https://eman-archives.org/Cartomac/items/browse?tags=roman+social&sort_field=added&sort_dir=d&output=atom2024-03-28T14:38:58+01:00Omekahttps://eman-archives.org/Cartomac/items/show/89La majorité de ses manuscrits sont déposés à la Bibliothèque francophone multimédia de Limoges et sont disponibles à la consultation sur place ou sur le site: https://sonylaboutansi.bm-limoges.fr
Bfm Centre Ville 2, Place Aimé Césaire Limoges]]>2022-04-04T14:54:42+02:00
Dublin Core
Type
Fonds d'archives
Créateur
Tansi, Sony Labou
Titre
Fonds Sony Labou Tansi
Date
2012
Sujet
Congo
Brazzaville
roman social
théâtre
poésie
Description
La majorité de ses manuscrits sont déposés à la Bibliothèque francophone multimédia de Limoges et sont disponibles à la consultation sur place ou sur le site: https://sonylaboutansi.bm-limoges.fr
Bfm Centre Ville 2, Place Aimé Césaire Limoges
Langue
Français
Identifiant
France
Couverture
République du Congo
France
Relation
Site dédié à la consultation des manuscrits de l'écrivain : http://sonylaboutansi.bm-limoges.fr/
Droits
Droits : famille Sony Labou Tansi
Contact : fruault@bm-limoges.fr
François Ruault, conservateur du fonds
fruault@bm-limoges.fr
Tel : 05 55 45 96 00
Fiche : Claire Riffard, équipe francophone, Institut des textes et manuscrits modernes, CNRS-ENS ; projet EMAN, Thalim (CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR).
Contributeur
Ekoungoun, Jean-Francis (rédaction)
Riffard, Claire (révision)
Riffard, Claire (rédaction)
Walter, Richard et Tricoche, Agnès (édition électronique)
Fonds Item Type Metadata
Biographie de l'auteur
Sony Labou Tansi est né de père zaïrois (RDC) et d'une mère congolaise (RC). Aîné de sept enfants, Marcel Sony apprend le français à l'école, puis il étudie à l'École Normale Supérieure d'Afrique centrale (ENSAC) . À partir de 1971, il enseigne le français et l'anglais à Kindamba (en) puis à Pointe-Noire1. À la publication de son premier roman, en France en 1979, il choisit pour pseudonyme Sony Labou Tansi, en hommage à Tchicaya U Tam'si. Satire féroce de la politique fondée sur la torture, le meurtre et le culte de la personnalité, dénonciation de la dictature, La Vie et demie se déroule dans un pays imaginaire, la Katamalanasie. Dramaturge, fortement soutenu par le Festival des Francophonies en Limousin, ses pièces de théâtre furent jouées en France, en Allemagne, en Italie et aux États-Unis. Il dirigea la troupe du Rocado Zulu Théâtre à Brazzaville. Il a toujours vécu au Congo-Brazzaville et s'est rapproché, à la fin de sa vie, du leader Bernard Kolélas. En 1992, il est élu député de Makélékélé, et il est radié de la fonction publique en 1994. Il meurt à l'âge de 47 ans, le 14 juin 995, 3 jours après son épouse Pierrette. Depuis 2003, le Prix Sony Labou Tansi est décerné à des pièces de théâtre francophones.
Volumétrie
Supérieur à 5000
Accessiblité
Sur demande
Notes
Droits image : Christophe Laurentin
Catalogue collectif de France : http://ccfr.bnf.fr/portailccfr/jsp/index_view_direct_anonymous.jsp?record=eadcgm:EADI:FRCGMSUP-870856101-SF03a.xml
Fiche : Claire Riffard, équipe francophone, Institut des textes et manuscrits modernes, CNRS-ENS ; projet EMAN, Thalim (CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR).
Contributeur
Walter, Richard et Tricoche, Agnès (édition électronique)
Ekoungoun, Jean-Francis (rédaction)
Khene, Rym (révision)
Fonds Item Type Metadata
Biographie de l'auteur
Seydou Badian Kouyate plus connu sous le nom de Seydou Badian est un écrivain et homme politique malien Seydou Badian Kouyaté effectue des études de médecine à l’université de Montpellier en France. Il est l'auteur d'une thèse sur les traitements africains de la fièvre jaune. En 1956, il rentre au Mali et est nommé médecin de circonscription. Proche du premier président Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national, Pour l'Afrique et pour toi, Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le 17 septembre 1962. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. En 1997, il est candidat à l’élection présidentielle mais décide, comme la plupart des autres candidats opposés au président sortant Alpha Oumar Konaré, de retirer sa candidature pour protester contre la mauvaise organisation des élections. Militant de la première heure de l’Union soudanaise-RDA, il en est exclu en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait la non-reconnaissance des institutions lors des élections contestées. En 2009 Seydou Badian Kouyaté change de nom et s'appelle officiellement Seydou Badian Noumboïna, du nom d'un village dans le cercle de Macina.
Bibliographie de l'auteur
Œuvres de l'auteur :
Badian, Seydou, Sous l’orage suivi de la mort de chaka, 1957. Badian, Seydou, Les Dirigeants africains face à leurs peuples, 1965. Badian, Seydou, Le Sang des masques, 1976. Badian, Seydou, Noces sacrées, 1977. Badian, Seydou, La Saison des pièges, NEI/Présence Africaine, 2007.
Bibliographie secondaire :
Sébastien Le Potvin, Lettres Maliennes: Figures et configuration de l'activité littéraire au Mali, Éditions L'Harmattan, 2006, p.298 Modibo Diagouraga, Modibo Keïta: Un destin, Éditions L'Harmattan, 2005 Cheick Oumar Diarra, Le Mali de Modibo Keïta, Éditions L'Harmattan, 1986, p.98