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Fiche : équipe Manuscrits francophones, ITEM (CNRS-ENS) ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Claire Riffard, équipe francophone, Institut des textes et manuscrits modernes (CNRS-ENS) ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)
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Title
A name given to the resource
<em>Chronique assassine</em>, 1996
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Sassine, Williams
Source
A related resource from which the described resource is derived
Le Lynx
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Elisabeh Degon, équipe francophone, Institut des textes et manuscrits modernes (CNRS-ENS) ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
Conakry
Type
The nature or genre of the resource
Documentation - Presse
Contributor
An entity responsible for making contributions to the resource
Degon, Elisabeth
Description
An account of the resource
<br /><br /><a href="http://eman-archives.org/francophone/items/browse?collection=253">Consulter</a> les chroniques de l'année 1996.<br /><br />
<p><span>Les législatives sont passées, le gouvernement est formé, pourtant les problèmes sont toujours là, misère de l’enfance, laissée sans éducation ni instruction, contre enrichissement des hommes politiques, qui grossissent, grossissent… Sassine rappelle que ministres et députés devraient faire l’état de leur patrimoine à leur arrivée dans la fonction politique. </span></p>
<p><span>Le mécontentement gronde, dès les premiers jours de février, l’armée manifeste pour demander une amélioration des conditions de vie et, le 10 février, une mutinerie éclate, des obus sont tirés sur le palais présidentiel, menaçant la vie du président. Sassine en tire un essai sur l’histoire des mutineries devant les dieux contestés, dans les mythologies grecque, chrétienne, musulmane et bouddhiste, sans oublier les fanatiques qui se prennent pour les seuls enfants de la religion.</span></p>
<p><span>Quelques temps après, incendie de la douane, alors que le service des sapeurs pompiers ne fonctionne pas. Conséquence de tous les détournements financiers de l’aide internationale. Cela est dit à mots couverts, mais c’est dit. L’argent des projets s’écoule et s’évapore.</span></p>
<p><strong><span>Sydia Touré</span></strong><span> est nommé premier ministre le 9 juillet 1996. Son expérience à des postes internationaux est un gage de bonne gestion. « Il est venu pour le courant et le courant est venu, vider les poubelles, encourager les sociétés privées, rétablir la justice, combattre la corruption, tout cela en 6 mois. Mais il est dingue Sydia. En plus il ajoute à ses fardeaux, la résolution des problèmes des jeunes. » Il impose la TVA pour alimenter les caisses de l’état, ce qui renchérit les prix. Certains contestent la nationalité de cet « étranger » qui a fait une grande partie de sa carrière en Côte d’Ivoire, encore un Guinéen de l’extérieur, or, précise Sassine : « Un exilé a une origine et une extrémité, il n’oublie jamais son origine, son extrémité peut se diversifier ». Williams Sassine et Sydia Touré ont fréquenté le même Lycée Donka dans leur jeunesse. </span></p>
<p><span>Sassine ajoute : « Combien de cadavres non du multipartisme, mais du multi-apartheid : qu’on ne vienne pas nous dire de divorcer pour garder une race pure…, c’est de sa race que le lièvre est peureux. » Les oppositions ethniques sont sensibles, mais surtout l’opposition entre diaspos, Guinéens de l’extérieur, et les Guinéens de l’intérieur, au point que la question se pose toujours pour ceux qui sont rentrés de l’intérêt du « retour décevant : il est rentré mais comment en sortir ? » </span><span> </span></p>
<p><span>Le courant revient en effet, mais les factures également alors que « le travailleur guinéen se pend à la queue du diable », et qu’il pleut dans le commissariat de Taouha, témoignant de la misère des services publics.</span></p>
<p><span>Après son voyage en Malaisie, le Président est revenu avec des projets de développement. « Aïe nos dernières richesses » dira plus tard Sassine. Bien évidemment, toute aide est accompagnée de contreparties. Le thème du Sommet Franco-Africain à Ouagadougou du mois de décembre est la « Gouvernance ou la Romance France-Afric » selon le titre d’une chronique de la fin de l’année.</span></p>
