id;Identifier;"Auteurs traités par le corpus";"Autre site web";"Couverture géographique";Date;"Date d'ouverture du site";"Date de fin du projet";Description;Rights;Type;Language;"Categorie EMAN blog";"Library tag";Notes;Contributor;"Principes éditoriaux";"Présentation du corpus";"Présentation scientifique du projet";Coverage;Relation;Creator;"Search phrase";Source;Subject;"Type de documents traités";Title;Sous-titre;Transcriptions;"URL List";Volumétrie;Publisher;Format
1;;;;Mondial;" 2022-01-24";;;"La correspondance de Camille Flammarion, astronome et président fondateur de la Société Astronomique de France, conservée à l'Observatoire de Juvisy a été en partie microfilmée puis numérisée. Il s'agit de la correspondance reçue par Camille Flammarion entre 1860 et 1925 (admirateurs, scientifiques, confrères astronomes, astronomes amateurs, sociétés astronomiques, …). Elle n’a jamais été retranscrite ni totalement recensée. L’objectif du projet est de réaliser un recensement et une retranscription collaboratives de la correspondance afin de démarrer différents projets de recherche.";;Correspondance;Français;;;;"Aubin, David";;;;"XIXe siècle";;"Aubin, David (IMJ-PRG, CNRS-Sorbonne Université-Université Paris-Cité)";;"Conservé à l’observatoire Camille-Flammarion de Juvisy-sur-Orge";astronomie;Manuscrits;"Correspondance Camille Flammarion";;"A terme, la transcription est un objectif du projet";;"Environ 20000 pages";"Société astronomique de France ; Projet EMAN, Thalim (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
1;;;;Mondial;" 2022-01-24";;;"La correspondance de Camille Flammarion, astronome et président fondateur de la Société Astronomique de France, conservée à l'Observatoire de Juvisy a été en partie microfilmée puis numérisée. Il s'agit de la correspondance reçue par Camille Flammarion entre 1860 et 1925 (admirateurs, scientifiques, confrères astronomes, astronomes amateurs, sociétés astronomiques, …). Elle n’a jamais été retranscrite ni totalement recensée. L’objectif du projet est de réaliser un recensement et une retranscription collaboratives de la correspondance afin de démarrer différents projets de recherche.";;Correspondance;Français;;;;"Aubin, David";;;;"XIXe siècle";;"Aubin, David (IMJ-PRG, CNRS-Sorbonne Université-Université Paris-Cité)";;"Conservé à l’observatoire Camille-Flammarion de Juvisy-sur-Orge";astronomie;Manuscrits;"Correspondance Camille Flammarion";;"A terme, la transcription est un objectif du projet";;"Environ 20000 pages";"Société astronomique de France ; Projet EMAN, Thalim (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
3;https://eman-archives.org/dalembert;"D'Alembert et ses correspondants, les principaux étant, par ordre décroissant de nombre de lettres conservées : Voltaire, Frédéric II, Lagrange, Euler, Cramer, d'Argens...";http://dalembert.academie-sciences.fr/Correspondance;Allemagne;" 2019-03-06 ";;;"
L’édition D’Alembert lettre à lettre, accessible pour partie et pour l’instant à l’adresse
http://dalembert.academie-sciences.fr/Correspondance s’inscrit dans le cadre des Œuvres complètes de D’Alembert, qui inclut la publication au format papier de l’intégralité de la correspondance active et passive du célèbre savant, philosophe et encyclopédiste français. L’édition numérique s’articule étroitement avec ce processus de publication au format imprimé, lui-même couplé à des recherches en cours. D’Alembert lettre à lettre veut à la fois permettre de rendre compte de cette dynamique de recherche, en offrant une édition sans cesse enrichie des dernières découvertes (telles que les lettres récemment retrouvées), tout en complétant le contenu de l’édition papier par un accès, d’une part, à des outils de navigation et de recherche plus performants et, d’autre part, à une autre dimension importante du corpus épistolaire : les traces matérielles des lettres qui le constituent.
";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/2196;;"Date du début du projet d'édition numérique de la correspondance de D'Alembert : 2010.";;"La transcription présentée est à l'identique, aux majuscules et sauts de ligne près. Pour plus de détail sur les principes d'édition, voir le volume V/2 des Œuvres complètes de D'Alembert, Correspondance 1741-1752 (CNRS Éditions, 2015).
";"Il s'agit du corpus des 2300 lettres retrouvées (estimées à la moitié ou au tiers des lettres ayant été échangées) de ou à D'Alembert. La postérité de D'Alembert ou de ses correspondants n'est pas étrangère à cette conservation, à l'époque comme aujourd'hui. Visualiser les différentes versions de ces lettres est un moyen d'interroger le regard que nous portons sur ce fragment de rapport privé/public que représente une lettre. Pour plus de détail, voir l'introduction du volume V/1 des Œuvres complètes de D'Alembert, Inventaire analytique 1741-1783 (CNRS Éditions, 2009).
";"Le projet D'Alembert en toutes lettres vise à rendre disponible la transcription et les images des 2300 lettres de sa correspondance envoyée et reçue, qui couvre la période 1741-1783. Chacune de ces lettres est donnée dans ses versions connues : manuscrite(s) et/ou imprimée(s). Son support et son contenu sont décrits et cette description est interrogeable, ce qui permet au lecteur de naviguer par correspondant, par date, par lieu, par fonds, par thème.
";"XVIIIe siècle";;"Passeron, Irène";;;"D'Alembert";"Documents manuscrits";"D'Alembert lettre à lettre";;"Le projet propose une transcription et une visualisation des manuscrits et des imprimés correspondant à chaque lettre. Toutes les lettres sont décrites par leur auteur, destinataire, date, lieux d'expédition, lieu de destination (éventuellement restitués et justifiés), résumé, incipit, mots-clés, auteurs et ouvrages cités.";;"2300 lettres.";"Irène Passeron & Alexandre Guilbaud ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Manuscrits et imprimés."
4;https://eman-archives.org/Paulhan;"Paulhan, Jean";"https://obvil.sorbonne-universite.fr/corpus/paulhan
(en version non corrigée)";France;2020-11-12;;;"Mené depuis 2013, dans le cadre du Labex OBVIL (Observatoire de la vie littéraire), en partenariat avec l’IMEC (Institut Mémoire de l’édition contemporaine), la SLJP (Société des lecteurs de Jean Paulhan) et EMAN, le projet Paulhan met à la disposition de tous sur Internet un ensemble de lettres reçues et écrites par Jean Paulhan, à la fois sous la forme de documents scannés et de transcriptions.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/3226;;;"Baillaud, Bernard";;"Épistolier prolifique (plus de 2500 correspondants à l’IMEC), Paulhan est l’auteur d’une correspondance remarquable par sa diversité, sa variété et les éclairages qu’elle fournit sur la vie intellectuelle du XXe siècle. D’un point de vue éditorial, la correspondance se caractérise aussi par le très grand nombre d’inédits qu’elle comporte, complétant l’entreprise de publication des correspondances de Paulhan initiée chez Klincksieck, Gallimard, aux éditions Claire Paulhan et chez quelques autres éditeurs. Les lettres numérisées sont donc inédites ou font partie d’éditions épuisées. Le projet ne se superpose à aucun projet d’édition de correspondance en cours. En accord avec l’IMEC, deux périodes-clés ont été retenues pour procéder à la numérisation et constituer ce corpus : 1925-1936, qui montre la montée en puissance de Jean Paulhan à La NRF, et la conquête d’une place centrale dans la vie littéraire ; 1950-1958, période qui permet d’observer les nouvelles formes de la vie littéraire, après l’épreuve de la guerre et celle de l’épuration intellectuelle, autour d’une NNRF renaissante (1953) et d’un Paulhan qui revendique l’autonomie de la littérature.
";"Le projet repose sur la numérisation d’une partie du fonds des correspondances Paulhan, et ce à partir des documents appartenant d’une part au fonds Paulhan de l’IMEC, d’autre part à des fonds connexes déposés à l’IMEC (par exemple pour l’établissement de correspondances croisées). Les documents, une fois numérisés, sont transcrits et présentés par les chercheurs associés au projet, avec l’aide d’étudiants recrutés à ces fins, mais aussi et surtout grâce à l’implication de plusieurs membres de la SLJP, qui ont accepté de prendre en charge la transcription de certaines correspondances. La base documentaire ainsi constituée permet de réunir sur un seul support numérique des correspondances que les contraintes de l’édition papier imposent de publier en volumes séparés. Ce corpus est disponible sur le site de l’OBVIL (en version non corrigée) et sur la plateforme EMAN (en version corrigée). À partir de ce corpus, il s’agit de montrer le monde de Jean Paulhan, ses réseaux, son influence, mais aussi, puisque les correspondances sont un lieu d’exercice du jugement littéraire au jour le jour, de donner à voir ses prises de position et leurs évolutions quant à la valeur littéraire, apport important pour la compréhension de l’histoire intellectuelle du XXe siècle.";"XXe siècle";;"Koskas, Camille (Sorbonne Université) ";;"Les manuscrits proviennent du fonds Paulhan de l’Institut mémoire de l’édition contemporaine (IMEC), à Caen, ainsi que de fonds connexes, dans le cas de correspondances croisées. ";correspondances;"Documents manuscrits";"Hyper Paulhan : Édition numérique des correspondances de Jean Paulhan";;"Le projet propose une transcription complète des lettres manuscrites.
Merci de nous communiquer les erreurs que vous proposez de corriger.";;"Environ 3070 lettres à la date de mai 2023";"Koskas Camille, Sorbonne Université ; projet OBVIL/EMAN (THALIM et ITEM, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)
Paulhan, Claire projet OBVIL/EMAN (THALIM et ITEM, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)
";
4;https://eman-archives.org/Paulhan;"Paulhan, Jean";"https://obvil.sorbonne-universite.fr/corpus/paulhan
(en version non corrigée)";France;2020-11-12;;;"Mené depuis 2013, dans le cadre du Labex OBVIL (Observatoire de la vie littéraire), en partenariat avec l’IMEC (Institut Mémoire de l’édition contemporaine), la SLJP (Société des lecteurs de Jean Paulhan) et EMAN, le projet Paulhan met à la disposition de tous sur Internet un ensemble de lettres reçues et écrites par Jean Paulhan, à la fois sous la forme de documents scannés et de transcriptions.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/3226;;;"Baillaud, Bernard";;"Épistolier prolifique (plus de 2500 correspondants à l’IMEC), Paulhan est l’auteur d’une correspondance remarquable par sa diversité, sa variété et les éclairages qu’elle fournit sur la vie intellectuelle du XXe siècle. D’un point de vue éditorial, la correspondance se caractérise aussi par le très grand nombre d’inédits qu’elle comporte, complétant l’entreprise de publication des correspondances de Paulhan initiée chez Klincksieck, Gallimard, aux éditions Claire Paulhan et chez quelques autres éditeurs. Les lettres numérisées sont donc inédites ou font partie d’éditions épuisées. Le projet ne se superpose à aucun projet d’édition de correspondance en cours. En accord avec l’IMEC, deux périodes-clés ont été retenues pour procéder à la numérisation et constituer ce corpus : 1925-1936, qui montre la montée en puissance de Jean Paulhan à La NRF, et la conquête d’une place centrale dans la vie littéraire ; 1950-1958, période qui permet d’observer les nouvelles formes de la vie littéraire, après l’épreuve de la guerre et celle de l’épuration intellectuelle, autour d’une NNRF renaissante (1953) et d’un Paulhan qui revendique l’autonomie de la littérature.
