Espace Afrique-Caraïbe

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Votre recherche dans le corpus : 119 résultats dans 1109 notices du site.

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 Torride chaleur.jpg
Rabearivelo se met en scène, chez lui, dans sa bibliothèque où s'insinue l'air de la ville. La chaleur, si torride soit-elle, ne trouble pas sa quiétude. Le soleil ne lui tourne pas la tête, ni les tropiques n'astreignent les pensées du poète dont l'image, on le voit, ne relève plus de l'arsenal romantique ou du créateur habité de quelque divinité tutélaire. C'est avant tout un homme de métier campé dans son environnement familier : " autour de ma petite table, comme le marcheur se plaît sous un rameau, / j'ouvre mes livres... ".

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 FIN DE MUSIQUE.jpg
Indigène lettré, Jean-Joseph Rabearivelo découvre l'Indolence dans l'intimité des livres.

Collection : Soirs malgaches
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
DOC140317-14032017100551.pdf
Premier poème publié par Rabearivelo en vers français.

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE TAP1 PRESQUE SONGES 1.jpg
Cette version contient de nombreuses fautes de frappe, corrigées à la main par Jean-Joseph Rabearivelo, et présente nombre de variations par rapport au manuscrit, qui constituent de nouvelles orientations du vers.

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE EDIT1 Gratitude.jpg

Un poème de Cour dans lequel Rabearivelo témoigne "au nom de toute la tribu" de la "gratitude" envers le seigneur de ces lieux, le Gouverneur Général Léon Cayla. 
Rabearivelo s'amuse à endosser l'habit de "poëte... national" au risque de "déchoir dans la virtuosité".
Clairement, l'homme de lettres se livre à un exercice d'apparat tel un José-Maria de Heredia lançant au tsar de Russie, en 1896, du haut du pont Alexandre III, des vers français rondement tournés. Rabearivelo prend un malin plaisir à saluer "dans la langue des Dieux", la magnanimité de la Mère-Patrie "car le poète seul peut tutoyer les rois".
Thuriféraire ? Cela n'effleure pas l'esprit de Rabearivelo : il apostrophe, du moins veut-il le croire, un mécène des arts ; son unique "appréhension" est de pêcher dans "les jours heureux et quelque peu bonhommes de Verlaine" ; subir une influence, non politique, mais poétique toujours.
L'ironie, peut-être, sera, à la marge, ce début de version espagnole qui ébranle la ligne de démarcation entre "indigène" et français et assigne le malgache à sa seule malgachéité - l'objectif étant de façonner une âme bien typique afin d'en estampiller les produits locaux pour l'export et lors des Expositions universelles vitrines de l'Outre-mer.
Rabearivelo y exhibe son talent rhétorique, flattant son ego et sa "race" ; et sa prise de parole, à l'occasion de la fête des enfants - cérémonie de propagande initiée par Gallieni - l'intronise au sein de la Pléiade universelle.
Gratitude, oui.

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV 18LS Amours royales 1.jpg
Le premier poème célèbre les collines sacrées d'Ambohimanga où "est enfoui tout un secret, / hors de l'Histoire écrite" que les sens et l'imaginaire seuls peuvent excaver. Le second poème fait l'éloge d'un fruit royal concourt à la "légende" de l'Imerina. Jean-Joseph Rabearivelo se fait le chantre du royaume déchu : il invite non seulement ses compatriotes, mais n'importe quel étranger, voyageur, touriste à "faire son salut", ainsi que l'écrit Maurras devant Athènes, "bien voir le paysage en concevant à ce propos les plus belles pensées". Encloses dans la nature et les vestiges, "les idées que l’esprit a / depuis longtemps conçues / et qui naissent enfin et grandissent / avec des mots pour langes" ; tonon-kira - tonona parole et hira chant - fondent, dans l'esprit de Jean-Joseph Rabearivelo, le "fond poétique de la race" où gît la "personnalité" et "l'âme malgache". En ce sens, l'article "Monuments aux morts" juste après, s'accorde avec les vœux de Jean-Joseph Rabearivelo : la politique de la ville menée par l'Administration, en faisant d'un "coin charmant du vieux Tananarive" un lieu de commémoration de la Grande Guerre, substitue l'Histoire de France à la "rêverie historique" ; la propagande heurte la sensibilité des vazahas amoureux de l'île et porte atteinte au potentiel touristique. Jean-Joseph Rabearivelo est l'auteur avec Eugène Baudin de Tananarive, ses quartiers et ses rues publié aux presses de l'Imerina en 1937.

