]]>Dès l’aube, chers rayons, mon front songe à vous ceindre !
À peine il se redresse, il voit d’un œil qui dort Sur le marbre absolu, le temps pâle se peindre,
L’heure sur moi descendre et croître jusqu’à l’or...
Dès l’aube, chers rayons, mon front songe à vous ceindre !
À peine il se redresse, il voit d’un œil qui dort Sur le marbre absolu, le temps pâle se peindre,
L’heure sur moi descendre et croître jusqu’à l’or...