[Non une amnistie, mais une révision !]
VVS
Nationalisme
Phalange
<p class="p1">INCOMPLET. Fin d'un texte sur la nécessité de l'amnistie pour la VVS.<br />Les membres de la <em>Vy Vato Sakelika</em> (VVS, Fer, Pierre, Ramification) – société secrête d’intellectuels malgaches animés par le souci de préserver leur culture tout en assimilant les connaissances scientifiques du monde moderne – ont fait l’objet d’un procès en février 1916 et ont été déportés. <br />Suite a l’amnistie prononceée le 22 novembre 1922, ils sont tous revenus en 1923. Le monde intellectuel tananarivien est alors en pleine effervescence: les échanges se font plus libres, les revues foisonnent, éditées à Tananarive même ou en provenance de l’extérieur. Le petit groupe surnommé « la Phalange Rabearivelo » rassemble divers amis malgaches de même génération, dont Joseph-Honoré Rabekoto (Lys-Ber), Raharolahy, James Raoely et Razafitsifera, également préoccupés de l’avenir de la culture et de la littérature malgaches dans le contexte de la colonisation et dans un environnement bilingue.</p>
Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Procès
MS1.PROC
Claire Riffard, équipe francophone, Institut des textes et manuscrits modernes (CNRS-ENS) ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)
1925-01-09
Consultable sur internet. Copie et impression interdites.
Consultation possible de l'original à l'Institut Français d'Antananarivo.
Contact : brakotomanga@gmail.com
1 (f.) ; 200 x 310 (mm)
Français
Essai
Volumes [MS1.COVE]
Charles Maurras (1868-1952)
Indigène
Nationalisme
Culte des Morts
Maurice Barrès (1862-1923)
Manuscrit
Poésie
Jean-Joseph Rabearivelo
Madagascar
Francophone
Jean-Joseph Rabearivelo invoque la terre d'Iarive : qu'elle jaillisse et infuse les veines du poète afin que s'exauce " l'âme des Ancêtres ". Le poète se place sous le " signe ardent " de Charles Maurras à l’écoute du " pays réel " ; c’est la figure de l’homme du cru vivant le pays de manière spontanée, en parfait accord avec l’esprit du lieu et le prolonge à travers les âges. Ainsi donc à la Nature : " tel, pénètre mon sang et mûris ma pensée " pour qu’elle s’immerge dans " l’âme éternelle et première / des chantres d’Iarive ". Le Chant se pose comme l’égérie d’un nationalisme, intégral car indigène - éloge du terroir - et auréolé du culte des Morts ; c'est un appel à se recueillir sur la " série des autels aux divinités indigènes " (Barrès) ; ici est le cœur de toute poésie vraie et primitive.<br /><br />
Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Cœur végétal ; MS1.COVE
Claire Riffard, équipe francophone, Institut des textes et manuscrits modernes (CNRS-ENS) ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)
20-10-1927 ; 28-11-1927
<br /><em>Propriété intellectuelle et matérielle :</em><span> </span><br /><span>Famille Rabearivelo</span><br /><em>Dépôt physique des originaux</em><span> : </span><br /><span>Institut français, </span><span>14 avenue de l'Indépendance, </span><span>Antananarivo </span><span>Madagascar</span><br /><em>Demande de communication </em><span>: </span><span><a href="mailto:brakotomanga@gmail.com">brakotomanga@gmail.com</a></span>
7 (f.) 140 x 90 mm
Français
Poésie (Poème)