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Coeur végétal 1.jpg
Jean-Joseph Rabearivelo invoque la terre d'Iarive : qu'elle jaillisse et infuse les veines du poète afin que s'exauce " l'âme des Ancêtres ". Le poète se place sous le " signe ardent " de Charles Maurras à l’écoute du " pays réel " ; c’est la figure de l’homme du cru vivant le pays de manière spontanée, en parfait accord avec l’esprit du lieu et le prolonge à travers les âges. Ainsi donc à la Nature : " tel, pénètre mon sang et mûris ma pensée " pour qu’elle s’immerge dans " l’âme éternelle et première / des chantres d’Iarive ". Le Chant se pose comme l’égérie d’un nationalisme, intégral car indigène - éloge du terroir - et auréolé du culte des Morts ; c'est un appel à se recueillir sur la " série des autels aux divinités indigènes " (Barrès) ; ici est le cœur de toute poésie vraie et primitive.

Collection : Vin lourd [Le]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 VIN LOURD 1.jpg
Manuscrit 2, dédié à Ramily en nom et place d'un ami défunt cher à tout deux.

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 AMITIE MORT1.jpg
Série de pages manuscrites préparant les exergues et dédicaces définitifs.

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Fleurs d'extase
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 FLEURS D EXTASE 1_1.jpg
Dans une couverture de cahier d’écolier, plusieurs groupes de feuillets au même format, en assez mauvais état (extrêmement raturés, cornés, encre délavée, presque illisible par endroits). Un premier groupe de 7 pages contenant des poèmes de 1922 numérotés de 171 à 211 ; un deuxième de 11 pages avec les poèmes 212 à 259 ; et un troisième de 15 pages avec les poèmes 261 à 317, datés de 1923. Sont inclus les poèmes « Consolation » devenu « À l’oubliée », n° 184, daté du 15/3/22 ; « Qu’as-tu… » devenu « À mon souvenir », n° 209, daté du 14/4/22 ; et « Le poème des Désenchantements » devenu « Désenchantement », n° 299, daté du 10 ou 12/4/23.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP Poèmes Lova 1.jpg

7 feuillets disparates qui se présentent de la manière suivante :

- folios 1 et 2 : deux feuillets (21 x 27), tapuscrit recto, non signés et datés. Le folio 1 comprend « Eritreritra fahavaratra » (Ny Mpandinika, 19/2/26) et le folio 2, « Ao an’ala » (15/5/25).

- folio 3 : un feuillet (21x24) découpé en haut, écrit recto verso et daté, avec « Nosoratana » (Ny Mpandinika, 7/5/26).

- folio 4 : un feuillet (21 x 27), papier bleu, tapuscrit recto, comportant deux poèmes : « Alahelo » signé J. J. Rabearivelo (Gazetim-panjakana, n° 1496, 25/9/25) et « Fahatsiarovana » signé J. J. Rabearivelo (Gazetim-panjakana, n° 1504, 20/11/25).

- folios 5 (20 x 24,5), 6 (20,5 x 27) et 7 (20 x 20,5) :  tapuscrits recto, copie pelure, non signé, daté et portant le même texte : poème « Aza anontaniana » (Ny Mpandinika, 3/9/26) ( = Tps2, Tps2b et Tps2c, respectivement).

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE TAP1 Ponctuelle 1.jpg

6 feuillets manuscrits (13 x 22, fos 3 à 8), datés du 22/7/27 au 28/8/27 contenant « À Philippe Chabaneix », « Ô toi qui l’aurais lu pour sa grande tendresse… », « À J.-H. Rabekoto », « À G.-Henri de Brugada », « À Robert-Edward Hart », « À Tristan Derème » regroupés dans « La Guirlande à l’amitié », accompagnés de 13 feuillets tapuscrits.

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 TERRES SOLEIL 1.jpg
Malgré ses 24 ans, le poète se voit déjà dépossédé des richesses exubérantes du jeune âge comme de ses excès flatteurs ; il se sent entrer dans une maturité qui l’inquiète en raison de l’incertitude qui plane sur le temps qu’il lui reste. La pensée de la mort en lien avec certains de ses modèles préférés comme Laforgue, décédé précocement, et avec le respect dû aux ancêtres, comme à leurs tombeaux, continue à l’obséder. Il se fait le chantre d’une esthétique désabusée et dédaigneuse qui renie tant les illusions faciles que les souvenirs complaisants pour affronter la vérité de son destin ou de sa situation et il fait montre alors d’une lucidité déchirante : il se sait et se voit s’éloigner de la langue de ses ancêtres pour se couler de plus en plus résolument dans un idiome étranger qu’il aime profondément, bien qu’il le sente et le sache parfois incompatible avec ce qu’il souhaiterait exprimer. Et même si, par la thématique mise en œuvre, chacun des ensembles poétiques qu’il va désormais concevoir s’accomplira de plus en plus distinctement en apothéose du monde ancestral, celle-ci, hésitant entre le thrène et l’éloge, laissera le poète dans la position inconfortable d’un exilé de l’intérieur.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 Vent s annonce 1.jpg

