Souhaite la bienvenue à Zola et sollicite un rendez-vous.

Réponse par John Morley (homme politique libéral et homme de lettres britannique, secrétaire en chef pour l'Irlande du gouvernement de Gladstone) à une invitation de la part de Paul Henri Benjamin Balluet d'Estournelles de Constant (ministre plénipotentiaire et chargé d'affaires à Londres, 1890-95). Morley est désolé mais est retenu en Irlande.

Lettre arrivée trop tard, toast sera inséré ce soir

L'ambassadeur Albert Gate regrette de ne pouvoir accepter l'invitation pour samedi.

Accuse réception de la somme de deux cents francs donnée par Zola à l'Hôpital Français de Londres.

Ne pourra pas serrer la main de Zola à la gare demain matin.

A organisé un déjeuner à son club avec quelques écrivains. Il passera prendre Zola chez lui.

Envoi d'un article de The Humanitarian à propos du Docteur Pascal.

Le Président de "The Balloon Society" propose à Zola de prendre la parole devant ses confrères.

Réponse de Grandieu, dans Le Figaro du 26 septembre 1893, au discours de Zola sur l'anonymat dans la presse.

Demande de réalisation d'un portrait photographique de Zola.

Demande de renseignements à propos de Pot-Bouille.

Sollicite une interview à Zola pour son journal qu'elle vient de créer.

Lettre d'une agence de presse.

Lettre d'une agence de presse à Londres.

Collaboration de Zola au Pall Mall Magazine. Demande d' interview.

Remerciements de la Société Française de Bienfaisance pour la cotisation de Zola.

Offre de service d'une agence de presse londonienne.

Traite Chatto et Windus de voleurs et informe Zola qu'il n'est pas jugé digne de déjeuner à sa table. Mais exprime à Zola son dévouement et ses hommages.

Répond à une lettre de Zola à propos d'une interview et le remercie.

Max O'Rell (https://fr.wikipedia.org/wiki/Max_O%27Rell) revient d'un voyage de deux et ne pourra recevoir Zola chez lui comme il le souhaiterait.

Lettre d'admiration d'une dame mariée à un espagnol, Alberto de Cologan, Marques de Torre Hermosa d'Orotava (Tenerife). Elle décrit le fait qu’ils ont passé l’été en Écosse et qu’ils ont lu ensemble et avec grand plaisir bon nombre des romans de Zola. Elle trouve les oeuvres de Zola aussi saints que la Bible. Demande une photographie. Divorcés en 1902. Fille de l'homme politique « unioniste » (centre droite), Arthur Bignold.

Longue lettre de demande d'aumône et de secours.

Madame Atkinson est une admiratrice de Zola.

Les directeurs du "Palace Theatre" invitent les Zola et leurs amis à une représentation théâtrale.

Envoi de l'interview de Zola qu'il a réalisé pour le Daily Graphic.

Visite de Zola au Press Club.

Lettre d'invitation à The Institute of Journalists de Londres.

Lettre à propos de l'organisation des visites de Zola à Londres.

Lettre d'un lecteur de Zola qui lui écrit son admiration.

De la part de l'ambassadeur, Lord Dufferin, qui remercie Zola des 3 volumes, autographiés, que le romancier vient de lui envoyer.

Demande d'autographe.

Envoi d'un livre avec une coupure de presse. Mention manuscrite de la main de Zola ("Remercier").

Informe Zola qu'un peintre franco-anglais (Mr. Staples) souhaite réaliser un pastel de lui. Une autre personne, Sergius Stepniak, le "fameux proscrit russe", souhaite rencontrer Zola.

A propos de la visite de Zola au Press Club, le membre du Comité souhaite offrir un verre en l'honneur du romancier.

Demande d'interview. Avec mention manuscrite de Zola : "Demande d'interview. Je ne parle pas l'anglais."

Ce directeur du journal "The Independent Theatre" fait part à Zola de son admiration et se réjouit que son club lui offre un dîner.

La Foreign Press Association in London informe que Zola a été élu membre honoraire de leur association durant son séjour à Londres et qu'il disposera des bureaux.

Invitation au Press Club

Souhaite se présenter à Zola le lendemain à deux heures, dans l'espoir d'être reçu. Paul Brulat lui a dit que Zola était accueillant aux jeunes.

A propos du discours de Zola à la Société des professeurs de français en Angleterre et de sa publication dans la presse.

Suite de la lettre du 24 septembre 1893 à propos du discours de Zola à la Société des professeurs de français en Angleterre.

Envoi de gravure à eau-forte

Envoi d'un manuscrit de roman (en anglais) "Judge not" par par une écrivaine qui se servira du nom de plume masculin, George Cusack, dans « The Red Rag of Ritual » de 1899. Elle explique que son manuscrit « trop sensationnel » a déjà été refusé par les éditeurs anglais, dont l’un critique une héroïne dite « anormale aux idées anglaises ».

Envoi d'une récompense satirique de la part d'"Ally Sloper's Half Holiday", un hebdomadaire humoristique britannique à un penny lancé en 1884 par Gilbert Dalziel, et disparu en 1923. Périodique essentiellement conservateure. Tout à la gloire d'Ally Sloper, c'est le premier périodique nommé d'après un personnage créé pour la bande dessinée. Généralement, tout est fait pour donner l'idée que l'élite, les classes moyennes et les classes populaires les plus aisées ne sont pas si éloignées les unes des autres. Dans le même temps, sont critiqués les étrangers, l'Armée du salut, les socialistes, les domestiques et les grévistes. Dalziel propose ici de publier une photographie de Zola dans "F.O.S. Portrait Gallery". Peter Bailey identifie Zola et Ruskin comme exemples de bénéficiaires du fictif Ordre du Mérite distribué par Sloper - ici "Award of Merit" ( "Ally Sloper's Half-Holiday: Comic Art in the 1880s", History Workshop, no 16, automne 1983, p. 4-31).

Madame Petilleau accepte l'invitation de Madame Zola pour demain. Les visites de Zola à la Société des professeurs français, à l'hôpital français et à la Société nationale française ont produit les meilleurs effets.

Confirmation du rendez-vous du lendemain, à 5h30, au British Museum, afin de se rendre au French Club.

Confirmation d'un rendez-vous pour le lendemain : visite de la Société nationale française et French Club

Envoi à Zola un reçu pour le don de 600 francs que le romancier a fait à l'Hôpital français, à la Société nationale française et à la Société de bienfaisance française.

Recommande à Zola son collaborateur Gerard Harry, qui se rend à Londres pour représenter L'Indépendance belge au Congrès de l'Institute of journalists.