";"Le projet repose sur la numérisation d’une partie du fonds des correspondances Paulhan, et ce à partir des documents appartenant d’une part au fonds Paulhan de l’IMEC, d’autre part à des fonds connexes déposés à l’IMEC (par exemple pour l’établissement de correspondances croisées). Les documents, une fois numérisés, sont transcrits et présentés par les chercheurs associés au projet, avec l’aide d’étudiants recrutés à ces fins, mais aussi et surtout grâce à l’implication de plusieurs membres de la SLJP, qui ont accepté de prendre en charge la transcription de certaines correspondances. La base documentaire ainsi constituée permet de réunir sur un seul support numérique des correspondances que les contraintes de l’édition papier imposent de publier en volumes séparés. Ce corpus est disponible sur le site de l’OBVIL (en version non corrigée) et sur la plateforme EMAN (en version corrigée). À partir de ce corpus, il s’agit de montrer le monde de Jean Paulhan, ses réseaux, son influence, mais aussi, puisque les correspondances sont un lieu d’exercice du jugement littéraire au jour le jour, de donner à voir ses prises de position et leurs évolutions quant à la valeur littéraire, apport important pour la compréhension de l’histoire intellectuelle du XXe siècle.";"XXe siècle";;"Koskas, Camille (Sorbonne Université) ";;"Les manuscrits proviennent du fonds Paulhan de l’Institut mémoire de l’édition contemporaine (IMEC), à Caen, ainsi que de fonds connexes, dans le cas de correspondances croisées. ";correspondances;"Documents manuscrits";"Hyper Paulhan : Édition numérique des correspondances de Jean Paulhan";;"Le projet propose une transcription complète des lettres manuscrites.
Merci de nous communiquer les erreurs que vous proposez de corriger.";;"Environ 3070 lettres à la date de mai 2023";"Koskas Camille, Sorbonne Université ; projet OBVIL/EMAN (THALIM et ITEM, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)
Paulhan, Claire projet OBVIL/EMAN (THALIM et ITEM, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)
";
6;https://eman-archives.org/Famililettres;"Godin, Jean-Baptiste";https://www.collexpersee.eu/projet/famililettres/;Europe;2020-02-12;;;"FamiliLettres est le projet d’édition sur la plateforme EMAN des correspondances privées, actives et passives, de Jean-Baptiste André Godin (1817-1888), industriel et créateur de l’expérimentation sociale inspirée du fouriérisme que fut le Familistère de Guise, et de sa collaboratrice et compagne Marie Moret (1840-1908). Il comporte aussi un volet expérimental sur la visualisation du corpus.
La mise à disposition de la numérisation de cet ensemble de près de 20 000 lettres, et de la transcription d’une partie d’entre elles, permettra de découvrir dans toute leur complexité deux remarquables personnalités du XIXe siècle, et de comprendre « de l’intérieur » ce qui se joue dans l’expérience du Familistère.
Le projet est porté par la Direction des bibliothèques et de la documentation du Cnam et le Familistère de Guise, qui conservent ces ensembles, avec deux laboratoires du Cnam, le Lise (Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique, UMR CNRS-Cnam n° 3320) et le Cedric (Centre d’études et de recherche en informatique et communications, EA4629). FamiliLettres a été lauréat en 2020 de l’appel à projet lancé par CollEx-Persée ""portant sur de la numérisation enrichie et du développement de services à la recherche en impliquant chercheurs et professionnels de l’information"". La première phase de FamiliLettres se déroule en 2020-2022. Le site a ouvert le 1er octobre 2022 avec une partie du corpus et s’enrichit régulièrement de nouvelles mises en ligne.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/2900;;;"Desnoyers, Florence (Éditeur)";"Chaque lettre du corpus est accompagnée d’une numérisation de bonne qualité ; de métadonnées descriptives enrichies d’une indexation sujet précise (sujet, œuvres citées, lieux cités, événements cités, personnes citées) et d’un résumé. Les lieux de destination sont géolocalisés.
Les correspondants font aussi l’objet d’un traitement approfondi : chaque correspondant possède une notice comprenant une courte notice biographique enrichie par des sources et des liens vers des dictionnaires existants. Ils sont qualifiés et leur genre ainsi que leur nationalité sont précisés.
Des liens de relations entre les lettres et les correspondants sont en cours d’établissement.
Des parcours guidés sous forme d’expositions virtuelles seront proposés.";"Le corpus est particulièrement riche par les thèmes qu’il aborde mais aussi par sa complétude puisqu’il comprend aussi bien la correspondance active que passive. Les correspondances actives rédigées entre 1843 et 1908 comprennent plus de 20 000 lettres : pour Jean-Baptiste André Godin, de son entrée en fouriérisme (1842) à sa mort (1888) ; pour Marie Moret, de son arrivée au Familistère (1860) à sa mort (1908).
Les lettres traitent du Familistère, des réformes sociales, de politique, d’éducation, de pacifisme, de féminisme, de spiritualité, d’édition, de questions industrielles, de sujets familiaux ou domestiques. La correspondance industrielle et sociale (relative à la gestion de l’Association coopérative du capital et du travail) est peu représentée dans le fonds.";"FamiliLettres a pour ambition de mettre à disposition de chercheurs d’horizons divers et d’un public plus large cette double correspondance, conservée presque en totalité pour la correspondance active, en offrant de multiples points d’entrée et de possibilités de croisement. Les crédits apportés par CollEx-Persée permettent de financer de nouveaux développements informatiques pour la communauté EMAN sur la géolocalisation, la personnalisation des interfaces et la visualisation.
Un conseil scientifique composé d’un sociologue et d’historien·nes accompagne le projet.";"XIXe siècle";;"Formaglio, Cécile (Conservatoire national des arts et métiers) ";;"Archives du Familistère de Guise.
Bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers, Fonds Godin.
";"Edition numérique de correspondance";"Documents manuscrits";FamiliLettres;;"Le projet proposera une transcription sur une partie du corpus. ";;"20000 lettres de correspondance active environ, 1500 lettres de correspondance passive environ.
Concernant Jean-Baptiste André Godin : 10000 copies à la presse environ de la correspondance active ; 600 originaux et 456 brouillons de lettres envoyées ; 1100 lettres reçues environ.
Concernant Marie Moret : 9300 copies à la presse environ de la correspondance active ; 400 lettres originales reçues";"Conservatoire national et des arts et métiers et Familistère de Guise; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Concernant Jean-Baptiste André Godin : 31 registres de copies à la presse de la correspondance active ; lettres autographes ; un cahier de brouillons de la correspondance active."
6;https://eman-archives.org/Famililettres;"Godin, Jean-Baptiste";https://www.collexpersee.eu/projet/famililettres/;Europe;2020-02-12;;;"FamiliLettres est le projet d’édition sur la plateforme EMAN des correspondances privées, actives et passives, de Jean-Baptiste André Godin (1817-1888), industriel et créateur de l’expérimentation sociale inspirée du fouriérisme que fut le Familistère de Guise, et de sa collaboratrice et compagne Marie Moret (1840-1908). Il comporte aussi un volet expérimental sur la visualisation du corpus.
La mise à disposition de la numérisation de cet ensemble de près de 20 000 lettres, et de la transcription d’une partie d’entre elles, permettra de découvrir dans toute leur complexité deux remarquables personnalités du XIXe siècle, et de comprendre « de l’intérieur » ce qui se joue dans l’expérience du Familistère.
Le projet est porté par la Direction des bibliothèques et de la documentation du Cnam et le Familistère de Guise, qui conservent ces ensembles, avec deux laboratoires du Cnam, le Lise (Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique, UMR CNRS-Cnam n° 3320) et le Cedric (Centre d’études et de recherche en informatique et communications, EA4629). FamiliLettres a été lauréat en 2020 de l’appel à projet lancé par CollEx-Persée ""portant sur de la numérisation enrichie et du développement de services à la recherche en impliquant chercheurs et professionnels de l’information"". La première phase de FamiliLettres se déroule en 2020-2022. Le site a ouvert le 1er octobre 2022 avec une partie du corpus et s’enrichit régulièrement de nouvelles mises en ligne.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/2900;;;"Desnoyers, Florence (Éditeur)";"Chaque lettre du corpus est accompagnée d’une numérisation de bonne qualité ; de métadonnées descriptives enrichies d’une indexation sujet précise (sujet, œuvres citées, lieux cités, événements cités, personnes citées) et d’un résumé. Les lieux de destination sont géolocalisés.
Les correspondants font aussi l’objet d’un traitement approfondi : chaque correspondant possède une notice comprenant une courte notice biographique enrichie par des sources et des liens vers des dictionnaires existants. Ils sont qualifiés et leur genre ainsi que leur nationalité sont précisés.
Des liens de relations entre les lettres et les correspondants sont en cours d’établissement.
Des parcours guidés sous forme d’expositions virtuelles seront proposés.";"Le corpus est particulièrement riche par les thèmes qu’il aborde mais aussi par sa complétude puisqu’il comprend aussi bien la correspondance active que passive. Les correspondances actives rédigées entre 1843 et 1908 comprennent plus de 20 000 lettres : pour Jean-Baptiste André Godin, de son entrée en fouriérisme (1842) à sa mort (1888) ; pour Marie Moret, de son arrivée au Familistère (1860) à sa mort (1908).
Les lettres traitent du Familistère, des réformes sociales, de politique, d’éducation, de pacifisme, de féminisme, de spiritualité, d’édition, de questions industrielles, de sujets familiaux ou domestiques. La correspondance industrielle et sociale (relative à la gestion de l’Association coopérative du capital et du travail) est peu représentée dans le fonds.";"FamiliLettres a pour ambition de mettre à disposition de chercheurs d’horizons divers et d’un public plus large cette double correspondance, conservée presque en totalité pour la correspondance active, en offrant de multiples points d’entrée et de possibilités de croisement. Les crédits apportés par CollEx-Persée permettent de financer de nouveaux développements informatiques pour la communauté EMAN sur la géolocalisation, la personnalisation des interfaces et la visualisation.
Un conseil scientifique composé d’un sociologue et d’historien·nes accompagne le projet.";"XIXe siècle";;"Formaglio, Cécile (Conservatoire national des arts et métiers) ";;"Archives du Familistère de Guise.
Bibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers, Fonds Godin.
