleurs parents - ni d'enfant mieux élevé que le petit Julien Ils habitaient un chateau, sur une montagne boisée, ensemble dans le paysage. - enceinte, tours, jardin, verger, mail, chapelle, pigeonnier, etc - le tout dans peu fortifié, α dans une enceinte de haies d'épines - vu en pente α d'un seul coup d'oeil comme un plan. Aspect doux"
  • Scénario partiel f° 409v° : "Jamais il n'y eut d'enfant plus joli que le petit Julien ni de meilleur parents que son le père α la mère du ils habitaient un chateau, au milieu dans des bois, sur la pente d'une colline dominant au fond d'une large vallée. - - - Il etait carré comme une forteresse La facade, regardait le Midi - α portait montrait au dessus de la porte les armes du seigneur gravés en relief dans un ecusson de granit le derrière le Nord. aux angles les quatre tours etaient reliées par des courtines rondes α trapues α très grosses avaient un toits pointu couvert de lam de plomb. comm de l’argent et brillaient au soleil après les pluies d’orages comm des cornets d’argent la fleche de la chapelle depassait - les deux cotés. plus longs montaient un peu [entouré d’un gd fossé où poussaient des herbes [.Les chaines des pont-levis rouillés car on n’etait pas en quête. - les hirondelles sous les mangonneaux. - α la sentinelle dormait dans l’echauguette ] et ses courtines percées de meurtrières avaient l’air de lame de scies scie posées sur des murs obliques ayant des rochers blocs à la base. - fossés − la cour intérieure dallée citerne gdes gouttières gds lezards. galerie porche couvert − promenoir. − vases de fleurs ψ ψ aux fenetres etroites citerne − dalles lisses net α lisse comm le pavé d’une eglise. La seconde enceinte. en dehors du chateau, α compris dans la seconde enceinte il y avait sur le coté droit. verger − d’arbres fruitiers, tous à têtes ronde pompon − d’un coté. un parterre bien taillé les fleurs faisant les armoiries entrelacs. chiffres des broderies − une treille à l’italienne pr le frais en eté un jeu de mail où pr exercer les pages. − De l'autre côté les ecuries, le chenil, le moustier, l la meunerie magasin − la grange. − le pressoir. la basse cour, le pigeonnier. − un mail. − Dans la 3e 1ere enceinte les champs, artisans cabanes − Le tout compris dans un fossé, planté de houx."   
  • Brouillon f° 410v° : "Jamais il n'y eut de meilleurs parents que le père α la mère du petit Julien. Ils habitaient un chateau au milieu des bois, sur la pente d'une colline. La facade regardait le midi. α montrait au dessus de la porte les armes du Seigneur, seigneuriales maitre gravées taillés en relief dans un ecusson de granit. Les quatre tours ogivales aux angles, rondes α très grosses ovales α avaient des toits pointus recouverts de lames d’e d’ecailles de plomb [α qui brillaient de loin au soleil après les pluies d’orage comme des cornets d'argent.] - α Les longues courtines, percées regulieremt de meurtrières, semblaient des lames de scies herissant et dominaient le haut avec machicoulis avec ma[ch meurtrières machicoulis α crenaux qui les reliaient alignaient entr’elle allaient de l’une à l’autre des murs. - ils etaient obliques pr mieux repousser les assauts à demi enfouis dont la base des murs - dont s'appuyait sur des quartiers de rochers. de rocs inegaux. à demi cachés inegaux - - dans les herbes fossés exhaussant la profondeur des douves faisant dans les douves de gros mamelons inegaux de l’autre à l’autre s’etendait une courtine avec des alignements leurs crenaux symetriques pareilles à des aux dents d'une scie Dans la cour interieure, les appartements logemts du rez de chaussée s’ouvraient sur un galerie couverte à arcades qui servait de promenoir. Les dalles de la cour étaient lisses vides. α propres comm le pavé d’une eglise - une galerie soutenue par des piliers la bordait regulièremt. les gouttières - etaient de gds lezards, representant dragons la queue en ht. la tete en bas crachaient de l’eau dans une des rigole qui se versait dans - dans - une citerne - α sur le rebord des fenetres à tous les etages Des pots de fleurs à toutes les fenêtres de terre un basilique ou heliotrope