Les ratures, la superposition de l'encre bleue sur le crayon papier, le motif du poème et le champ lexical s'enchainent, piétinent... tout cela atteste d'un état premier du brouillon. Nous assistons à la progressive genèse du poème. Rabearivelo y cherche l'équilibre et comme il l'écrit dans ses Calepins Bleus : ce " mouvement élusif tout autant qu’expansif ". C'est ce qu'il prise le plus. Moins qu'un respect métrique, dont il semble avoir épousé le rythme, dans cette " langue adoptive " (voir dans Volumes, "À Robert-Edward Hart"), se dégage un art consumé de la pointe. Rabearivelo prépare une image de clôture à la fin de chacun d'eux. L'écriture fonctionne comme un revenez-y autour d'un même motif, c'est cela qu'il importe d'exprimer selon un art poétique constitué au fil de ses multiples lectures : de Baudelaire à Mallarmé, en passant par les courants les plus contemporains des années 1920-1930 - même si parfois oubliés, n'ayant pas toujours fait école...

Collection : Proses pour Durtal
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 PROSES DURTAL 1.jpg

Cahier d’écolier Gallieni, 4 pages manuscrites (recto verso) + 1 page découpée (recto).

Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 SUR 3 CORDES 1.jpg
Inspirés par haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO MAN1 Ombres falotes.jpg
L'amorce d'une "prose prose poétique, musicale [...] assez souple et assez heurtée pour s’adapter aux mouvements lyriques de l’âme, aux ondulations de la rêverie, aux soubresauts de la conscience". Jean-Joseph Rabearivelo fait résonner l'expression toute faite "ombre-falote" en y adjoignant un mot cher : "aboli", réminiscence littéraire. Ce bout de manuscrit donne à voir l'amplitude que confère Jean-Joseph Rabearivelo à ses états d'âmes, les émotions agrandies par le style.

Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 TREFLES couv.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 TERCETS 1.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 MATUTINALES.jpg
Ces vers tendent à exprimer l'état de fièvre, poétique dirions-nous, car le corps, chétif, l'enveloppe corporelle amenuisée, la réceptivité sensorielle est accrue. Jean-Joseph Rabearivelo regrette sa convalescence ayant été l'égérie des premiers poèmes de Galets ; or, il ne retrouve plus cette "fièvre âpre de matutinal" sans laquelle il ne saurait poursuivre le recueil. Il s'interroge, dans les Calepins Bleus, sur les rapports de la maladie avec l'écriture.

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Poèmes 1928 1.jpg

F°1 porte le titre : noté en titre : IV Clair de lune ; f°2 porte le titre : Elégies d'Iarive (Volumes) ; f°3 sans titre : "Si le monde a changé" ; f°4 : "Cette branche qui meurt" ; f°5 : "Quelle belle aurore" [Pages dispersées dans la malle, mais rassemblées par cohérence de date, d'écriture - relèvent tous de Volumes]

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 AMOURS ROYALES.jpg
Un poème qui évoque la légende du royaume d'Imerina en latence " sous [les] rochers moussus qu’abrite / un bel arbre " ; l’Histoire-à-délivrer du paysage que le poète seul peut sortir de terre. Le sonnet aura trouvé son public avec sa diffusion dans la Revue de Madagascar et Latitude-sud 18°. Rabearivelo y chante le mystère royal de l'Île Rouge, horizon d'attente d'un lectorat et d'un tourisme en plein essor.
La flânerie, cette envie de découvrir des peuples lointains et d'autres mœurs, fonde un nouvel habitus qu'incarne, par excellence, un Jean Paulhan, auteur du Repas et l’amour chez les Merina, un Jean d’Esme ; ou encore Pierre Benoît, Maurice Martin du Gard – que Rabearivelo fréquente lors de leur bref séjour à Tananarive -, deux écrivains " délaissant momentanément " la vie parisienne pour demander " au dépaysement colonial […] une occasion de renouvellement personnel ". Ils représentent ces hommes modernes de la plus Grande France " épris d'idéalisme à la fois et d'ordre matériel " qui ne poursuivent " d'autre espoir que de se perfectionner soi-même ".
La nostalgie des époques et des rois déchus s’accordent donc avec ce désir de perfectionnement moral ; après le temps de la conquête, règne la PAX ROMANA ; l’Esprit européen promène son cœur gonflé de songes à travers l’Empire...

Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP1 Poème départ 0.jpg
Cet ensemble poétique, thématiquement le plus homogène depuis La Coupe de Cendres et intitulé tout d’abord « Le poème du départ et du regret », trouva assez vite le nom d’une déesse romaine mineure, divinité présidant au départ, Abéone, dont Jean-Joseph Rabearivelo s’obstine à orner le nom d’un accent, et l’affuble ainsi d’un exotisme imprévu. Car la façon de traiter le thème du départ et de l’adieu y est typiquement malgache : le jeune poète, tout comme d’autres jeunes hommes de sa génération, ressent sans cesse en lui l’appel de l’ailleurs, qu’il s’agisse de l’Europe et de la France vers lesquelles Jean-Joseph Rabearivelo rêva de voguer un jour ou du retour vers les sources ancestrales, la Polynésie des origines.

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN2 Dédicaces 1.jpg

Titre général : Dédicaces - f°1 : A Sahondra ("D'un âge ingrat fleuri"), f°2 : A Pierre Camo ("Du signe de vieillir"), f°3 : A Marcel Ormoy ("Un miracle ennuyant"), f°4 : A Jean Lebrau ("Jean Lebreau, j'ai cuilli), f°5 : A Ramlijaona ("Le vent pourra souffler")

Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE  MAN2 TREFLES TOUJOURS 1.jpg
Inspirés par haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 PRESQUE SONGES 1.jpg
Phase rédactionnelle : état 1 ? (nous n'avons pas retrouvé d'état antérieur).
La présentation des poèmes sur la page suit toujours le même principe directeur : la page est scindée en deux par un trait en deux parties approximativement égales. Ce trait est tracé préalablement à l'écriture dans les premiers poèmes, puis après l'écriture à partir de f.2v. 
La version malgache figure à gauche, la version française à droite, souvent serrée sur le bord du feuillet. Les poèmes sont très souvent raturés, avec la même encre utilisée pour l'écriture, à tel point qu'il est parfois difficile de lire la version définitive. 
La date d'écriture, identique, est portée à la fin des deux versions. Chaque poème est numéroté en chiffres romains, de I à XXX.
Le premier poème est daté du 22/6/31, le dernier du 19/9/31. Les poèmes sont classés dans un ordre différent de celui retenu pour l'édition originale.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN SUR 3 CORDES dedi 1.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de 9, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN SUR 3 CORDES dedi 2.jpg
Inspirés par le haïku, les poèmes des Trèfles ne s'alignent pourtant sur leur modèle japonais ni en matière de mètre, ni en matière de tonalité. En jouant sur les mètres de neuf, 12, 14, 16, voire 18 syllabes, le poète aborde les thèmes de ses premiers recueils - l'amour et la mélancolie pour passer ensuite à une réflexion esthétique.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 DIXAINS 1.jpg
La section "Dixains" de Sylves comporte douze poèmes, en mètres classiques. Toutes les pièces impaires sont en alexandrins. Les autres ont des mètres plus courts : de sept à dix syllabes sauf pour le n° 8 où alternent octosyllabes et alexandrins.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN IARIVE SNOBO Couv 1.jpg
Projet d'un choix de poèmes provenant des recueils précédents et traduisant le rapport authentique au natal du poète.
Le titre de la première partie (Snoboland) doit son nom à un néologisme inventé par Fernand Divoire (auquel cette partie est dédiée) à propos de l'œuvre de Paul Claudel, qui "n'a conquis que le Snoboland" (les gens de lettres, notamment parisiens ; Introduction à l'étude de la stratégie littéraire, 1912).

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV CS POEMES.jpg
Quatre poèmes "extraits de Sari-nofy / Presque-Songes, et traduits du hova par l'auteur donnés dans la revue de son ami de France - ses "amis de France" ainsi qu'il les invoque. En l'occurrence Jean Ballard : Rabearivelo sollicite le directeur des Cahiers du Sud afin d'y être publié.
"Excusez-moi de paraître ou impatient, ou gonflé de suffisance - mais je suis sûr d'être dans le ton de votre revue, et puis j'estime qu'il est temps de nouer des relations avec Madagascar." (Lettre du 15 août 1931).
L'édition  de CNRS Éditions (collection Planète Libre), reproduit la correspondance entre les deux hommes qui s'ensuit. Rabearivelo s'intronise correspondant de Madagascar. Et de choix ! Puisqu'ainsi que la signature l'atteste, il traduit du hova. Rabearivelo offre donc au lecteur francophone un accès privilégié à la culture hova dont il se revendique : il cherche à faire entrer son île sur la "carte de l'Esprit" (Calepins Bleus).

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