";"Edition numérique de correspondance";"Documents manuscrits";FamiliLettres;;"Le projet proposera une transcription sur une partie du corpus. ";;"20000 lettres de correspondance active environ, 1500 lettres de correspondance passive environ.
Concernant Jean-Baptiste André Godin : 10000 copies à la presse environ de la correspondance active ; 600 originaux et 456 brouillons de lettres envoyées ; 1100 lettres reçues environ.
Concernant Marie Moret : 9300 copies à la presse environ de la correspondance active ; 400 lettres originales reçues";"Conservatoire national et des arts et métiers et Familistère de Guise; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Concernant Jean-Baptiste André Godin : 31 registres de copies à la presse de la correspondance active ; lettres autographes ; un cahier de brouillons de la correspondance active."
8;https://eman-archives.org/Guizot-Lieven;"Guizot, François (1787-1874) ";https://www.guizot.com/fr;France;2018-06-07;2020-01-14;;"
Éditer la correspondance croisée de 1836 à 1857, entre l’historien et homme d’état François Guizot (1787-1874), et Dorothée van Benckendorff, princesse de Lieven (1785-1857), une figure féminine du monde diplomatique européen de la première moitié du XIXe siècle, c’est éditer une partie des archives privées d’un acteur politique et intellectuel engagé dans le domaine public. Durant l'hiver 1837, après la mort du fils aîné de François Guizot, leur rencontre se noue autour de leur expérience commune de la perte d'un enfant. Mais la correspondance quotidienne échangée entre les deux amants s’élabore aussi à partir de leur analyse et de leur description de la France et l’Europe politiques et diplomatiques du XIXe siècle.
Cette édition numérique a une ambition culturelle, patrimoniale et scientifique. Elle est initiée et financée par une société savante, l’Association François Guizot, soutenue par le Comité des Travaux Historiques et Scientifiques et réalisée par Marie Dupond. L’objectif de cette édition est de mettre à disposition un corpus exhaustif constitué de l’intégralité des lettres et de nombreux inédits, en donnant accès tant aux autographes qu’à un discours épistolaire transcrit, indexé et documenté. Cette édition veut permettre de lire et de fouiller cette correspondance au sein d’un réseau documentaire et thématique. Elle est envisagée comme une bibliothèque numérique structurée en collections.
";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/1185;;;"Bugner, Anne (étudiante, éditorialisation de 5 lettres, 2021)";"A été déterminé un traitement éditorial, par phases, inscrit sur une ligne de temps qui réponde au principe de faisabilité (en envisageant les ressources humaines et financières), aux principes archivistiques et scientifiques déterminés par l’environnement numérique. (Voir Les principes d’éditorialisation du projet https://eman-archives.org/Guizot-Lieven/principes-ddition )
Le schéma éditorial et la structuration de données et métadonnées établis sur EMAN pour l’édition de la correspondance de Gaspard Monge (DUPOND 2018) ont été utilisés en appliquant des principes établis au cours d’une recherche post-doctorale : « De l’édition à l’éditorialisation : pour des principes communs d’édition des correspondances » (UDPN/USPC 2015-2017 ) » https://eman-archives.org/monge/des-principes-ddition-aux-principes-dditorialisation et au sein du groupe de travail « Correspondance » CAHIER (Huma-Num2016-2018).
La première phase de traitement éditorial consiste en la préparation des données et des métadonnées, réalisée au cours d’un inventaire comparé des transcriptions manuscrites, des copies microfilmées et numérisées, des manuscrits du fonds conservé aux Archives Nationales et des lettres déjà publiées, en associant à chaque lettre les fichiers jpg correspondants. Ainsi la création de notices pour chaque lettre et l’import des données structurées associées peuvent être effectués en masse
L’usage d’OMEKA au sein de la plate-forme EMAN permet d’établir des données interopérables, pérennes, moissonables et réutilisables en assurant une structuration économique. Cela assure le développement de réseaux de relations entre item, collection, corpus à partir des données d’identification, de description, de documentation et d’indexation mais aussi de transcription et de mise en relation.
Le corpus de correspondance est structuré en collections et sous-collections. La présentation des collections et sous-collections permet de documenter les corpus en introduisant des éléments biographiques et les sujets traités dans leurs lettres.
L’indexation thématique offre des entrées dans l’œuvre intellectuelle et publique de Guizot par mots-clés, elle est réalisée à partir des sujets traités au sein de la correspondance dans une perspective biographique tant pour Guizot que pour la princesse de Lieven. La navigation entre les lettres est ainsi permise par les mots-clés mais aussi par la mise en relation.
La pratique de transcription a ses principes mais aussi ses outils. La transcription est réalisée avec Transkribus, un outil de reconnaissance de caractères manuscrits. La tension entre lisibilité et fidélité, n’est plus si décisive dans l’environnement EMAN, on a accès tant à la/les transcription(s) qu’à l’image du manuscrit autographe. La normalisation de l’orthographe permet une recherche plein texte à tous les utilisateurs. La transcription doit répondre aux principes d’intelligibilité, accessibilité et « interrogabilité ».
";"Cette correspondance est constituée de plus de 4000 lettres (11 000 folios) échangées pendant 20 ans. Conservée aux Archives Nationales, la correspondance représente matériellement 11000 folios, 19 bobines de microfilms qui ont été numérisées en 2017. Ce corpus a été édité en partie par J. Naville et J. Schlumberger et publié de 1963 à 1964.
Cette correspondance croisée échangée pendant 20 ans, et elle est aussi bien amoureuse que politique et diplomatique. Leurs premiers échanges commencent en 1836. Dorothée, Princesse de Lieven, femme d’un diplomate Russe, a 51 ans et François Guizot, ministre de l’Instruction publique, veuf, a 50 ans. Si leur intimité se noue à partir de l’expérience du deuil, leur rencontre a lieu dans des espaces sociaux et politiques communs et elle se développe rapidement autour de leur vif intérêt pour la chose publique et de leur positionnement respectif au sein du réseau politique et diplomatique de l’Europe du XIXe siècle.
";"Le volume et l’amplitude chronologique et thématique du corpus permettent d’investir deux axes de questionnements. Le premier est celui des études biographiques, historiques et politiques consacrées à Guizot. Ce dernier pose des défis historiographiques notamment par le volume des archives à la disposition de celui qui interroge son action et son œuvre. L’édition de ce corpus conduit à un bilan historiographique et à libérer la figure de Guizot de la tension entre l’historien et le ministre de l'instruction publique à l’œuvre positive, et le président du Conseil qui s'est opposé obstinément au mouvement de 1848. Ce corpus permet d’éclairer son orientation vers les Affaires étrangères et de préciser les caractéristiques de son action diplomatique, en considérant le rôle de Dorothée dans la politique étrangère qu'il pratique depuis 1839. Enfin, ce corpus permet de dépasser la borne de 1848, et de manifester les liens entre les principes de son action publique et ceux de son œuvre intellectuelle qui s'élabore encore pendant vingt-cinq ans.
D’autre part, ce corpus permet de considérer la correspondance non seulement comme un document mais aussi comme un objet d’étude. Cette correspondance stimule l’étude des conditions matérielles, intellectuelles, historiques, sociales et culturelles de production et de conservation des correspondances. Elle permet d’interroger la dynamique et le fonctionnement épistolaires. Un des enjeux de l’édition est de mieux connaître le fonctionnement des salons mais aussi des correspondances comme espace et pratique d’action publique et sociale des femmes au XIXe siècle.
Pour cette réalisation éditoriale, l'Association est lauréate du prix de la Fondation des travaux historiques et scientifiques qui réunit le Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, l’École nationale des chartes et l’Académie des sciences morales et politiques.
";"XIXe siècle";;"Coste, Stéphane (Association François Guizot), Dupond, Marie Marie (Association François Guizot)";;"Fonds Guizot (Archives nationales/Paris)";Correspondance;"Documents manuscrits";"Correspondance croisée entre François Guizot et Dorothée de Benckendorff, princesse de Lieven : 1836-1857";;"Un des objectifs est de proposer la transcription intégrale du corpus en donnant accès à de nombreux inédits.";;"11 000 folios";"Marie Dupond & Association François Guizot ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Manuscrits autographes"
8;https://eman-archives.org/Guizot-Lieven;"Guizot, François (1787-1874) ";https://www.guizot.com/fr;France;2018-06-07;2020-01-14;;"
Éditer la correspondance croisée de 1836 à 1857, entre l’historien et homme d’état François Guizot (1787-1874), et Dorothée van Benckendorff, princesse de Lieven (1785-1857), une figure féminine du monde diplomatique européen de la première moitié du XIXe siècle, c’est éditer une partie des archives privées d’un acteur politique et intellectuel engagé dans le domaine public. Durant l'hiver 1837, après la mort du fils aîné de François Guizot, leur rencontre se noue autour de leur expérience commune de la perte d'un enfant. Mais la correspondance quotidienne échangée entre les deux amants s’élabore aussi à partir de leur analyse et de leur description de la France et l’Europe politiques et diplomatiques du XIXe siècle.
Cette édition numérique a une ambition culturelle, patrimoniale et scientifique. Elle est initiée et financée par une société savante, l’Association François Guizot, soutenue par le Comité des Travaux Historiques et Scientifiques et réalisée par Marie Dupond. L’objectif de cette édition est de mettre à disposition un corpus exhaustif constitué de l’intégralité des lettres et de nombreux inédits, en donnant accès tant aux autographes qu’à un discours épistolaire transcrit, indexé et documenté. Cette édition veut permettre de lire et de fouiller cette correspondance au sein d’un réseau documentaire et thématique. Elle est envisagée comme une bibliothèque numérique structurée en collections.
";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/1185;;;"Bugner, Anne (étudiante, éditorialisation de 5 lettres, 2021)";"A été déterminé un traitement éditorial, par phases, inscrit sur une ligne de temps qui réponde au principe de faisabilité (en envisageant les ressources humaines et financières), aux principes archivistiques et scientifiques déterminés par l’environnement numérique. (Voir Les principes d’éditorialisation du projet https://eman-archives.org/Guizot-Lieven/principes-ddition )
Le schéma éditorial et la structuration de données et métadonnées établis sur EMAN pour l’édition de la correspondance de Gaspard Monge (DUPOND 2018) ont été utilisés en appliquant des principes établis au cours d’une recherche post-doctorale : « De l’édition à l’éditorialisation : pour des principes communs d’édition des correspondances » (UDPN/USPC 2015-2017 ) » https://eman-archives.org/monge/des-principes-ddition-aux-principes-dditorialisation et au sein du groupe de travail « Correspondance » CAHIER (Huma-Num2016-2018).