s’epanouissait. - etroites α les dalles etaient lisses a propres comme le pavé d’une eglise en dehors du chateau, α Il y avait en dehors du chateau une seconde. α compris dans une même enceinte send enclos faite de pieux : Elle contenait comprenait il y avait le v du té de l’orient, d’abord un verger d’arbres à fruitiers tous à tête ronde, taillés en boule. comme des chantres − ensuite et puis un parterre où les fleurs - - dessinaient des broderies α des entrelacs formaient dessinaient de chiffres puis puis ensuite une treille pr se promener prendre le frais pendant les soirs d’eté − α un jeu de mail, pr le qui servait au divertissemt des pages pendant. De l’autre coté, de l’occident, De l’autre coté se trouvait le chenil, les ecuries, la fauconnerie, le pressoir les granges le pressoir α le pigeonnier colombiers’etendaient de l'autre coté − de gazon un paturage [d’herbes tres verte] comm une large ceinture verte d’herbe verte"  
  • Brouillon f° 411v° : "Jamais il n'y eut de meilleurs parents que le père α la mère du petit Julien. Ils Le père α la mère de Julien habitaient un chateau, au milieu des gds gds bois, sur la pente d'une colline. La facade regardait le midi ⎣− α montrait au dessus de la porte, les armes du maître gravés en relief dans un ecusson de granit.⎤ Les quatre tours, aux angles, ⎣ rondes α très grosses, ⎦ avaient des toits pointus recouverts d’ecailles de plomb de l’autre l’un à l'autre, s’etendait une courtine avec des d’ crenaux symetriques pareils aux dents d'une scie. . α la base des murs epais de quinze coudées s’appuyait sur des quartiers de roc, faisant abruptemt. devallaient obliquemt. dans les douves, des mamelons inegaux qui descendaient for en mamelons raides jusqu’au fond des douves devalaient en mamelons inegaux inegalemt Les dalles pavés de la cour etaient nettes comme le pavé dallage d’une eglise. [une galerie soutenue par des piliers la bordait circulait regulieremt.] Les de longue gouttières representant figurant des dragons, la tete gueule en h en haut ⎣la gueule en bas⎟, crachaient de l’eau des pluies vers dans des rigoles qui se deversaient dans une la citerne − α sur le bord des fenêtres, à tous les etages, dans un pot de terre d’argile d'argile. peinte, un basilique ou un heliotrope, s’epanouissait. Il y avait⎟en dehors du chateau. Une seconde enceinte, faite de pieux − et qui Elle comprenait d’abord du côté de l’orient. d’abord un verger d’arbres à fruits. taillés en boules, ensuite puis ensuite un parterre où les combinaisons fleurs⎣formaient des entrelacs⎤ dessinaient des chiffres, puis venait puis une treille avec des berceaux pr prendre le frais, α un jeu de mail qui servait au divertissement des pages. De l’autre côté se trouvait le chenil les ecuries la. la fauconnerie le pressoir α les granges. un paturage de gazon vert s’etendait autour de cette seconde enceinte se developpait tout autour comme une large ceinture verte, α etait lui-même enclos par un fossé que dominait une forte haie d’epines."
  • Mise au net f° 437v° : "Le père α la mère de Julien habitaient un chateau, au milieu des gds bois, sur la pente d'une colline. Les quatre tours aux angles avaient des toits pointus recouverts d’ecailles de plomb α la base des murs s’appuyait sur des quartiers de roc qui devalaient abruptement jusqu’au fond des douves. Les pavés de la cour etaient nets comme le dallage d’une eglise. De longues gouttières figurant des dragons la gueule en bas crachaient l’eau des pluies vers la citerne. − α sur le bord des fenêtres, à tous les etages, dans un pot d’argile peinte un basilique ou un heliotrope s’epanouissait. une seconde enceinte, faite de pieux, comprenait d’abord d’abord un verger d’arbres à fruits Le père ensuite un parterre, où des combinaisons de fleurs dessinaient des chiffres, puis une treille avec des berceaux pr prendre le frais α un jeu de mail qui servait au divertissement des pages. De l’autre côté, se trouvaient le chenil les ecuries, la fauconnerie, le pressoir α les granges. un paturage de gazon vert se develo developpait tout autour, enclos lui-même dans une forte haie d’epines."
