FLIM - Flaubert et le pouvoir des images

FLIM - Flaubert et le pouvoir des images


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Type de document : Personnes

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 21v° (NAF 17607) : "Mr D a plus peur que tous les autres l'absence de gouv. l'epouvante."
  • Esquisse, f° 15v° (NAF 17607) : "Mr D a plus peur que tous les autres Celui qui avait le plus peur de tous c'etait Mr Dambreuse. - les bêtises qu'il fait : restreint sa depense, se dit ruiné, vend ses chevaux, renvoya ses domest pense à se laisser croître la barbe etc"
  • Brouillon, f° 30 (NAF 17607) : "Celui qui avait le plus peur de tous qui. . c'etait Mr Dambreuse. Ab D'abord abassourdissement renversement de toutes ses idées Comment ça se faisait-il - L'experience trompée ! rentra son argent, cria misère, se proclama pauvre. restreignit sa depense, renvoya ses domestiques, vendit ses chevaux pensa même à se laisser pousser croître la barbe. A B restait chez lui prostré. lisait tous les brochures et les journaux contraires à son opinion, s'en repaissait amèrement. tellemt sombre que Les plaisanteries sur la pipe de Flocon ne le faisaient pas sourire."
  • Brouillon, f° 33 (NAF 17607)
  • Brouillon, f° 43v° (NAF 17607)
  • [...]