La première phase de traitement éditorial consiste en la préparation des données et des métadonnées, réalisée au cours d’un inventaire comparé des transcriptions manuscrites, des copies microfilmées et numérisées, des manuscrits du fonds conservé aux Archives Nationales et des lettres déjà publiées, en associant à chaque lettre les fichiers jpg correspondants. Ainsi la création de notices pour chaque lettre et l’import des données structurées associées peuvent être effectués en masse
L’usage d’OMEKA au sein de la plate-forme EMAN permet d’établir des données interopérables, pérennes, moissonables et réutilisables en assurant une structuration économique. Cela assure le développement de réseaux de relations entre item, collection, corpus à partir des données d’identification, de description, de documentation et d’indexation mais aussi de transcription et de mise en relation.
Le corpus de correspondance est structuré en collections et sous-collections. La présentation des collections et sous-collections permet de documenter les corpus en introduisant des éléments biographiques et les sujets traités dans leurs lettres.
L’indexation thématique offre des entrées dans l’œuvre intellectuelle et publique de Guizot par mots-clés, elle est réalisée à partir des sujets traités au sein de la correspondance dans une perspective biographique tant pour Guizot que pour la princesse de Lieven. La navigation entre les lettres est ainsi permise par les mots-clés mais aussi par la mise en relation.
La pratique de transcription a ses principes mais aussi ses outils. La transcription est réalisée avec Transkribus, un outil de reconnaissance de caractères manuscrits. La tension entre lisibilité et fidélité, n’est plus si décisive dans l’environnement EMAN, on a accès tant à la/les transcription(s) qu’à l’image du manuscrit autographe. La normalisation de l’orthographe permet une recherche plein texte à tous les utilisateurs. La transcription doit répondre aux principes d’intelligibilité, accessibilité et « interrogabilité ».
";"Cette correspondance est constituée de plus de 4000 lettres (11 000 folios) échangées pendant 20 ans. Conservée aux Archives Nationales, la correspondance représente matériellement 11000 folios, 19 bobines de microfilms qui ont été numérisées en 2017. Ce corpus a été édité en partie par J. Naville et J. Schlumberger et publié de 1963 à 1964.
Cette correspondance croisée échangée pendant 20 ans, et elle est aussi bien amoureuse que politique et diplomatique. Leurs premiers échanges commencent en 1836. Dorothée, Princesse de Lieven, femme d’un diplomate Russe, a 51 ans et François Guizot, ministre de l’Instruction publique, veuf, a 50 ans. Si leur intimité se noue à partir de l’expérience du deuil, leur rencontre a lieu dans des espaces sociaux et politiques communs et elle se développe rapidement autour de leur vif intérêt pour la chose publique et de leur positionnement respectif au sein du réseau politique et diplomatique de l’Europe du XIXe siècle.
";"Le volume et l’amplitude chronologique et thématique du corpus permettent d’investir deux axes de questionnements. Le premier est celui des études biographiques, historiques et politiques consacrées à Guizot. Ce dernier pose des défis historiographiques notamment par le volume des archives à la disposition de celui qui interroge son action et son œuvre. L’édition de ce corpus conduit à un bilan historiographique et à libérer la figure de Guizot de la tension entre l’historien et le ministre de l'instruction publique à l’œuvre positive, et le président du Conseil qui s'est opposé obstinément au mouvement de 1848. Ce corpus permet d’éclairer son orientation vers les Affaires étrangères et de préciser les caractéristiques de son action diplomatique, en considérant le rôle de Dorothée dans la politique étrangère qu'il pratique depuis 1839. Enfin, ce corpus permet de dépasser la borne de 1848, et de manifester les liens entre les principes de son action publique et ceux de son œuvre intellectuelle qui s'élabore encore pendant vingt-cinq ans.
D’autre part, ce corpus permet de considérer la correspondance non seulement comme un document mais aussi comme un objet d’étude. Cette correspondance stimule l’étude des conditions matérielles, intellectuelles, historiques, sociales et culturelles de production et de conservation des correspondances. Elle permet d’interroger la dynamique et le fonctionnement épistolaires. Un des enjeux de l’édition est de mieux connaître le fonctionnement des salons mais aussi des correspondances comme espace et pratique d’action publique et sociale des femmes au XIXe siècle.
Pour cette réalisation éditoriale, l'Association est lauréate du prix de la Fondation des travaux historiques et scientifiques qui réunit le Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, l’École nationale des chartes et l’Académie des sciences morales et politiques.
";"XIXe siècle";;"Coste, Stéphane (Association François Guizot), Dupond, Marie Marie (Association François Guizot)";;"Fonds Guizot (Archives nationales/Paris)";Correspondance;"Documents manuscrits";"Correspondance croisée entre François Guizot et Dorothée de Benckendorff, princesse de Lieven : 1836-1857";;"Un des objectifs est de proposer la transcription intégrale du corpus en donnant accès à de nombreux inédits.";;"11 000 folios";"Marie Dupond & Association François Guizot ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Manuscrits autographes"
10;https://eman-archives.org/monge;"Monge, Gaspard";;France;"2016-04-15 ";"2018-09-20 ";;"L’édition du corpus 1795-1799 de la correspondance du géomètre Gaspard Monge (1746-1818) sur la plateforme EMAN est à la fois une étape de conversion numérique de l’édition critique d’un corpus et la préparation de son extension à la correspondance générale. L’annotation et le traitement de ce premier corpus a nécessité de mener une étude historique de la pratique scientifique et de l’action publique du géomètre qui a conduit à l’édition d’autres sous corpus notamment celui de la première correspondance mathématique du géomètre mais aussi celui de la volumineuse correspondance familiale.
Ainsi, il s’agit de mettre en correspondance les modalités éditoriales distinctement définies pour la réalisation de plusieurs éditions papier avec les ressources et contraintes techniques du CMS Omeka mis au service de l’édition de corpus au sein de la plateforme. Cela notamment afin de permettre la mise en réseau du corpus de correspondance du géomètre avec le corpus d’autres auteurs.
Aussi, la démarche éditoriale de conversion et de préparation rentre aussi dans le cadre d’un projet de recherche post-doctorale au sein du réseau Usages Des Patrimoines Numérisés (USPC) qui envisage l’exploitation des questionnements et du savoir-faire déjà acquis en matière d’édition critique de sources en interrogeant les modifications des pratiques éditoriales et en considérant comment la problématique éditoriale se complexifie en revêtant une perspective technique, collaborative et dynamique.
";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/187;;;"Camus, Elsa";"L’établissement des principes éditoriaux s’est fait dans le cadre d’une recherche : « De l’édition à l’ éditorialisation ». Elle est présentée en introduction https://eman-archives.org/monge/des-principes-ddition-aux-principes-dditorialisation Ils sont détaillés et présentés sur le site en envisageant les principes de transcription, d’annotation et de documentation du corpus.";"Les bornes chronologiques du corpus ont été déterminées par R. Taton. Ces lettres sont finalement écrites non seulement au cours de l’action de Monge au service de la République sous les ordres du Directoire et du ministre des relations extérieures, mais aussi dans le cadre de son appartenance à deux institutions scientifiques : l’École polytechnique et l’Institut national. Deux cent quatre documents rédigés de juillet 1795 à décembre 1799 sont réunis. Plus de la moitié des deux cent deux lettres sont adressées à des membres de la famille et essentiellement à sa femme (80%). La majeure partie de la correspondance est constituée des lettres écrites lors de ses missions hors de France en tant que commissaire de la République en Italie et en tant que savant attaché à la campagne d’Égypte. Le corpus est ainsi constitué à la fois d’une correspondance de voyage adressée à sa famille, à Paris et en province et d’une correspondance institutionnelle. La nature familiale et institutionnelle du corpus est en partie liée à l’histoire des archives Monge. Elles sont composées de la volumineuse correspondance active et passive de Monge et de celle échangée entre les membres de la famille.
Les archives sont partagées naturellement entre d’une part les descendants d’Émilie, fille aînée de Monge (1778-1867) mariée à Nicolas-Joseph Marey (1760-1818) (fonds Marey-Monge et de Blic), et de l’autre les descendants de la fille cadette Louise Monge (1779-1874). Le petit–fils de cette dernière, Eugène Eschassériaux (1823-1906), député bonapartiste au début de la IIIe République, ne se contente pas de préserver les pièces détenues par la famille ; en les réunissant, les ordonnant et les reliant, il complète le fonds en faisant l’acquisition et en transcrivant d’autres documents au sein des cinq volumes manuscrits qu’il intitule « Notes chronologiques pour servir à l’histoire de la vie de Gaspard Monge ». Patrice Bret souligne « l’œuvre d’historiographe » qu’il a accompli « en réunissant un nombre impressionnant de documents » et indique que «si l’ouvrage resta inédit, les historiens du XXe siècle y ont abondamment puisé ».
Lorsque René Taton pour les besoins de sa thèse soutenue en 1951 prend connaissance des archives familiales, il est frappé par le nombre de documents non scientifiques qui y sont réunis. Et s’il les exclut de son étude de l’œuvre scientifique de Monge, il pointe dès l’introduction la difficulté qu’ils posent aux historiens dans la perspective d’une édition des œuvres complètes du géomètre. Éditer la correspondance de Monge de 1795 à 1799 conduit à enquêter sur la nature de son action publique et sur les caractéristiques de sa pratique scientifique durant la deuxième partie de la Révolution française.
Dans les années 1990, Taton rassemble dans ce corpus les lettres de Monge du fonds de Chaubry (désormais fonds Monge de l’École polytechnique), du fonds Marey-Monge (copie microfilmée disponible aux archives de l’École polytechnique), des archives de l’École polytechnique, des Archives Nationales (AN F17), des copies de lettres conservés à la bibliothèque de l’Institut de France (Ms 2192) et des archives du ministère des affaires étrangères et du service historique de la défense. Le corpus bien sûr n’est pas complet. Le nombre de lettres écrites au cours de l’expédition d’Égypte est très réduit : dix-huit lettres de mai 1798 à décembre 1799. Depuis 2002, les archives familiales Eschassériaux sont conservées aux archives de l’École polytechnique après son acquisition par l’AX. Pour la majorité, les lettres appartiennent au fonds ; lorsque cela n’est pas le cas, la source est indiquée en note dans la liste des lettres. Enfin, le corpus est aussi constitué d’une certaine manière par des lettres dont on ne dispose pas du manuscrit autographe mais dont on apprend l’existence par des mentions dans d’autres lettres, dans les ouvrages biographiques de de Launay et d’Aubry ou comme pour une lettre de Monge de janvier 1797 aux membres de l’Institut sur les expériences de Volta dont on retrouve la trace dans les procès-verbaux de l’Académie (n°47).
";"Éditer la correspondance du géomètre Gaspard Monge (1746-1818), un des membres fondateurs de l’école polytechnique et savant engagé dans la Révolution c’est d’abord déterminer les enjeux biographiques, historiques et historiographiques d’une entreprise éditoriale.
Les pièces de la correspondance de Monge sont connues, pour certaines, déjà exploitée depuis le début du XXe siècle dans des entreprises biographiques, mais elles sont encore inédites en 2016. Je voudrais souligner l’enjeu d’une étude problématisée, conjointe et croisée des correspondances scientifiques, institutionnelles et familiales du géomètre.
