Espace Afrique-Caraïbe

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Votre recherche dans le corpus : 151 résultats dans 1126 notices du site.
Type de document : Presse (Article rédigé par l’auteur)

Collection : Vakio ity
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Vakio ity
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Sur la valih royale
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Dans ces premiers essais, il sacrifie à la mode du temps, celle des "lettres ouvertes". Ce genre, aux frontières des sphères déchange privée et publique, fut le mode de communication privilégié de la génération des années 1920. Les articles de Vakio ity ont tous été écrits sur ce modèle. JJR adopte du genre toutes les affèteries. En premier lieu, les pseudonymes sous forme d'anagrammes ou de surnoms hauts en couleur et en assonances: Aéro-Drémina, Atmosphère, K. Verbal, etc. Il ne nous a d'ailleurs pas toujours été possible de retrouver derrière ces "masques" l'identité des écrivains engagés dans ces joutes épistolaires.
A travers ce ton de "maître d'école" que JJR et ses correspondants fictifs adoptent dans les développements didactiques de leurs missives, dans ce que l'on peut considérer comme le "premier jet" de son oeuvre critique, se dessinent déjà nettement quelques idées forces de sa rélfexion: le questionnement sur le bon usage des techniques venues d'ailleurs et l'incitation à plus de professionalisme.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Un éloge à René Ghil de Rabearivelo au milieu d'un cortège d'écrivains. Entre la " femme de lettres " Rachilde et Henri de Régnier, " de l'Académie française ", et une Cécile Perrin ayant eu l'heur d'être accueillie dans l'intimité de cet homme au " visage affable ", parmi ces grands pontes des lettres françaises, s'immiscent les arabesques Rabearivelo. Ces rituels de la littérature, comme les tombeaux, les hommages, les anthologies, représentent l'occasion d'assoir sa figure d'écrivain : non seulement proclame-t-il une filiation spirituelle avec René Ghil - sûrement découvert via l'avant-dire de Mallarmé au Traité du Verbe - mais encore s'inscrit-il au sein d'une coterie, d'un milieu parisien.
Les pages de la revue fonctionnent comme un salon virtuel, un forum où dialoguent gens de même horizon. Rabearivelo souligne son appartenance en s'insurgeant contre " cette persécution ignare " de René Ghil ainsi mettant en valeur sa connaissance, lui, des mouvements artistiques, de l'avant-garde, tout ce qu'on n'eut pas imaginé, un 16 novembre 1925, depuis Tananarive et de la part d'un " indigène " !
Son éloignement géographique joue en sa faveur : il a d'autant plus de mérite à signer ces lignes ; Rabearivelo renverse un handicap en piédestal, pose sa légitimité de correspondant du bout du monde, ou de l'Empire ; Rabearivelo fait reconnaître son droit à la parole depuis les Colonies.

Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Le critique
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Le polémiste
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Texte incomplet et difficile à déchiffrer. Traduction en fichier attaché, par Josiane Rabenoro, avec ses commentaires.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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JJR se fait l'écho de la vie artistique de Tananarive. Il fait l'éloge de Madagascar plus à la page que ses sœurs d'outre-mer, atour déférent par lequel il habille "ses pensées de derrière la tête" : la salle Gros-Citroën qui accueille l'exposition de la peintre Chériane - épouse de Urbain-Faurec - ne semble pas du tout prévue à cet effet... Mécenat intéressé où l'art ne figure qu'à titre d'épice ! écrit JJR dans ses Calepins Bleus à propos de la revue officielle de la Colonie. En dépit de ce défaut d'accrochage, il témoigne de l'engouement suscité chez lui et la "Phalange", avec en 1923, cette foire artistique où ils purent voir des toiles de l'Ecole de Paris - autre chose que les produits de l'import-export entre Majunga et Paris ! Il serait donc souhaitable que ce genre de manifestations se développe pour une jeune génération désireuse de s'ouvrir à la culture européenne.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Un florilège de proverbes, d'images, de lieux communs non ineptes mais le lieu d'une communauté, ici les deux familles des futurs époux. à travers lesquels s'incarne la voix des ancêtres.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : L'épistolier
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo, interrogé au nom de la jeunesse malgache - pour le journal Vendémiaire -, s'excuse d'en être déjà trop éloigné. Il déplore néanmoins ce penchant qu'il observe autour de lui, une fascination irréfléchie vers tout ce qui provient de Là-Bas. Les jeunes ne rêvent que d'aller visiter Paris. Mais pour y faire quoi s'inquiète-t-il ?
Au détour de cette réponse, bien qu'établissant la différence entre " chamites " et " malayo-polynésiens ", il se solidarise avec les animateurs de la revue du Monde Noir à partir d'un commun dénominateur : ne sommes-nous pas des " mélaniens " ? Tous autant invus par le monde Blanc qui ne les considère qu'à partir de leur statut d'indigène.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on "songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique" et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla", il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce "proconsul" ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant "des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage !"
Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être "fou de langue française" et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : "certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé" ? Faut-il le rappeler, la censure d'un état totalitaire s'y exerçait - témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo attaque la crédulité des " ouailles de l'église " qui s'en vont, dans un pèlerinage excité, à la rencontre d'une " humble femme, sans instruction et native d'une province désertique et barbare " qui, depuis sa " résurrection ", a été sacrée " guérisseuse " . Rabearivelo oppose à cet " engouement qui déshonore le pays " une vision lucide d'un tel " miracle ". S'étant rendu sur les lieux, sept jours durant en pays Betsileo, il étudie le cas à la lumière de la raison. Sûrement, cette Ravelonjanah est-elle capable d'une " forte tension de sa volonté " ; aussi Rabearivelo rejette-t-il l'effervescence de masse pour mieux apprécier " une science maintenant reconnue " et, fusse-t-elle " par accident ou par patience ", qui " mérite d'être enregistrée ". Cela avant que cette nouvelle Bernadette Soubirou ne fasse d'Ambalavao une ville jumelle de Lourdes et achève de contaminer " toute une région jusqu'ici heureuse ".