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 177 (NAF 17607) : "Enfin il part le soir du 4ème jour. le lundi - le 25 juin etait jour de la Fête-Dieu. (26) ça finit à 12 heures - le matin vers midi Aspects de Paris."
  • Esquisse, f° 106v° (NAF 17608) : "Des bourgeois en voyant des garde-nationaux, se livrent à des contors frenet"
  • Esquisse, f° 170 (NAF 17608) : "des bourgeois, en voyant les garde-nationaux, se livrent à des contorsions de joie frenetique - crient, dansent car car la victoire est assurée. le feu avait recommencé à 4 h. fg du temple il cesse à 10 heures cependant Alors le canon grondait encore sur la Place de la Bastille. le faubourg St Antoine n'est n'etait pas pris"
  • Esquisse, f° 171 (NAF 17608) : "Des bourgeois en voyant  passer de la troupe, de la garde nationale, α de la des mobiles - des bourgeois se livrent à des contorsions de joie frenetique lèvent leurs chapeaux applaudissent α dansent. - Car la Victoire est etait assurée. - le feu avait recommencé à 4 heures dans le faubourg du temple il cesse à 10 heures alors  A 10 heures le Canon gronda sur la Place de la Bastille c'etait pr prendre le faubourg St Antoine c'etait qui fut pris vite. enlevé"
  • Brouillon, f° 36v° (NAF 17608) : "En voyant  passer des mobiles les bourgeois leur donnent des poignées de main lèvent leur chapeau, leur jettent des fleurs applaudissent, dansent, se livrent à des contorsions de joie. - car la victoire etait assurée."
  • Brouillon, f° 134v° (NAF 17608) : "Une compagnie de mobiles passa parut Alors les bourgeois se precipitent pr leur serrer la main les prendre les rafraîchir dans les cafés ils levaient leurs chapeaux, applaudissaient applaudissemts et hourrahs dansaient α se livraient à des contorsions de joie fren frenetique - se precipitaient pr leur serrer la main Des fleurs des fleurs jetés par des dames, tombaient des balcons. car la victoire est etait assurée"
  • Brouillon, f° 118v° (NAF 17608)
  • Brouillon, f° 113v° (NAF 17608)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 170v° (NAF 17606) : "Les fenêtres du Palais Royal se garnissent de fusil. on tire de partout. les balles sifflent autour de Frederic Il reste là sans savoir prquoi on se bat."
  • Brouillon, f° 165v° (NAF 17606) : "Les fenêtres du P. Royal se garnissent de fusil - on tire de partout au-dessus de sa tête les balles sifflent  Les masses de peuple qui arrivent poussent les combattants sur le poste."
  • Brouillon, f° 168v° (NAF 17607) : "Cependant. acharnement. contre prquoi. les municipaux execrés du peuple. restaient seuls dans le poste La ligne La ligne disparut des deux rues St Th α de Ch. idée d'y mettre le feu Fumée montée. feu, flammes par les crepitations de fusillades. - on se ruait sur les marches du perron - contre les portes qu'on ebranlait à coups de barre de fer"
  • Brouillon, f° 9 (NAF 17607) : "La ligne disparut de la rue St Thomas troupe avait disparu les municipaux restaient seuls pr defendre le poste ils s'abattaient l'exécration du peuple devinrent rapides. rues sur les marches du perron. ils s'abattirent contre la porte  qu'il ebranla la porte à coups de fer barres de fer. la fusillade ils tiraient les municipaux ne cedaient pas"
  • Mise au net, f° 11 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Brouillon, f° 170v°  (NAF 17606) : "combattants... un portier et sa femme. – une garde nationale – un gamin en redingotte"
  • Brouillon, f° 165v° (NAF 17606) : "Fr. fait la conversation avec son ses voisins immediats un portier chauve sans cravate ni gilet α sa femme en madras un gamin garde national lourd α corsé veste à basque. giberne - regulier –"
  • Brouillon, f° 7 (NAF 17607) : "et la concierge finit par enfin s'en aller, cedant à ses exhortations, α à celles d'un garde national, près d'eux - C'etait un homme Un quadragénaire replet. - de et dont la figure lourde endormie, entourée d'un collier de barbe blonde. - Il chargeait son fusil, d'ordonnance ajustait son coup, tirait α recommençant, tout tranquille en causant politique avec tranquillité Fr. des evenements du jour - comme une distraction calme α naturelle - comme s'il se fut au jardinage tranquillité d'un horticulteur dans son jardin plaisir qu'il aurait eu à "decrocher le père La Cocarde" et chaque fois qu'il epaulait son arme son petit oeil gris bleu se fermait avec malice"
  • Brouillon, f° 6 (NAF 17607) : "Et la concierge s'en allait finit par ceder à ses exhortations α à celles d'un Garde Nationale, près d'eux, - un bourgeois quadragénaire dont la figure endormie, paisible bonasse etait entourée ornée d'un collier de barbe blonde. Il chargeait son fusil son fusil tirait en se tout en causant conversant causant au milieu de l'emeute avec Frederic tranquille des evenements du jour plus tranquille au milieu de l'emeute au milieu au milieu de l'emeute comme s'il n'eut été qu'un un horticulteur dans son jardin - tant l'emeute semblait être pr lui une chose normale a une distraction toue simple Il avouait ne cachait pas cependant le plaisir qu'il aurait eu à son l'envie le plaisir qu'il aurait eu à "decrocher le père La Cocarde" α chaque fois qu'il epaulait son arme appuyait le doigt sur la gachette son petit oeil bleu se fermait avec malice -"
  • Mise au net, f° 8 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 21v° (NAF 17607) : "Elle est rassurée comme tout le monde comme ... ad univers on n'a encore aucune crainte. adhésions universelles... univers Adhésions universelles com l'univers etc"
  • Brouillon, f° 4v° (NAF 17607) : "α comme, les Marechaux de France. comme la cour des Comptes, la Magistrature la cour de Cassation, la cour d'appel l'Université, le conseil d'etat, les Marechaux de France le nonce du pape le gd Changarnier et Mr de Falloux -  tous les bonapartistes tous les legitimistes α pas mal  un nombre considerable d'orleanistes"
  • Brouillon, f° 24 (NAF 17607) : "Comme avait fait déjà, Monseigneur l'Archevêque de Paris, α comme devaient faire avec une promptitude merveilleuse α une emulation une emulation une rivalité de zèle digne de louanges hyperboliques la cour de Cassation α la cour des Comptes, la cour d'appel, le conseil, la Magistrature, le conseil d'etat, l'Université l'institut es Marechaux de France le nonce du pape le nonce du pape Changarnier, Mr de Falloux, tous les Bonapartistes, tous les legitimistes, α un nombre considerable d'Orleanistes."
  • Mise au net, f° 23 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 15v° (NAF 17607) : "eloge de Lamartine. fureur contre Guizot. eloge de Lamartine"
  • Brouillon, f° 39 (NAF 17607) : "changement des choses ψ etonnement de Frederic de voir sa fureur contre Guizot. en effet qui nous a mis dans le petrin - admiration de Lamartine - drapeau rouge - j'ai toujours été republicain"
  • Brouillon, f° 33 (NAF 17607) : "toujours été republicain, au fond α ne disant pas toujours ce qu'il pensait sous l'autre regime. s'il avait voté pr avec le ministère c'etait uniquemt pr hater accelerer sa fin chute irremediable - Il s'emporta même contre Mr Guizot. - "qui a nous a mis dans un joli petrin" parlons-en convenons"
  • Brouillon, f° 43v° (NAF 17607) : "ayant toujours été au fond republicain,  au fond - α ne disant pas toujours ce qu'il pensait sous l'autre regime. s'il votait alors sous l'autre regime avec le Ministère sous l'autre regime c'etait simplemt pr accelerer une chute irremediable inevitable et même  - Il s'emporta même contre Mr Guizot. - "qui a nous a mis dans un joli petrin, convenons-en !"
  • [...]