<p><span>Les thèmes récurrents ponctuent les chroniques. Il s’agit de la mort à 40 ans de courte maladie, du train de Kankan à l’arrêt, du scandale des richesses naturelles, « or et diamants que personne ne voit, les cailloux oui et ceux qui s’enrichissent construisent dehors », l’action de Dieu dans le développement du pays. « On a tellement harcelé le bon Dieu depuis 40 ans avec nos misères dans ce bon pays, qu’il nous a offert, qu’il préfère aller se reposer là où on prie en travaillant », la pauvreté et la faim « il fallait voir le regard éthiopien de ces gens », la saleté de la ville, les poubelles non ramassées sinon par les pluies diluviennes de la saison hivernale, les déflatés, fonctionnaires ayant perdu leur poste de travail n’ayant plus ni emploi ni salaire (à la demande des institutions financières internationales de l’époque), l’état des routes et des véhicules. Il rappelle régulièrement que « l’homme n’est pas à sauver, mais à changer ». <em>Il faut admettre la nouveauté, il faut la penser,… arracher l’esprit à ses trajectoires familières (corruption, paresse, détournements en tous genres, guinéophobie), à son système de gravitation.</em></span></p>
<p><span>Parmi les maux qu’il déplore, il ajoute l’excision, « une barbarie qui survit au niveau individuel », le mauvais traitement des enfants, mal nourris et mal éduqués. </span></p>
<p><span>Les chroniques de 1996 nous proposent de magnifiques pages de réflexions sur la vie, les sciences, la philosophie, les religions, sur l’actualité internationale et le développement de l’Afrique. Sassine montre une grande largeur de vue, intelligente, sensible et humaine, associée à un humour décapant par ses jeux de mots, expressions, points de vue innovants. </span></p>
Pas de voyage à l’étranger cette année, Sassine fera le voyage en taxi à Kankan à la rencontre de sa famille dans les conditions toujours difficiles. Il nous offre une page de rire, et de plaisanteries diverses, avant son départ.
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
sassine,
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Fiche : Elisabeh Degon, équipe francophone, Institut des textes et manuscrits modernes, CNRS-ENS ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)
Subject
The topic of the resource
Williams Sassine
<em>Le Lynx</em>
Presse
Notice pour un article dans une revue, périodique ou tout support de presse
Texte de l'article
Texte de l'article publié dans la revue
<h1><a name="_Toc380319137"></a><a name="_Toc330587751"></a><span>N° 242, 11 novembre 1996 : Et puis ce n’est pas fini. A Fakoudou !</span></h1>
<div style="text-align: justify;"> Je revenais de loin. Des eaux polluées de Kankan.</div>
<div style="text-align: justify;"> Si on y résiste à la mort, c’est uniquement parce que la mort ne sait pas où se loger dans ses cimetières. Comme à Conakrime, notre « belle et proprette cité » d’après notre petite radio locale, spécialisée dans la rubrique <strong><em>Nécro </em></strong>et le plat ventrisme. En passant, je salue un Idrissa Camara qui s’évertue à lire les « poèmes » de nos poétesses multicolores, et autres vers qui rongent les émissions de <strong><em>Mohamed Salif Keita</em>. S’il ne se passe rien, écris pour le dire. </strong>Et il ne se passe rien de formidable. Le Lynx vous salue !</div>
<div style="text-align: justify;"> Revenons à notre « belle cité ». Pour ajouter à sa beauté, j’ai cherché en vain les toilettes à l’autogare. Et finalement, je me suis soulagé entre une femme callipyge accroupie, un gamin qui suçait son bonbon « garafiri » en pissant à volonté, comme <strong><em>Alphonse Allais </em></strong>qui rêvait d’être riche, pour pouvoir uriner tout le temps. Chez nous, on pourrait dire « si j’étais riche, je passerais ma vie à parler ». Nous l’avons vu avec la dame de l’Agritout aujourd’hui recyclée dans les « mamayas ».</div>
<div style="text-align: justify;"> J’ai fini par retrouver « Taouyah ». <strong>A rechercher un pays où il n’y ait pas de tombeaux, on arrive dans un pays de cannibales. </strong>Les « maquis » s’étaient vidés. On y parlait de Sydia. Si le charmeur est mordu par son serpent, à qui est-ce la faute ? (C’est dans la bible). A propos, nous souhaitons un bon séjour à <em>Monseigneur Robert de Chevigny</em>, curé de la belle Eglise Saint Augustin, et à <em>Maurice Milandou</em>, le vicaire. <strong>Dieu est un mais il a beaucoup de noms.</strong></div>
<div style="text-align: justify;"> La magie de notre PPCM (Plus Petit Commun Ministre), s’éteignait. Plus de courant 24h/24h.</div>