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Une introduction à un article (?) sur son " PREMIER et DERNIER ami ", le magistrat de la Cour de Tananarive, spécialiste en Droit indigène, Pierre Camo.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Le polémiste
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Réponse à un article de l'Aurore malgache du 5 février 1932 à propos de l'affaire des rapts d'enfants. JJR y est présenté comme "correspondant de quelques journaux français de répression des indigènes", comme "un as ! ... Mais un as à la remorque de la grosse colonisation". En somme "il prête le concours de son talent à l'esclavagisme" ; son œuvre s'inscrit en porte à faux du mouvement d'émancipation !
Si le Service de la Main-d'Œuvre des Travaux Publics d'Intérêt Général (SMOTIG) ne semble pas avoir préoccupé JJR - en tout cas nulle trace dans ses archives, à ce jour, ne permet de l'attester - il n'est pas un chien de garde du système totalitaire mis en place dans la Colonie. Qu'il ne soit pas un révolutionnaire marxiste n'enlève rien à son œuvre de valorisation du fond culturel malgache, première étape à une éventuelle indépendance.

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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A propos des vers de Pierre Camo

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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L'article porte la date du 19 juillet 1937 quand JJR se suicide le 22 juin 1937 ! Simple erreur ? Toujours est-il que ce brouillon
fait l'éloge du "dépouillement" ; humble parmi les morts, épousant leurs traces, l'âme ouverte à leur souffle, le poète accède à une "poësie nue comme les pierres et l'eau". Heureux qui parvient à cette béatitude et admire, avec un soupçon d'amertume, un JJR contemplatif, désabusé, adressant un dernier sourire par voie de presse à son ami Robert Boudry - lequel écrira à son sujet un vibrant hommage dont le titre pathétique, Jean-Joseph Rabearivelo et la mort, y parlant d'un "drame colonial", n'en est pas moins sincère.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo, naturellement, se fait l'écho de toutes les manifestations artistiques de Tananarive et ses environs. Si peu nombreuses qu'elles fussent, il les suit d'autant plus près afin, justement, d'apporter les critiques nécessaires à une véritable "vie intellectuelle". Il s'attache donc à publier ses critiques, toujours constructives au point d'être professoral, jouant là son rôle de chef d'école et d’intellectuel Hova.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Capricorne
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
In Gazetim-Panjanaka

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Un florilège de proverbes, d'images, de lieux communs non ineptes mais le lieu d'une communauté, ici les deux familles des futurs époux. à travers lesquels s'incarne la voix des ancêtres.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Lettre Tananarive 1.jpg
Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on « songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique » et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla" il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce « proconsul » ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant « des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage ! " Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Le regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être « fou de langue française » et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : « certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé » ? Faut-il le rappeler, la censure d'un régime totalitaire s'y exerçait, témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Cet article en une du Madécasse - journal que son ami Camille de Rauville " s'exténue " à faire tourner - dévoile un JJR envoyé spécial. Il en ramène un reportage chez les fous quoique '' à la mode... de Bear '' suivant davantage le fil de ses idées qu'une ligne journalistique : le Douanier Rousseau, Verlaine, Van Gogh... Les digressions enroulent la misère humaine dans des volutes de réminiscences. Le poète-journaliste s'en va " au pays de Lombroso " et  non " chez les fous " (titre d'un reportage d'Albert Londres) ; chez un auteur plutôt qu'auprès de la réalité sociale : c'est déjà de la littérature lorsqu'Albert Londres visait à montrer le réel.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
Le journal Vendémiaire mène périodiquement de grandes enquêtes. Début 1935, le Prix Moréas 1933, Jean Lebrau, Mac-Orlan et d'autres écrivains répondent à trois questions sur la jeunesse paysanne. Le 10 avril, un autre questionnaire, sur la jeunesse noire. On interroge des hommes de terrain, des experts et des hommes de couleur. Au rang des spécialistes, l'incontournable Pierre Mille en sa qualité de Président de la Société des Écrivains coloniaux et membre de l'Académie des sciences coloniales ; Marius-Ary Leblond, Prix Goncourt 1909 et Président du Syndicat des Directeurs de Journaux de la France extérieure mais surtout, faut-il ajouter, chantre de la plus Grande France et de la nécessité de faire de l'Outremer des terres de peuplement. C'est au milieu de ce concert qu'intervient Rabearivelo, aux côtés de son confrère et ami guyannais René Maran.

Collection : L'Essor
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV ES  1927-10-15 Maurice Scève 00.jpg
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