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Étude génétique d'après le manuscrit de travail, coté BnF Mss NAF 23 663-2.
  • Plan, § III, f° 726 : "Au dessert libation à l’empereur " 
  • Scénario partiel, f° 734v° : "Herodias du haut de sa tribune derrière les grilles, porte la santé de l’Empereur -"
  • Scénario partiel, f° 718v° : "Tout à coup. Herodias du haut de la tribune derrière les grilles, porte la Santé de l’Empereur"
  • Scénario partiel, f° 704v° : "Tout à coup, Herodias, du ht de la tribune, derrière les grilles la tribune grillée s’entr’ouvre. Herodias se montre et porte la Santé de l’Empereur -"
  • Scénario partiel, f° 716v° : "Tout à coup la galerie grillée s’entr’ouvre. Herodias se montre. costume - elle a l’air d’une idole  et porte elle porte la Santé de l’Empereur -"
  • Brouillon, f° 637v° : "Et au même moment - La Tribune au dessus s’entrouvre - elle avait deux battants au milieu. Un flot de lumière comme un embrasemt, parut. et plus brillante que les flambeaux Herodias. . son costume. Avec les deux 2 lions cabrés et elle avait l’air d’une idole de Cybèle paraît. - et debout, au bord - Avec des. et comme il y avait deux lions d’a à ses flancs"
  • Brouillon, f° 639 : "et. . Herodias. . apparut coiffée d'une tour la tour de Cybèle voile très fin par dessus coiffée comm Aphrodite Moera, une visière droite deux nattes com les bustes de Faustine - bandeaux sombres com l’Erèbe - deux nattes. coiffée comme Aphrodite - - Moera - cheveux spirales nombreuses des anneaux - mentonnière de perles tunique safran manch fendue dans toute la longueur du des bras manches - - ample tunique safran à plis droits et comm il y avait se dressaient contre les linteaux de la porte deux lions sculptés contre plaques sur le lambris monstres pareils à ceux du tresor des Atrides , elle ressemblait à Cybèle. accôtée de ses deux lions -" 
  • Brouillon, f° 637 : "et Herodias apparut, coiffée. . . une visière droite portant comm Aphrodite Moera - mitre assyrienn cheveux en spirales des = mitre tire bouchons descendait descendaient jusqu’aux coudes. mentonnière de perles un large = menton - une mentonn les joues prise autour des joues ample tunique safran à plis droits, safrané fendue dans toute la longueur. des manches - - . . deux hom monstres, pareils à ceux qui du tresor des Atrides se dressait dressaient contre les linteaux de la porte - elle ressemblait à Cybèle accotée de ses lions." 
  • Brouillon, f° 646 : "et Herodias apparut. portant coiffée coiff d'une mythre mithre mitre prise assyrienn, retenue  assyrienn qu'une mant qui tena fixée à son front par une mentonnière de perles fines couvrant couvrant a demi demi attachaient ses joues - ses cheveux descendaient d’où tombaient en spirales sur tunique safranée, fendue dans toute la longueur des manches ouverte des epaules jusqu’au bout des doigts - Deux monstres pareils à ceux du tresor des Atrides se dressaient camp cabrant. contre les linteaux de la porte, elle avait l’air de Cybèle accotée de ses lions." 
  • Brouillon, f° 641 : "Herodias apparut - portant portant coiffée d’une mitre assyrienne, qu’une mentonnière attachait à son front - et ses cheveux tombaient descendaient en spirales sur sa sur une tunique safranée, ouverte fendue fendue ouverte dans toute la longueur des manches - deux monstres de pierre pareils à ceux du tresor des Atrides cabrés conte se cabrant se dressant les linteaux les linceaux contournés de la porte la faisaient ressembler à Cybele, accotée de ses lions." 
  • Brouillon, f° 635 : "Herodias apparut - coiffée co d’une mitre assyrienne, qu’une mentonnière d’or attachait à son front ses cheveux en spirales descendaient sur sa tunique safranée, - ouverte dans toute la longueur des manches - deux monstres, pareils à ceux du tresor des Atrides, se dressant contre les linteaux de la porte, elle ressemblait à Cybèle accotée de ses lions -"
  • Mise au net, f° 533 : "Herodias apparut, coiffée d’une mitre assyrienne qu’une mentonnière attachait à son front, - Ses cheveux en spirales descendaient balançaient s’epandaient sur une tunique safranée ouverte peplos d’ecarlate fendu dans la longueur des manches. Deux monstres en pierre pareils à ceux du tresor des Atrides se dressaient dressait contre les linteaux de la porte. elle ressemblait à Cybèle accotée de ses lions."
  • Manuscrit final, f° 81 : "Herodias apparut, - coiffée d’une mitre assyrienne qu’une mentonnière attachait à son front - Ses cheveux en spirales s’epandaient sur un peplos d’ecarlate, fendu dans la longueur des manches. Deux monstres en pierre, pareils à ceux du tresor des Atrides se dressant contre la porte, elle ressemblait à Cybèle accotée de ses lions -"

