FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

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Mot(s)-clef(s) recherché(s) : Parricide

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Scénario, 1856, f° 490 : "le clair de lune l’avait excité à la chasse. rentre. - tue"
  • Scénario, § II, f° 493 : "Les deux vieux couchés Julien tâte les bonnets la barbe et les cheveux - meurtre."
  • Scénario partiel, f° 480 : "et comm il eta se penchait pr la baiser au front, il sent sous au dela sa main une barbe. - Il tâta plusieurs fois. ne s’est pas trompé. trouble. – puis fureur subite, enragée. - p c’etait un av homme, et cet homm etait l’amant de sa femme. – Jalousie. Comme si un volcan en lui eut eclaté, tira son coutelas. - et les egorge."
  • Scénario partiel, f° 436v° : "et allongeant le bras pr l’embrasser. il sentit sous sa main une barbe. comm une toison legère alors il Julien se recule recula, croyant qu’il se s'etre qu’il s’etait trompé, qu’il est et ayant peur de devenir croyant qu’il devenait fou. – il tâte encore. très emu C’etait bien la C’etait bien une barbe d’un homme, et pas fureur subite et jalousie persuadé que c’etait sa femme couchée avec son amant un hom sa femme. comme si un volcan eut eclaté en lui, Ce qu’il sentit, il ne put se le rappeler, M - une douleur atroce - une (nl) le se precipite sur eux comm un tigre. tire son poignard cimetère comm un dechiremt de tout son être - poignard. - bien dirigé. . deux coups."
  • Brouillon, f° 454 : "Et comme il lui passait le bras gauche sous la tête, - en mêm temps qu’il allongeait le bras droit pr l’embrasser, il sentit sous sa main qque chose de pareil à une toison. une barbe. - Tout de suite Julien se recula sûr de s’etre trompé, croyant qu’il devenait fou Il... tâte tr.. très emu... C’etait bien la barbe et un homm – Un homm couché avec sa femme ! Ce fut com Eclatant d’une colere demesu Ce qu’il ressentit, il ne put se rappeler. Une douleur atroce - un dechiremt de tout son être - comm si un volcan eut eclaté en lui. Tout de suite une colère demesurée eclata en lui dans son coeur comm un volcan.- tira son poignard, il se rua comm un tigre sur les deux corps endormis - deux coups. et les assassina à coups de poignards."
  • Brouillon f° 453 : "Quand il fut au bord pr baiser sa femme au bord, il se pencha sur l’oreiller, afin de baiser sur le front sa femm où les deux têtes reposaient etaient l’une près de l’autre Alors sentit contre sa bouche l’impression d’une barbe. Il se recula, sûr d’etre trompé croyant qu’il devenait devenir fou. Il Mais Puis il revint près du lit - et ses doigts palpant de nouveau qu rencontrèrent des cheveux qui étaient très longs. Alors Sa poitrine il respira largement. Soupira de bonheur - et délivré respira à pr mieux se convaincre mieux de son erreur il repassa lentement sa main avec ses doigts sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette f cette fois ! - un homme - un homme couché avec sa femm ! Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur les deux corps et les assassina sur eux à coups de poignard."
  • Mise au net, f° 435 : "Quand il fut au bord, afin de baiser sa femme sur le front, il se pencha vers sur l’oreiller, où les deux têtes reposaient l’un près de l’autre alors il sentit contre sa bouche l’impression légère d’un imp barbe Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit et ses doigts en palpant, rencontrèrent des cheveux qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentemt sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois - et un homm un homme couché avec sa femm. Eclatant d’une colère demesurée, il bondit sur eux à coups de poignards"
  • Manuscrit final, f° 50 "Quand il fut au bord, afin d’embrasser sa femme, il se pencha sur l’oreiller ou les deux têtes reposaient l’une près de l’autre. Alors, il sentit contre sa bouche l’impression legère d’une barbe. Il se recula, croyant devenir fou. Mais il revint près du lit, et ses doigts en palpant rencontrèrent des cheveux, qui etaient très longs. Pour se convaincre de son erreur, il repassa lentement sa main sur l’oreiller. C’etait bien une barbe, cette fois, et un homme ! - un homme couché avec sa femme. Eclatant d’une colère demesurée il bondit sur eux, à coups de poignard"
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