  • Manuscrit définitif, f° 31 : "Le père et la mère de Julien habitaient un chateau, au milieu des bois, sur la pente d’une colline. Les quatre tours aux angles avaient des toits pointus recouverts d’ecailles de plomb et la base des murs s’appuyait sur des quartiers de roc qui devalaient abruptement jusqu’au fond des douves. Les pavés de la cour etaient nets comme le dallage d’une eglise. De longues gouttières figurant des dragons la gueule en bas, crachaient l’eau des pluies vers la citerne ; - et sur le bord des fenêtres, à tous les etages dans un pot d’argile peinte un basilique ou un heliotrope s’epanouissait. une seconde enceinte faite de pieux comprenait d’abord un verger d’arbres à fruits, ensuite un parterre où des combinaisons de fleurs dessinaient des chiffres, puis une treille avec des berçeaux pr prendre le frais, a un jeu de mail qui servait au divertissement des pages. De l’autre côté se trouvaient le chenil, les ecuries la boulangerie, le pressoir a les granges. Un paturage de gazon vert se developpait tout autour, enclos lui-même d’une forte haie d’epines."

 

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan 1856, f° 490 : "II Prediction du cerf."
  • Scénario 1875, § I, f° 492 : "- Le cerf."
  • Scénario partiel, f° 425 : "- un cerf, sa biche, le faon."
  • Scénario partiel, f° 451 : "- un vieux, la biche, le faon"
  • Scénario partiel, f° 427v° : "un vieux cerf, une biche qui broutait la mousse. et son faon. - Le faon tacheté - - - - la biche broutait - - - le cerf (à barbe) à barbe regardait, la tête tournée."
  • Brouillon, f° 429 : "Le cerf avait  allait devant tout noir et qui etait prodigieux portait 16 24 16 andouillers. . . et noir de taille une gde barbe - avait l’air d’un patriar."
  • Brouillon, f° 427 : "Le cerf qui était noir et monstrueux merveilleux et monstrueux de taille, portait seize andouillers avec une barbe blanche".
  • Manuscrit définitif, f° 39 : "Le cerf qui etait noir et monstrueux de taille portait seize andouillers avec une barbe blanche."

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario, 1856, f° 490 : "le lépreux. passage."
  • Scénario, § III, f° 494 : "il allume sa lanterne. - Le bateau glisse comme sur des patins. Le lepreux -"
  • Scénario partiel, f° 470 : "- rien que les deux yeux du mendiant et la lanterne."
  • Brouillon, f° 448 : "Des oiseaux aveuglés par la lumière de la lanterne se cognaient contre la vitre de corne - Alors les rayons des yeux du lepreux immobile il se tenait debout contr comm une colonne -"
  • Brouillon, f° 449 : "de temps à autres attirés par la lumiere de la lanterne se cognaient abrités aveuglés par La Sa petite lanterne à vitre de corne faisait un point jaune brillait devant lui. Des oiseaux de gds temps à autres, pass voletaient autour attirés par sa lumière voletait voletaient à l’entour et la cachaient par intervalles alors il ne voyait plus que Mais il apercevait toujours les deux prunelles fixes du lepreux qui se tenait debout à l’arrière immobile comm une colonne -"
  • Brouillon, f° 445v° : "Sa petite lanterne brillait devant lui. Des oiseaux,en voletant en voletant attirés par sa lumière voletaient à l’entour, qque sa lueur attirait passaient dev la cachant qqfois  par intervalles par intervalles - Mais il apercevait toujours les prunelles fixes du lepreux qui se tenaient tenait restait debout à l’arrière, immobile comme une colonne -"
  • Brouillon, f° 446v° : "Sa petite lanterne brûlait brillait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. - Mais toujours, il apercevait les prunelles du lepreux qui se tenait debout à l’arrière immobile comme une colonne -"
  • Mise au net, f° 444 : "Sa petite lanterne brûlait brillait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. Mais pe et Mais toujours il apercevait les prunelles du lepreux qui se tenait debout, à l’arrière, immobile, comme une colonne."