Ma recherche doctorale a été déterminée par deux objectifs : l’un éditorial, l’autre historique. La coordination des démarches éditoriale et historique a été effectuée au cours de la mise en problème du corpus de correspondance pour la réalisation de l’annotation. Si la perspective historique a été choisie au départ pour soutenir ma démarche éditoriale, elle s’est développée par la suite d’une manière autonome en permettant de déterminer des axes de recherche transversaux qui conduisirent à considérer tout à la fois son œuvre scientifique et son action publique en requérant l’exploitation conjointe des archives publiques et privées, scientifiques et non scientifiques.
";"XVIIIe siècle";;"Dupond, Marie";;"Bibliothèque centrale de l'École polytechnique / Centre de Ressources Historiques. (Palaiseau, France).";"Histoire des mathématiques (XVIIIe siècle)";"Manuscrits autographes";"La correspondance inédite du géomètre Gaspard Monge (1746-1818)";;"Oui, transcription intégrale";;"800 folios ";"Marie Dupond (UDPN) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Manuscrits autographes"
11;https://eman-archives.org/CorrespondanceBaudelaire/;"Baudelaire, Charles";http://www.item.ens.fr/baudelaire;France;2018-06-25;2021-06-28;;"Cette édition se propose de donner le texte et le fac-similé des manuscrits d’environ 1 550 lettres que Baudelaire a envoyées à divers destinataires, entre janvier 1832 et mars 1866. Nous souhaitons associer à ce corpus les 211 lettres adressées à Baudelaire qui sont aujourd’hui connues.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/1207;;;"Bivort, Olivier";;;"Notre projet se fonde sur trois éditions qui ont fait date dans les études baudelairiennes : la Correspondance générale, établie par Jacques Crépet aux éditions Louis Conard et parue en six volumes entre 1947 et 1953 ; les deux tomes de la Correspondance de Baudelaire, publiés par Claude Pichois, avec la collaboration de Jean Ziegler, dans la Bibliothèque de la Pléiade, en 1973, et dont un nouveau tirage du premier tome a paru en 1993 (avec un « Supplément » de 25 lettres et reçus), et un nouveau tirage du second tome, en 1999 ; les Lettres à Charles Baudelaire, publiées par Claude et Vincenette Pichois en 1973 aux Éditions de la Baconnière, à Neuchâtel. Plus récemment, deux ouvrages sont venus enrichir et corriger ces éditions : les Nouvelles lettres (Fayard, 2000), où Claude Pichois donne le texte de 75 lettres et documents inédits de Baudelaire ; les Lettres à sa mère (Manucius, 2017), établies par Catherine Delons, recueillant les 350 lettres de Baudelaire à Mme Aupick. En outre, depuis quinze ans, d’autres lettres auparavant inconnues de Baudelaire ont fait l’objet de présentations ponctuelles, en particulier dans L’Année Baudelaire. D’autres encore restent inédites.
En rassemblant ces documents, nous souhaitons fournir une édition de la correspondance de Baudelaire dont le texte serait le plus possible fidèle aux manuscrits, qui seront reproduits en regard lorsque c’est possible. Dans le sillage de la tradition baudelairienne, notre édition numérique se propose de relever le défi lancé en 2000 par Claude Pichois, qui regrettait le « destin des correspondances », vouées à « rester à tout jamais inachevées ». Destinée à accueillir les nouveaux documents qui apparaissent régulièrement dans les ventes publiques, son ambition est de promouvoir l’inachèvement ouvert et perfectible de l’édition électronique et de contribuer à une meilleure connaissance des écrits et de la vie de Baudelaire.
";"XIXe siècle";;"Schellino, Andrea (Università Roma III)";;;Baudelaire;"Documents manuscrits";"Édition électronique de la correspondance de Baudelaire";;"Le projet prévoit une transcription complète des lettres manuscrites.";;"Environ 1 761 lettres.";"Andrea Schellino, Université Rome III, Institut des textes et manuscrits modernes, CNRS-ENS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
11;https://eman-archives.org/CorrespondanceBaudelaire/;"Baudelaire, Charles";http://www.item.ens.fr/baudelaire;France;2018-06-25;2021-06-28;;"Cette édition se propose de donner le texte et le fac-similé des manuscrits d’environ 1 550 lettres que Baudelaire a envoyées à divers destinataires, entre janvier 1832 et mars 1866. Nous souhaitons associer à ce corpus les 211 lettres adressées à Baudelaire qui sont aujourd’hui connues.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/1207;;;"Bivort, Olivier";;;"Notre projet se fonde sur trois éditions qui ont fait date dans les études baudelairiennes : la Correspondance générale, établie par Jacques Crépet aux éditions Louis Conard et parue en six volumes entre 1947 et 1953 ; les deux tomes de la Correspondance de Baudelaire, publiés par Claude Pichois, avec la collaboration de Jean Ziegler, dans la Bibliothèque de la Pléiade, en 1973, et dont un nouveau tirage du premier tome a paru en 1993 (avec un « Supplément » de 25 lettres et reçus), et un nouveau tirage du second tome, en 1999 ; les Lettres à Charles Baudelaire, publiées par Claude et Vincenette Pichois en 1973 aux Éditions de la Baconnière, à Neuchâtel. Plus récemment, deux ouvrages sont venus enrichir et corriger ces éditions : les Nouvelles lettres (Fayard, 2000), où Claude Pichois donne le texte de 75 lettres et documents inédits de Baudelaire ; les Lettres à sa mère (Manucius, 2017), établies par Catherine Delons, recueillant les 350 lettres de Baudelaire à Mme Aupick. En outre, depuis quinze ans, d’autres lettres auparavant inconnues de Baudelaire ont fait l’objet de présentations ponctuelles, en particulier dans L’Année Baudelaire. D’autres encore restent inédites.
En rassemblant ces documents, nous souhaitons fournir une édition de la correspondance de Baudelaire dont le texte serait le plus possible fidèle aux manuscrits, qui seront reproduits en regard lorsque c’est possible. Dans le sillage de la tradition baudelairienne, notre édition numérique se propose de relever le défi lancé en 2000 par Claude Pichois, qui regrettait le « destin des correspondances », vouées à « rester à tout jamais inachevées ». Destinée à accueillir les nouveaux documents qui apparaissent régulièrement dans les ventes publiques, son ambition est de promouvoir l’inachèvement ouvert et perfectible de l’édition électronique et de contribuer à une meilleure connaissance des écrits et de la vie de Baudelaire.
";"XIXe siècle";;"Schellino, Andrea (Università Roma III)";;;Baudelaire;"Documents manuscrits";"Édition électronique de la correspondance de Baudelaire";;"Le projet prévoit une transcription complète des lettres manuscrites.";;"Environ 1 761 lettres.";"Andrea Schellino, Université Rome III, Institut des textes et manuscrits modernes, CNRS-ENS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
11;https://eman-archives.org/CorrespondanceBaudelaire/;"Baudelaire, Charles";http://www.item.ens.fr/baudelaire;France;2018-06-25;2021-06-28;;"Cette édition se propose de donner le texte et le fac-similé des manuscrits d’environ 1 550 lettres que Baudelaire a envoyées à divers destinataires, entre janvier 1832 et mars 1866. Nous souhaitons associer à ce corpus les 211 lettres adressées à Baudelaire qui sont aujourd’hui connues.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/1207;;;"Bivort, Olivier";;;"Notre projet se fonde sur trois éditions qui ont fait date dans les études baudelairiennes : la Correspondance générale, établie par Jacques Crépet aux éditions Louis Conard et parue en six volumes entre 1947 et 1953 ; les deux tomes de la Correspondance de Baudelaire, publiés par Claude Pichois, avec la collaboration de Jean Ziegler, dans la Bibliothèque de la Pléiade, en 1973, et dont un nouveau tirage du premier tome a paru en 1993 (avec un « Supplément » de 25 lettres et reçus), et un nouveau tirage du second tome, en 1999 ; les Lettres à Charles Baudelaire, publiées par Claude et Vincenette Pichois en 1973 aux Éditions de la Baconnière, à Neuchâtel. Plus récemment, deux ouvrages sont venus enrichir et corriger ces éditions : les Nouvelles lettres (Fayard, 2000), où Claude Pichois donne le texte de 75 lettres et documents inédits de Baudelaire ; les Lettres à sa mère (Manucius, 2017), établies par Catherine Delons, recueillant les 350 lettres de Baudelaire à Mme Aupick. En outre, depuis quinze ans, d’autres lettres auparavant inconnues de Baudelaire ont fait l’objet de présentations ponctuelles, en particulier dans L’Année Baudelaire. D’autres encore restent inédites.
En rassemblant ces documents, nous souhaitons fournir une édition de la correspondance de Baudelaire dont le texte serait le plus possible fidèle aux manuscrits, qui seront reproduits en regard lorsque c’est possible. Dans le sillage de la tradition baudelairienne, notre édition numérique se propose de relever le défi lancé en 2000 par Claude Pichois, qui regrettait le « destin des correspondances », vouées à « rester à tout jamais inachevées ». Destinée à accueillir les nouveaux documents qui apparaissent régulièrement dans les ventes publiques, son ambition est de promouvoir l’inachèvement ouvert et perfectible de l’édition électronique et de contribuer à une meilleure connaissance des écrits et de la vie de Baudelaire.
";"XIXe siècle";;"Schellino, Andrea (Università Roma III)";;;Baudelaire;"Documents manuscrits";"Édition électronique de la correspondance de Baudelaire";;"Le projet prévoit une transcription complète des lettres manuscrites.";;"Environ 1 761 lettres.";"Andrea Schellino, Université Rome III, Institut des textes et manuscrits modernes, CNRS-ENS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
11;https://eman-archives.org/CorrespondanceBaudelaire/;"Baudelaire, Charles";http://www.item.ens.fr/baudelaire;France;2018-06-25;2021-06-28;;"Cette édition se propose de donner le texte et le fac-similé des manuscrits d’environ 1 550 lettres que Baudelaire a envoyées à divers destinataires, entre janvier 1832 et mars 1866. Nous souhaitons associer à ce corpus les 211 lettres adressées à Baudelaire qui sont aujourd’hui connues.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/1207;;;"Bivort, Olivier";;;"Notre projet se fonde sur trois éditions qui ont fait date dans les études baudelairiennes : la Correspondance générale, établie par Jacques Crépet aux éditions Louis Conard et parue en six volumes entre 1947 et 1953 ; les deux tomes de la Correspondance de Baudelaire, publiés par Claude Pichois, avec la collaboration de Jean Ziegler, dans la Bibliothèque de la Pléiade, en 1973, et dont un nouveau tirage du premier tome a paru en 1993 (avec un « Supplément » de 25 lettres et reçus), et un nouveau tirage du second tome, en 1999 ; les Lettres à Charles Baudelaire, publiées par Claude et Vincenette Pichois en 1973 aux Éditions de la Baconnière, à Neuchâtel. Plus récemment, deux ouvrages sont venus enrichir et corriger ces éditions : les Nouvelles lettres (Fayard, 2000), où Claude Pichois donne le texte de 75 lettres et documents inédits de Baudelaire ; les Lettres à sa mère (Manucius, 2017), établies par Catherine Delons, recueillant les 350 lettres de Baudelaire à Mme Aupick. En outre, depuis quinze ans, d’autres lettres auparavant inconnues de Baudelaire ont fait l’objet de présentations ponctuelles, en particulier dans L’Année Baudelaire. D’autres encore restent inédites.