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud
Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.
  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 161v° (NAF 17606) : "Un bruit de fusillade le reveille. - il se lève α s'en va"
  • Esquisse, f° 170v° (NAF 17606) : "Un Le bruit de fusillade le reveille tire de son sommeil - il se lève α s'en va."
  • Brouillon, f° 158v° (NAF 17606) : "Les coups de fusil  de feu etaient etant partis des Champs Elysées, il se dirigeait vers la Place de la Concorde de côté-là – mais un groupe des hommes farouches en blouse lui dirent repondirent – "non – c'est fini de ce côté là, "au Palais royal" et il s'engagea suivit par dans la rue St Honoré."
  • Brouillon, f° 164v° (NAF 17606) : "Les coups de feu etant partis des Champs Elysées, il se dirigeait de ce côté-là, quand Mais un groupe vingtaine d'hommes en blouse l'air furieux lui crient tout à la fois d'un air d'autorité et de sympathie d'une façon tout à la fois cordiale et imperieuse passèrent devant lui "au Palais royal aux armes ! aux armes !" et il les suivit – entrainé".
  • Brouillon, f° 173v° (NAF 17606)
  • Brouillon, f° 1 (NAF 17607)
  • Mise au net, f° 2 (NAF 17607)

Collection : Les fiches
Auteur : Sylvie Giraud

Aperçu génétique de l'avant-texte, d'après le manuscrit de travail déposé à la Bibliothèque nationale de France.

  • Scénario, f° 91 (NAF 17611) : "I. un bruit de tambour les reveille. 48 eclate."
  • Esquisse, f° 21v° (NAF 17607) : "il pardonnerait à Lamartine, s'il avait pris le Rhin  x blame le gouv. faute de Lamart (Castile 298)."
  • Brouillon, f° 30 (NAF 17607) : "n'aimait pas au nom Lamartine "phraseur" il haussait les epaules - bah un poète ! car il surtout aurait dû prendre le Rhin."
  • Brouillon, f° 27v° (NAF 17607) : "Le nom seul de Lamartine lui faisait hausser les epaules de pitié "un poète" que voulez-vous"
  • Brouillon f° 31 (NAF 17607) : "Le nom seul de Lamartine lui faisait hausser les epaules de pitié "un poète ! que voulez-vous !"
  • Brouillon, f° 29 (NAF 17607) : "le nom seul de Lamartine lui faisait hausser les epaules."
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