<div style="text-align: justify;"> Un courant qui avait couru pendant 3 mois, sans arrêt, avec des factures plus rapides. Les automobilistes se font le plaisir de déraciner les poteaux électriques, pour pouvoir les éventrer et arracher les boyaux. Les enfants avec leurs lance-pierres visent les ampoules publiques. Qu’est-ce que vous voulez ? On a coupé les arbres fruitiers.</div>
<div style="text-align: justify;"> Un Tchèque se barrait. Il était venu, invité par un guinéen. Et son fric était parti, lui était resté. Une histoire classique. Oui un tchèque se mourrait, sans son chèque. Sans jamais avoir vu, Saliflouflou notre ex-ministre de la Justice Juteuse, sans jamais avoir approché La Gomme, notre ex-minustre de l’insécurité. Bonjour Serge Daniel (il paraît que tu es revenu mec. Pour repartir la corde au cou). Tu as dû faire attention à l’actuel minustre de l’insécu. Il s’est découvert à Kankan, à l’hôtel Baté, entouré de sa cour. Avec 50 kilos de plus semble-t-il. Il avait du riz pour<span> </span>les malheureux de nos frontières. Ce n’était pas le riz de Lansana, mais son riz. Le discours officiel est venu plus tard. Le type, quand je l’ai connu, il était peut-être ami de Tolno. Celui qui a même une fondation aujourd’hui. Mais la fondation n’a pas de toit. Brave Tolno ! Malheureusement le Tolneau vidé a une femme et des enfants adorables. A fakoudou !</div>
<div style="text-align: justify;"><strong> Et puis, ce n’est pas fini</strong>. Je sais qu’on a de la fortune sans bonheur, comme on a des femmes sans amour. Aujourd’hui, il n’y a que les nouveaux riches qui sont effrayés par le moindre bruit de bottes. Une villa ne coûte plus que cinq pauvres millions de nos francs glissants. Une « <em>pajero</em> » c’est le prix d’une belle brouette motorisée. Il faut rembourser ! Mais pendant ce temps, se sont envolés l’ex-gouverneur des banques, son minus-tre des finances, ex-dirlo du trésor, ex-coopérant sénégalais. Pendant ce temps, notre La Baïcha, l’ex du BAC, ex directrice des projets Page I Page II (sic : Pase<a name="_ftnref1"></a><span>[1]</span>), continuait à écrire ses mémoires interrompues. Une mante religieuse qui aimait bien son coq de 6h09. Aujourd’hui, à l’Unesco, un mouroir de l’UNESCO. Je te salue quand même la Baïcha. Tu as été très gentille avec moi. <strong><em>La mémoire est toujours aux ordres du cœur</em></strong>. A fakoudou ! Un petit passait avec une énorme radio sur la tête, qui criait. « <em>Jé été aux émiriats, et on m’a z’applaudit. Je été au Sénégal et on m’a z’applaudit. Je été au Liberia et on m’a z’applaudit…L’impérialisme m’a z’applaudit, le communisme m’a z’applaudit, le neutralisme m’a z’applaudit. Ici, dans mon pays, celui qui ne me z’applaudira pas sera pendi…</em> » Et puis le type passait devant le commissariat central sans être inquiété.</div>
<div style="text-align: justify;"> Je suis retourné à la maison, une espèce de baraque en carton qui me tient lieu d’abri. Les souris et autres rats y règnent. Mais c’est moi, mine de rien, qui paie le loyer. La sale maison où il pleut en bas. A Fakoudou ! Ma chienne barbue avait mangé ses enfants et avait adopté un chaton. Un jour je serai le seul à posséder un chat qui aboie.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong> Et ce n’est pas fini. </strong>Alpha-Oméga du Erre-pé-gé a été mal accueilli. Des bâtiments publics détruits ou attaqués. Du sang versé. Nous savons que le public est une vieille femme. Nous l’avons vérifié au temps du pédégé. Attention ! J’ai peur car <strong><em>si le peuple donne sa faveur, il ne donne jamais sa confiance</em></strong>. Sékou Gouré l’a vu, immortalisé dans son rêve américain, quand la force immobile est arrivée. Nous la saluons au nom de la presse privée. Fodé Tass Sylla peut témoigner de cette liberté. Merci Monsieur Faux-Dé.</div>
<div style="text-align: justify;"> Fory Coco m’attendait. A Fakoudou ! Le prési voulait me demander ce que je pensais de Sidya, de Sidim, de Con-paré et des autres ex-futurs. Je lui ai parlé franchement, les yeux dans mon Lynx. L’enregistrement est sur magnéto. Au prochain numéro. Ecrivez vite au « Lynx » pour donner votre accord, sur cet article sonore. Vous serez en indirect avec un prési. <em>La meilleure huile est au sommet, le meilleur vin au milieu et le meilleur miel au fond</em>. <strong><em>Ce n’est pas la largeur des épaules qui fait la souveraineté, c’est l’intelligence qui partout est souveraine </em></strong>(Sophocle, 1253 avant JC). Mais il nous faut écouter ces voix traduites, inquiètes, désespérantes parfois, car ce qu’elles proclament est vrai. Mais les chances de l’homme commencent au delà de cette vérité. Nous ne pouvons pas renoncer à trouver un sens à notre existence : la volonté d’un humanisme<span> </span>nouveau, répond à notre crise de la pensée. Il n’est pas question de revenir aux croyances traditionnelles, qu’a détruites l’évolution même du monde moderne. Il ne s’agit même pas de savoir si on peut vivre dans ce monde, mais si dans ce monde, nous pouvons retrouver un ordre humain.</div>