En rassemblant ces documents, nous souhaitons fournir une édition de la correspondance de Baudelaire dont le texte serait le plus possible fidèle aux manuscrits, qui seront reproduits en regard lorsque c’est possible. Dans le sillage de la tradition baudelairienne, notre édition numérique se propose de relever le défi lancé en 2000 par Claude Pichois, qui regrettait le « destin des correspondances », vouées à « rester à tout jamais inachevées ». Destinée à accueillir les nouveaux documents qui apparaissent régulièrement dans les ventes publiques, son ambition est de promouvoir l’inachèvement ouvert et perfectible de l’édition électronique et de contribuer à une meilleure connaissance des écrits et de la vie de Baudelaire.
";"XIXe siècle";;"Schellino, Andrea (Università Roma III)";;;Baudelaire;"Documents manuscrits";"Édition électronique de la correspondance de Baudelaire";;"Le projet prévoit une transcription complète des lettres manuscrites.";;"Environ 1 761 lettres.";"Andrea Schellino, Université Rome III, Institut des textes et manuscrits modernes, CNRS-ENS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
15;https://eman-archives.org/Audoux;"Audoux, Marguerite";;France;2017-11-03;2020-08-12;;"Le site présente une édition critique numérique de la correspondance croisée de Marguerite Audoux, en proposant une numérisation des lettres accompagnée de leur transcription, de leur annotation critique et de leur indexation par mots-clés.
L'objectif est bien sûr, avant tout, de mettre à disposition un ensemble en grande partie inédit pour les chercheuses et les chercheurs, en particulier celles et ceux qui travailleraient sur la vie et/ou l'œuvre de la romancière, ou plus généralement sur les écrivains, artistes, intellectuels et mouvements qui lui sont liés. On pense en particulier au peu connu Groupe de Carnetin, dont elle faisait partie.
La correspondance alducienne, en effet, est un outil critique qui permet d'éclairer la vie et l'œuvre, et de les enrichir, notamment ici en ce qui concerne les réalités extérieures (univers éditorial et littéraire de l'époque, réceptions, contexte de la guerre 14-18...) et l'univers intérieur et intime (écriture du quotidien, de la maladie, dolorisme…). L'étude du corpus ouvre en outre un horizon critique sur une étude stylistique comparée de l'œuvre et de la matière épistolaire, plus spontanée, non dénuée d'humour, et révélatrice de certaines tendances humaines (""maternalisme"", jalousie, mauvaise foi, mais aussi générosité, culte de l'amitié et, in fine, de la famille, reconstituée par cette éternelle orpheline à travers ses amis et les petits-neveux et nièce qu'elle adopte). L'objectif est donc de faire entrer le chercheur, le critique, ou le simple curieux dans cet univers éclairant, de lui procurer cet outil complémentaire qui tantôt rejoint ce que révèle l'œuvre, tantôt la complète par des traits nouveaux.
L'ensemble, enfin, vise à l'exhaustivité et, dans cette mesure ambitieuse, n'aura jamais fini de se nourrir de nouvelles découvertes. Tel est le sort, l'objectif ultime de l'épistolier, qui travaille sur un corpus ouvert.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/888;;;"Doutriaux, Géraldine (transcription de lettres).";"Pour l’établissement du texte des lettres, nous nous sommes soumis à la double exigence de fidélité au manuscrit et de lisibilité. Cela en particulier pour Marguerite Audoux qui commet un certain nombre d’erreurs. En ce qui concerne le style, corriger une phrase eût contrevenu au premier principe de respect du document. Nous avons donc usé, mais non abusé, de [sic] et de [resic]. Pour tel rédacteur étranger, nous avons pu laisser certaines erreurs ou maladresses linguistiques, dans le dessein de maintenir l’aspect premier de la lettre, mais aussi dans l’unique mesure où le sens demeurait perceptible. Nous avons systématiquement corrigé les fautes d’orthographe, et n’avons rétabli, supprimé ou modifié la ponctuation que lorsque la version du manuscrit créait confusion ou non‑sens. Nous avons, à chaque fois que ces renseignements étaient en notre possession, fourni à la suite du texte de la lettre sa source, ainsi qu’un descriptif, le plus complet possible, du document (nature du support, encre, adresse figurant sur l’enveloppe, etc.). Les lieux de création et dates entre crochets ont été déduits d’après l’enveloppe ou le contenu même du texte de la lettre. Dans des cas, extrêmes, où aucune piste ne s’ouvrait, la datation a été large, et nous avons inséré le document à la place qui nous semblait la moins anachronique. Dure entreprise lorsque le texte est d’une totale neutralité (dans le cas d’une carte de vœux, par exemple). Nous avons également indiqué en note, lorsque l’enveloppe nous le précisait par un cachet d’arrivée, la date de réception. L’appareil critique se partage principalement en notes de bas de pages, annexes et biographies sommaires. Les notes offrent un éclairage immédiat, permettant de ne pas hacher la lecture par de trop nombreux et incommodes va‑et‑vient ; c’est sciemment que nous y répétons parfois le même renseignement, ou que nous renvoyons une note à une ou plusieurs autres, ou encore à telle annexe (une seule lettre pouvant être compulsée par le curieux ou le chercheur) ; les notes présentent des pièces complémentaires (extraits ou documents complets selon le besoin) qui, formant une unité autonome, peuvent être lues après la lettre, ou indépendamment d’elle ; les biographies sommaires, quant à elles, éclairent les noms les plus récurrents ou encore les plus significatifs (elles peuvent exceptionnellement, en ce dernier cas, renvoyer à un hapax ‑ comme pour van Dongen, par exemple ‑). Enfin, nous avons indiqué en notes de bas de pages, indistinctes des autres, toutes les variantes dont nous ayons pu avoir connaissance.
";"La partie concernant la correspondance avec les écrivains, les intellectuels et les artistes comprend 330 lettres de Marguerite Audoux et 115 qui lui sont adressées.
La correspondance familiale et familière, en cours de recensement, approche le même nombre.
Il sera ajouté à ce corpus un certain nombre de lettres entre les proches de la romancière où il est fait plus ou moins directement allusion à elle.
L'ensemble de ce corpus épistolaire, par définition toujours provisoire, devrait ainsi tourner autour d'un millier de lettres, non compris un nombre important de dédicaces qui figureront également dans cette partie des Archives Audoux.
La correspondance croisée donne à lire majoritairement les lettres de Marguerite Audoux mais également celles de ses correspondants, dont Charles-Louis Philippe, Alain-Fournier, André Gide, Valery Larbaud, Romain Rolland...
Le site comprendra également des échanges de lettres entre des épistoliers qui évoquent Marguerite Audoux.
";"L'édition numérique de la correspondance croisée de Marguerite Audoux s'insère dans un ensemble plus vaste réuni sous le titre ""Archives Audoux"" [celui-ci comprend notamment des documents iconographiques (photos, dessins…), le scan des lettres manuscrites et typographiées, la reproduction d'articles de la romancière, de brouillons, d'articles critiques, de la biographie écrite par Bernard-Marie Garreau, de son ouvrage à paraître en juin 2021 (Les Dimanches de Carnetin – Histoire d’une famille littéraire) plus généralement de l'ensemble des documents propres à fournir un éclairage sur un auteur qu'il reste à réhabiliter].
Cette correspondance se partage en deux grands pans distincts :
- d'une part celle avec les écrivains, les intellectuels et les artistes ;
- d'autre part la correspondance familiale et familière.
Le premier de ces deux sous-ensembles a déjà été traité dans le cadre d'une HDR soutenue à l'UBO (Brest) fin 2006, qui présentait le corpus annoté et un paratexte critique. L'édition numérique reprend évidemment ce premier travail, enrichi ici de lettres trouvées depuis lors.
";"XXe siècle";;"Garreau, Bernard-Marie (MCF honoraire, Brest)";;"Le principal est le fonds d'Aubuisson, chez Bernard-Marie Garreau, qui contient les lettres qui lui ont été confiées par les arrière-petits-neveux et arrière-petite-nièce, Philippe, Roger et Geneviève d'Aubuisson. La correspondance familiale et familière provient essentiellement de ce fonds.
Certaines lettres ont été achetées par Bernard-Marie Garreau.
Pour le premier sous-ensemble (correspondance avec les écrivains, les intellectuels et les artistes), les principaux fonds sont les suivants :
- Bibliothèque nationale de France (dont le fonds Romain Rolland) ;
- Bibliothèque littéraire Jacques-Doucet ;
- Médiathèque Valery-Larbaud de Vichy (en particulier les lettres de Marguerite Audoux à Larbaud et Gide) ;
- Bibliothèque des Quatre-Piliers de Bourges, Fonds Alain-Fournier (notamment les lettres de la romancière à Alain-Fournier) ;
- Médiathèque de Bourges ;
- Musée Marguerite-Audoux ;
- Fondation Octave-Mirbeau ;
- Archives de la famille Guillaumin ;
- Fonds de Freitas (pour une partie de la correspondance adressée aux Fargue) ;
- Fonds Jean-Pierre Giraudoux ;
- Fonds Genevoix ;
- Fonds Nina Gubisch ;
- Harry Ranson Humanities Research Center, Austin (HRHRC), Université du Texas ;
- Fonds Werth (lettres de Marguerite Audoux à Léon Werth) ;
- Collection François Escoube ;
- Fonds Alain Mercier ;
- Fonds André Baly ;
- Collection Jacques Mallet ;
- Librairie Les Amazones, Paris.";famille;"Documents manuscrits";"Archives Marguerite Audoux";"Correspondance alducienne";"L'objectif du projet Archives Audoux est de proposer une transcription semi-diplomatique de l'intégralité des lettres conservées. Les textes transcrits comprennent des notes qui indiquent les ajouts, suppressions, ratures, etc.";;"1000 lettres rédigées entre 1904 et 1937.";"Bernard-Marie Garreau, équipe Correspondance, Institut des textes et manuscrits, CNRS-ENS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)
";Manuscrits
16;https://eman-archives.org/Nau;"Nau, John-Antoine";;;2022-09-20;2022-09-26;2024-05-27;;"Fiche EMAN : projet Nau (dir. C. Luzi), laboratoire Lisa ; EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)";;Français;;;;;;;"John-Antoine Nau, mort il y a tout juste un siècle, est inconnu du plus grand nombre alors qu'il est le premier lauréat du prix Goncourt en 1903. Nau a séjourné en Corse de 1909 à 1916. Nous présentons ici une partie des lettres qu'il a écrites durant cette période.
