Il s'agit d'un dialogue entre deux frères. Le fils riche et tempérant refuse de venir au secours de son père dans la pauvreté, comme lui demande son frère. Le fils prospère invoque le fait que lorsque le père a dû payer une rançon à des pirates, il a choisi de libérer son frère et non pas lui.

Cette déclamation passe en revue tous les savoirs humains pour en montrer la vanité et exalte la simplicité et l'humilité de la foi.

Cette déclamation met en scène trois frères : un ivrogne, un "putier", et un joueur. Celui qui se révélera le plus vicieux d'entre eux sera déshérité.

Dans le cadre d'un procès dont dépend leur héritage, trois frères (un philosophe, un médecin et un orateur) s'efforcent successivement de démontrer que leur discipline est la plus utile.

Cet éloge passe en revue les nations buveuses avant de louer les différentes vertus de l'ivresse : elle donne de la joie, soigne les maux du corps et de l'âme, engendre amitié et charité.

Copie du Discours de la Servitude volontaire par l’humaniste savoyard Jean Piochet de Salins.

Cette déclamation est une charge polémique violente contre les protestants, ministres de l'Antéchrist, qui peuvent utiliser la magie pour étendre l'hérésie. Elle promeut une politique de répression à leur encontre.

La déclamation de Lucrèce présente deux discours contradictoires. Dans le premier, le père et le mari de l'héroïne romaine veulent la dissuader de se tuer. Dans le second, Lucrèce veut démontrer que malgré la résistance de son esprit, son innocence est perdue à cause du viol qu'elle a subi.

Lorenzo Valla dénonce le caractère mensonger du texte de la Donation de Constantin.

Lorenzo Valla dénonce le caractère mensonger de la Donation de Constantin.

Dans ce dialogue, Lorenzo Valla fait entendre successivement un stoïcien pour qui le souverain bien est l'honnêteté, puis un épicurien pour qui la fin de la philosophie est le plaisir. La déclamation culmine dans la parole d'un chrétien pour qui il faut rechercher le plaisir en Dieu.