  • Manuscrit final, f° 55 : "Sa petite lanterne brûlait devant lui. Des oiseaux en voletant la cachaient par intervalles. Mais toujours il apercevait les prunelles du lepreux, qui se tenait debout à l’arrière, immobile comme une colonne -"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, 1856, f° 490 : "IV. Dans son chateau (sombre. le bien differencier du paternel. −"
  • Scénario général, 1875, f° 493 : "son chateau. dans un pays meridionales."
  • Brouillon, f° 478 : "Interieur du chateau. successi succession de galeries ornées arcs en fer à cheval ; − silence de mosquée"
  • Brouillon, f° 464v° : "à l’interieur succession Des portes cintrées s’ouvraient sur. des galeries A en enfilade. . Des colonettes. . arcs en fer à cheval, carreaux de faïence, jets d’eau. . ebène − incrustations de nacre. des mille delicatesses d’architecture − des des ornements aux plafonds imitaient les stalactites le des grottes. nacre ebène sur les lambris d’ebène. silence d’eglise, silence que l’on entendait le frolemt d’une echarpe contre le mur ou l’echo d’un soupir. vitraux. avec dans les cours, des mosaïques sur les dalles B. ? assemblages des accouplemts de colonnettes, minces comm des roseaux supportaient. . . la voute des coupoles où des ornemts imitaient les stalactites des grottes et il y avait des jets 2 d’eau dans les chambres des mosaïques 1 mille delicatesses dans les cours, mille des cloisons festonnés les vitraux peints refletaient sur les nattes, des rosaces des entrelacs de couleur. exprès treillages de bois doré − des cages d’or laissaient passer l’air. un l’air frais passait − des arabesques On voyait dans les appartemts les plus sombres etaient eclairées par les incrustations des murs."
  • Brouillon, f° 458 : "− Par Le cintre Des htes portes cintrées leurs ceintres ouvraient on apercevait s’ouvrait sur des galeries en enfilade A des assemblages de colonnettes minces (nl) comm des roseaux supportaient la voute des coupoles, ⎣où des ornements de voutes (nl) ornée garnies de reliefs legers pareils − − − − imitait d’en bas les stalactites des grottes A B Les appartem les plus obscurs etaient eclairés par les m se trouvaient eclairés ou il (nl) par les incrustations des (nl) treillages ⎣Des vitraux refletaient sur les nattes dalles des entrelacs de couleur] des il y avait, avec D Il y avait des mosaïques dans les cours, des jets d’eau dans les chambres, des cloisons festonnées, mille delicatesses d’architecture Le crepuscule des Les appartements etaient les plus obscurs etaient se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles − C partout un tel silence que l’on entendait le frolemt d’une echarpe ou l’echo d’un soupir."
  • Brouillon, f° 459 : "⎣Le cintre des portes s’ouvrait sur les galeries en enfilade⎦. L’ombre dans Les appartements les plus obscurs à decor dor se trouvaient etaient se trouvait (nl) Les chambres pleines de crepuscule sombres eclairés par les incrustations des murailles Des assemblages des larges de De htes colonnettes, minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorée ornée de reliefs imitant figurant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les chambres, salles des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées, ouvragées mille delicatesses d’architecture et partout un tel silence, que l’on entendait le frôlement d’une echarpe ou l’echo d’un soupir."
  • Brouillon, f° 470v° : "Les chambres, pleines de crepuscule se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles. De hautes colonnettes, minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorées ornées de reliefs imitant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les salles, des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées, mille delicatesses d’architecture – α partout un tel silence que l’on entendait le frôlement d’une etoffe echarpe ou l’echo d’un soupir."
  • Manuscrit définitif, f° 44 : "Les pl chambres pleines de crepuscule se trouvaient eclairées par les incrustations des murailles. De hautes colonnettes, colonettes minces comme des roseaux supportaient la voute des coupoles, decorées de reliefs imitant les stalactites des grottes. Il y avait des jets d’eau dans les salles, des mosaïques dans les cours, des cloisons festonnées mille delicatesses d’architecture. − α partout un tel silence que l’on entendait le frôlement d’une echarpe ou l’echo d’un soupir"
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