Ce site a été réalisé lors d'un atelier de travail au laboratoire LISA (Université de Corte). Il est complété depuis par de nouvelles éditions de lettres.";;;"Luzi, Christophe (Laboratoire "Lieux, Identités, eSpaces, Activités" - UMR 6240 LISA)";;"Collection particulière, Eugène F.-X. Gherardi";;;"John-Antoine Nau et la Corse. Transcription de la correspondance originale de l’écrivain (1910-1916)";;;;;"Laboratoire "Lieux, Identités, eSpaces, Activités" (UMR 6240 LISA) ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
16;https://eman-archives.org/Nau;"Nau, John-Antoine";;;2022-09-20;2022-09-26;2024-05-27;;"Fiche EMAN : projet Nau (dir. C. Luzi), laboratoire Lisa ; EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)";;Français;;;;;;;"John-Antoine Nau, mort il y a tout juste un siècle, est inconnu du plus grand nombre alors qu'il est le premier lauréat du prix Goncourt en 1903. Nau a séjourné en Corse de 1909 à 1916. Nous présentons ici une partie des lettres qu'il a écrites durant cette période.
Ce site a été réalisé lors d'un atelier de travail au laboratoire LISA (Université de Corte). Il est complété depuis par de nouvelles éditions de lettres.";;;"Luzi, Christophe (Laboratoire "Lieux, Identités, eSpaces, Activités" - UMR 6240 LISA)";;"Collection particulière, Eugène F.-X. Gherardi";;;"John-Antoine Nau et la Corse. Transcription de la correspondance originale de l’écrivain (1910-1916)";;;;;"Laboratoire "Lieux, Identités, eSpaces, Activités" (UMR 6240 LISA) ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
18;;;;France;2018-07;2021-05-27;;"Notre projet vise à constituer un prototype de bibliothèque numérique d’archives de la censure pour l’édition génétique des textes de l’Ancien Régime. À partir d’un corpus littéraire et patrimonial (archives de la censure et de la police ; éditions imprimées – dont cartonnées et clandestines-; témoignages issus de correspondances et autres sources), il s’agit de permettre de reconstituer le processus de censure et de mesurer son incidence dans la genèse des textes d’Ancien Régime, à travers le manuscrit conçu comme lieu d’une transaction entre auteur, imprimeur et censeur.";"Fiche : CEREdI, EA 3229 (Université de Rouen). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)";Autobiographie;Français;https://eman.hypotheses.org/1196;;;"BARTHELEMY, Élisa (Assistante Ingénieure)";"Une collection correspond à toutes les versions d’une même œuvre, ou d’un ensemble d’œuvres d’un·e même auteur·rice, ainsi qu’à tous les documents qui l’entourent : brouillons, manuscrit, édition officielle, édition pirate, approbation et privilège du Roi, correspondance autour de l’œuvre, document de la censure…
Exemple :
1. « Essais du chevalier Bacon »
a. Essais du chevalier Bacon, chevalier d’Angleterre, sur divers sujets de politique et de morale (manuscrit soumis à la censure)
b. Essais du chevalier Bacon, chancelier d’Angleterre, sur divers sujets de politique et de morale (édition officielle à Paris en 1634)
c. La politique du chevalier Bacon, chancelier d’Angleterre (édition clandestine à Londres en 1740
d. La politique du chevalier Bacon, chancelier d’Angleterre (édition clandestine à Londres en 1742)
";;;"XVIIIe siècle";;"Macé, Laurence
";;"BnF – Gallica";;"Manuscrits soumis à la censure";"ÉCuMe : Édition Censure Manuscrit";;"Presque un millier de fichiers/folios transcrits et encodés actuellement.";;"Un millier de transcriptions.";"Laurence Macé (projet Cornum, IRIHS, Université de Rouen) & EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle),";
19;;"Madeleine Pelletier";https://eman.hypotheses.org/8306;France;"2023-06-08 ";;;"Le projet Madeleine Pelletier vise à présenter et à rendre facilement accessibles les documents manuscrits de la doctoresse Madeleine Pelletier (1874-1939), féministe, socialiste, néo-malthusienne et franc-maçonne. En effet, cette figure est pour le moment trop peu connue même si deux ouvrages biographiques, un colloque et un film qui lui ont été consacrés.
Madeleine Pelletier a marqué le féminisme de son temps en publiant de nombreux ouvrages et une revue, La Suffragiste, qui ont fait d’elle une intellectuelle militante. Première femme ayant passé l’internat en psychiatrie, chercheuse en anthropologie, elle avait un bagage scientifique que peu de femmes de son temps possédaient. Théoricienne d’un féminisme « intégral », elle savait communiquer ses idées au plus grand nombre avec des exemples concrets issus, notamment, de sa pratique militante associative et de son activité de médecin.
Madeleine Pelletier a entretenu une correspondance pleine de franchise avec d’autres féministes ; elle s’est aussi penchée, dans des manuscrits inédits, sur la genèse de son féminisme et les difficultés rencontrées par mouvement d’émancipation des femmes.
";;Correspondance;Français;;;;"Guha, Amal (transciptions, notes)";"Les lettres et manuscrits présentés montrent la photo et la transcription. Les transcriptions sont aussi fidèles que possible, réalisées selon les normes de la TEI. Certains termes importants sont repérés, ainsi que les noms de personnes ou d’endroits. Un appareil critique propose certains éléments biographiques ou noms propres qui peuvent éclairer le contexte des lettres.
";"Les images et les transcriptions d’environ 80 lettres de Madeleine Pelletier sont issues de la bibliothèque Marie Louis Bouglé (qui rassemblait des écrits féministes de son temps, parallèllement à Marguerite Durand). Elle fut entièrement léguée à la Bibliothèque de la Ville de Paris dans les années 1930. Ces lettres présentent des éléments biographiques précieux de la vie personnelle de Madeleine Pelletier, témoignent de plusieurs de ses voyages (notamment en Allemagne, en Espagne et au Portugal), ainsi que des relations plus ou moins intimes avec plusieurs figures du féminisme de son époque (Arria Ly, Caroline Kauffmann, Hélène Brion…), ainsi que des échanges de vues ; certaines lettres que Madeleine Pelletier a reçues correspondent à l’enquête sur le féminisme dans d’autres pays qu’avait conduite le député Ferdinand Buisson en 1908.
";"Les collections de manuscrits présentés dans le projet EMAN Madeleine Pelletier sont principalement des correspondances conservées à la BHVP (Bibliothèque Historique de la Ville de Paris). Les images et leurs transcriptions aux normes de la TEI (Text Encoding Initiative) de ces lettres sont présentées à toutes et à tous. Ce projet est l’occasion de de porter à la connaissance du public et du public académique les productions de Madeleine Pelletier, de préciser et mettre en œuvre les transcriptions aux normes de la TEI et nouer des liens croisés avec le catalogue des bibliothèques spécialisées de la Ville de Paris.
";"XXe siècle";;"Christine Bard, Amal Guha, Florence Sitoleux";;"Les lettre montrées et transcrites sont toutes cataloguées ici : https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/. La plupart, manuscrites, en bon état de conservation, sont situées à la BHVP, certaines sont microfilmées à la bibliothèque Marguerite Durand.
";Féminisme;"Documents manuscrits";"Madeleine Pelletier";"Correspondance et manuscrits de Madeleine Pelletier";"Les collections du corpus (correspondant à peu près aux fonds de la BHVP) sont présentées à mesure que les transcriptions seront réalisées.
Les transcriptions sont réalisées selon les principes de la TEI ; un document précisant les règles de transcription est en cours d’élaboration.
";;"Environ 150 lettres d’environ 1 à 6 feuillets ; une image pour chaque feuillet";"Bard, Christine (université d’Angers, laboratoire TEMOS) ; EMAN, Thalim (CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Feuilles de formats variés."
20;;"Perny, Paul-Hubert";;Chine;2017-05-31;;;"L’Épistolaire Perny vise à retracer le processus de création de l’œuvre lexicographique du Père Paul Perny ainsi qu’à réaliser un portrait de l’auteur à travers l’édition numérique et génétique de ses lettres.
Paul Perny (1818-1907), missionnaire en Chine pendant plus de 20 ans, est l’un des sinologues français les plus remarquables du XIXe siècle, mais sa place n’a pas encore été reconnue par manque d’études sur son œuvre. Parmi les publications de Perny, on peut distinguer l’ensemble consacré à l’apprentissage de la langue chinoise et, en particulier, son Dictionnaire français – latin – chinois de la langue mandarine parlée (1869), car il s’agit du premier dictionnaire imprimé avec la combinaison des langues français – latin – chinois.
L’approche génétique de la correspondance de Perny, conservée à Paris, permettra de saisir sa manière de construire ses différents dictionnaires et outils d’apprentissage du chinois. Cette approche génétique sera encore mieux mise en valeur à travers une édition numérique sur la plateforme e-Man. Le corpus concerne pour l’instant plus d'une centaine de lettres parmi la correspondance générale de Perny. Ces lettres seront commentées avec des références et des analyses du processus de création des œuvres publiées de Perny.
";;Correspondance;Chinois;https://eman.hypotheses.org/655;;"Œuvre lexicographique et correspondance
Paul Perny est un auteur prolifique, passionné de la langue et de la culture chinoises qui a une longue expérience de terrain. Sa préoccupation de rendre accessible une langue réputée comme très difficile, voire impossible d’être apprise, se reflète dans son œuvre et dans sa correspondance.
Effectivement, Perny conçoit un ensemble complet pour l’apprentissage de la langue chinoise avec plusieurs types des publications : deux dictionnaires, un appendice à l’un de ces dictionnaires, un livre de dialogues, un autre des proverbes et une grammaire. D’ailleurs, cette grammaire est représentative de la mission catholique française en Chine au 19e siècle, car elle est, d'après nos données, la seule à avoir été publiée pendant la deuxième moitié du 19e siècle.
Une autre particularité de son œuvre est la publication en 1869 du Dictionnaire français – latin – chinois de la langue mandarine parlée. Il s’agit, d'après le propre Perny, du premier dictionnaire publié avec cette combinaison des langues. Ce dictionnaire présente une approche 'communicative' de la langue, face aux approches plus traditionnelles des lexicographes antérieurs.
Perny est également un auteur épistolaire prolifique. Une très riche correspondance en témoigne. Entreprendre une analyse de cette correspondance nous permettra de tracer le cheminement de Perny lors du processus de création de ses ouvrages. Ainsi, à travers les différentes informations qu’on peut y trouver, on peut mieux comprendre les difficultés auxquelles il s’est confronté pour publier un dictionnaire et une grammaire chinoise, ainsi que d’autres textes, à Paris, dans la deuxième moitié du 19e siècle : achat des fontes de caractères, difficultés économiques pour payer l’impression, etc.