<div style="text-align: justify;"> Il n’est pas question non plus de se satisfaire des ces joies de la libération qui donnent leur chant à l’écoute ou à une lecture d’un Sory Kandia, d’un Camara Laye, d’un Monenembo, d’un Aliou, d’un Bokoum. Humanisme poétique, humanisme héroïque, humanisme personnaliste, humanisme marxiste, humanisme scientifique…Et j’en passe.</div>
<div style="text-align: justify;"> L’individu sait aujourd’hui qu’il ne peut pas s’accomplir dans une civilisation en ruines. Il ne peut pas ignorer le tragique.</div>
<div style="text-align: justify;"> Car l’effort pour redonner un sens à l’existence, pour créer de nouvelles formes, de nouvelles valeurs, prendra bien des formes. Bientôt. Car, pour diverses qu’elles soient, elles ont toutes en commun le souci du social et la reconnaissance du noir tragique Noir.</div>
<div style="text-align: justify;"> Désormais, l’homme qui doit survivre, ou vivre, est celui qui se sait inséparable de la collectivité et de son histoire, et qui a traversé l’épreuve de crise et de la déception. Car l’homme n’est plus dans ce qu’il est, ou ce qu’il a. Il est celui qui vient pour devenir. Les armes sont à la porte de sa<span> </span>nouvelle aventure. C’est dans l’apoca (sic : lipse). Mobutu dort. Amin Dada dort. Macias dort. Diawara dort. Kérékou se réveille. Eyadema se réveille…Des monstres à surveiller. Car l’Europe les tient…</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><em> Et ce n’est pas fini</em></strong>. J’ai allumé une cigarette. Mon coq faisait semblant de me réveiller, avec la même foi qu’un minustre du nouveau gouvernementeur. On chen fout. Je pensais à Salomba, le roi de la mécanique à Kankan, à la tête du garage qui centralise les meilleurs renseignements de la région. En face du cinéma Vox (c’est ma petite publicité personnelle). Je pensais également au libraire Diabaté, Chevalier de la langue N’KO, un moyen de communication universelle. Diabaté, on te soutient, après tes longues années inutiles au camp Boiro. Femmes<span> </span>et enfants perdus. Mais toujours vivant. Mais toujours vivifiant.</div>
<div style="text-align: justify;"><strong><em> Et ce n’est pas fini</em></strong>, parce que je ne parlerai pas des personnalités de Kankan, qui ont refusé de me recevoir en tant que journaliste du Lynx.</div>
<div style="text-align: justify;"> </div>
<div style="text-align: justify;"> Pendant ce temps, quelqu’un racontait : <em>« Moi, je ne comprends rien. Alors absolument rien ! Mon premier enfant est albinos. Je n’ai rien dit. Le deuxième est noir comme le charbon, la nuit on ne voit que ses dents quand on réussit à le faire rigoler. Je n’ai rien dit. Le 3è, depuis sa naissance, rigole dès qu’il me voit. Il a des oreilles de lapin, en plus. Je n’ai rien dit. Cette fois-ci mon frère j’ai reçu une espèce de petit asiatique. Quand je me suis étonné, ma femme m’a répondu que le quart de la population mondiale est chinois. A Fakoudou, ça ne va pas durer ! Parce que si je continue, mon 5è enfant, il sera quoi ? Hein ? </em>»</div>
<div style="text-align: justify;"> </div>
<div style="text-align: justify;"><strong>par Williams Sassine</strong></div>
<p><a name="_ftn1"></a><span>[1]</span>PASE = Programme d’ajustement structurel de l’éduction</p>
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Source
A related resource from which the described resource is derived
<i>Le Lynx</i>, n° 242
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1996/11/11
Title
A name given to the resource
242. Et puis ce n’est pas fini. A Fakoudou !
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Sassine, Williams
Contributor
An entity responsible for making contributions to the resource
Degon, Elisabeth (collecte et saisie)
Language
A language of the resource
Français
Rights
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Fiche : Elisabeh Degon, équipe francophone, Institut des textes et manuscrits modernes, CNRS-ENS ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)
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The nature or genre of the resource
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