";"Trujillo-González, Verónica C. (responsable du projet), Walter, Richard (responsable de la plateforme E-Man), Salavert, Annie (bibliothécaire M. E.)";;"Le corpus de l’Épistolaire Perny (E-Perny) comprend plus de 140 lettres inédites entre 1849 et 1868 ainsi que certains œuvres de Perny consacrés à l'apprentissage de la langue chinoise. Parmi ces œuvres on trouve le Vocabularium latino sinicum (1861), dictionnaire inédit, réalisé en papier riz et dactylographié. Les autres publications de Perny sur l’enseignement du chinois sont accessibles à travers des liens vers Gallica ou vers d'autres bibliothèques numériques.
Comme matériel un peu particulier présent dans l'Épistolaire Perny (E-Perny), on trouve le libelle contre certains professeurs du Collège de France, rédigé sous le pseudonyme de Léon Bertin. De même, on y trouve également la réponse du Marquis d'Hervey de Saint Denys (1874) à ce pamphlet et la publication du jugement du tribunal de Versailles qui a eu lieu suite à cette publication.
";"L’Épistolaire Perny (E-Perny) vise à mettre en lumière l’œuvre lexicographique de Paul Perny et à retracer le processus de création de ses ouvrages à travers l’édition génétique et numérique de sa correspondance.
L’œuvre de Perny sur la langue chinoise se distingue d’autres publications du XIXe siècle par le fait d'être un ensemble pédagogique complet : deux dictionnaires, un appendice à l’un de ces dictionnaires, une grammaire en deux volumes, un livre de dialogues chinois - latin et un recueil de proverbes chinois. L’étude et l’édition numérique et génétique de ses lettres permettront, également, de réaliser un portrait de l’auteur et de son époque, ainsi que mettre en relation cette correspondance avec l’ensemble de son œuvre.
";"XIXe siècle";;"Trujillo-González, Verónica C. (Instituto Universitario de Análisis y Aplicaciones Textuales (IATEXT), Universidad de Las Palmas de Gran Canaria (ULPGC))
";;"Les documents numérisés se trouvent préservés dans des bonnes conditions dans la bibliothèque et archives des Missions étrangères de Paris, à Paris.";épistolaire;"Documents manuscrits";"Épistolaire Perny (E-Perny)
Sigle : E-P. ";"Épistolaire Perny (E-Perny)";"La numérisation a été faite en interne et manuellement. Le corpus est dans un état très homogène. Mais un travail conséquent doit être fait entre le registre des Missions et les lettres numérisées de ce fond.
La correspondance va être transcrite. C'est une correspondance officielle, avec donc une langue surveillée, une écriture lisible, peu de variations (ratures, ajouts) dans le texte.
La transcription sera au départ non diplomatique et non modernisée : on garde l'orthographe de l'époque ; dans une seconde campagne de relecture, les variantes seront encodées pour avoir un texte modernisé utile au moteur de recherche. Les retours à la ligne, les alinéas, les notations d'inventaires ne sont pas notifiées.
La transcription est faite par l'outil Transcript et sera exportable en PDF, XML et XML/TEI.
Un exemple : les 4 folios de la lettre ""L'œuvre de son dictionnaire chinois le retient en France""
";;"Plus de 140 lettres.";"Verónica C. Trujillo-González, Instituto Universitario de Análisis y Aplicaciones Textuales (IATEXT), Universidad de Las Palmas de Gran Canaria (ULPGC) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)
";"Le corpus initial comprend plus de 140 lettres manuscrites et un dictionnaire inédit dactylographié.
"
21;https://eman-archives.org/HoL;" Robinson (Darmesteter-Duclaux), Mary";https://thesibylblog.com/2021/02/09/poster-presentation-de-holographical-lee-hol-base-de-donnees-et-archive-numerique/;Angleterre;2018-02-16;2021-01-12;;"Holographical Lee (HoL) - Lettres, carnets et manuscrits de Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935) est un site consacré à la vie et l’œuvre de la femme de lettres, autrice, critique littéraire, philosophe, psychologue et pacifiste engagée Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935), en relation avec son vaste réseau international. La démarche s’inscrit dans le cadre des humanités numériques et participe d’une volonté de dés-invisibiliser l’histoire intellectuelle d'autrices marginalisées dans l’historiographie traditionnelle.
Conçue comme une Archive numérique rassemblant des documents épars difficilement accessibles et comme une Base de données, Holographical-Lee (HoL) se veut à la fois un outil de recherche et un objet de recherche. Elle a une visée de conservation et une vocation mémorielle, patrimoniale et pédagogique.
Le site ambitionne de rassembler et de rendre visible et lisible la correspondance active et passive de Vernon Lee, ainsi qu'un ensemble de carnets, manuscrits et autres objets conservés par le Fonds de Dotation André et Berthe Noufflard, ou les Archives de Vernon Lee (Colby College, Maine, USA). Il permet une recherche par mots-clefs, noms, dates et lieux de rédaction, lieux de dépôt de l'archive, langues de rédaction. Il propose le fac-simile du document accompagné de sa transcription dans sa langue d'origine et d'une traduction en anglais.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/1022;;;"Geoffroy, Sophie (édition scientifique)";"Le site présente la transcription linéarisée de certaines lettres et documents manuscrits réalisées à partir d'originaux des lettres ou de scans de lettres fournies par les fonds d’archives consultés.
- Toutes les lettres reçues par Vernon Lee sont classées dans l’ordre alphabétique des correspondants et dans l’ordre chronologique ;
- Toutes les lettres rédigées par Vernon Lee sont classées par ordre chronologique ;
- Tous les autres documents sont classés dans des collections par genre ;
- Chaque document fait l’objet d’une notice avec les images, les métadonnées et les éléments de géolocalisation ;
- Les chercheurs associés au projet peuvent modifier et compléter les métadonnées, proposer une transcription et/ou une traduction.";"Vernon Lee est le nom de plume de Violet Paget, née en France le 14 octobre 1856 à Château St Léonard (Boulogne-sur-Mer), et décédée à Florence (Italie) le 13 février 1935. Née en France, éduquée à l'étranger, l'écrivaine cosmopolite Vernon Lee, au gré des voyages familiaux, découvrit l'Allemagne et la Suisse, et chérit tout au long de sa vie le souvenir de l'Allemagne d'avant la première guerre mondiale, comme en témoignent notamment ses premières lettres à son institutrice, Marie Schupbach, et ses lettres à son amie Irene Forbes-Mosse. C'est en Italie, à Bologne et à Florence, que Vernon Lee découvrit l'opéra. Elle s'établit à Florence et y résida durant 50 ans. Sa maison, la Villa Il Palmerino, devint un salon réputé dans toute l'Europe.
Elle noua des liens intellectuels et amicaux en Grande-Bretagne, notamment grâce à Mary Robinson (Darmesteter; Duclaux) et à Walter Pater. Une partie importante de sa correspondance est en langue anglaise et évoque avec brio le paysage culturel, artistique et intellectuel européen, du dix-huitième siècle à l'entre-deux-guerres.
Le site révèle l'importance toute particulière de ses liens largement méconnus avec la France et ses amis français.
Vernon Lee, dont l’art de la conversation frappait ses contemporains, fut une épistolière infatigable et une redoutable polémiste. Parmi ses correspondants figurent la plupart des grandes figures intellectuelles de la fin du dix-neuvième siècle aux années 30 à travers l’Europe.
Autrice érudite et prolifique reconnue dès sa première publication (Studies of the Eighteenth Century in Italy) par Robert Browning, Henry James, Walter Pater, ou John Addington Symonds, elle excella dans ses genres de prédilection (l'essai, le dialogue philosophique, le récit fantastique, la littérature de voyage, le théâtre) et dans de nombreux domaines (philosophie de l'art, politique, histoire, musicologie, psychologie). Sa bibliographie est remarquable par l'érudition et la diversité de ses productions.
Plurilinguisme (anglais, italien, français, allemand), pluridisciplinarité, multiplicité des supports et des formats, dispersion des ressources et corpus non clos: en raison de ces spécificités, ce corpus et ce site présentent un intérêt tout particulier pour les domaines de recherche suivants :
- Génétique textuelle de Vernon Lee ;
- Histoire intellectuelle et politique européenne des dix-neuvième et vingtième siècles ;
- Études sur les femmes artistes, autrices, intellectuelles, activistes ;
- Sociologie des sociabilités féminines ;
- Étude des réseaux épistolaires internationaux - Humanités numériques
- Etudes de l’épistolaire.
Exclusif
Pour découvrir Vernon Lee, consultez notre web-documentaire réalisé à partir des films d'André Noufflard, et actuellement composé de 15 épisodes sur Vernon Lee (Violet Paget 1856-1935), écrivaine cosmopolite et éclectique (histoires fantastiques, critique d'art, philosophie, psychologie, théâtre, musicologie...) et femme engagée pacifiste et humaniste.
https://vimeo.com/channels/1269849
";"Holographical Lee (HoL) - Lettres, carnets et manuscrits de Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935) est le premier projet consacré à l'édition intégrale de la correspondance de Vernon Lee. Le projet poursuit l’objectif à l’origine de la revue en ligne The Sibyl, A Journal of Vernon Lee Studies et se développe au sein de l’International Vernon Lee Society, afin de favoriser les recherches sur la vie et l'œuvre de l'autrice, parallèlement à l’édition imprimée des Lettres choisies (Selected Letters of Vernon Lee) en 6 volumes aux éditions Routledge qui rassemblent en une édition savante des lettres issues d’environ 40 archives publiques ou privées à travers le monde. Le Volume I, Selected Letters of Vernon Lee 1865-1884, a été publié en 2017 sous la direction principale d'Amanda Gagel, avec Sophie Geoffroy (éditrice associée). Le Volume II, Selected Letters of Vernon Lee 1885-1889, est paru en 2021 sous la direction principale de Sophie Geoffroy, avec Amanda Gagel (éditrice associée). Le Volume III, Selected Letters of Vernon Lee 1890-1896, sous la direction principale de Sophie Geoffroy, avec Amanda Gagel (éditrice associée), est sous presse chez le même éditeur. Trois autres volumes sont à paraître, également sous la direction de Sophie Geoffroy assistée d’Amanda Gagel, avec contrat signé chez le même éditeur. Le site Holographical Lee (HoL) - Lettres, carnets et manuscrits de Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935) ambitionne de rendre accessibles les facsimiles et les transcriptions des très nombreuses lettres (plus de 2000 lettres) de Vernon Lee, rédigées en anglais, en français, en italien et en allemand, dont certaines sont des correspondances croisées. Le site ambitionne également de donner accès aux facsimiles et aux transcriptions des carnets de Vernon Lee, ainsi que les brouillons ou manuscrits autographes de certains de ses travaux. Plus précisément les enjeux consistent à :
- Éditer et rendre lisible la correspondance de Vernon Lee avec ses amis français, inédite à ce jour ;
- Constituer des archives numériques de Vernon Lee complémentaires de la Vernon Lee Archive, Colby College, USA ;
- Valoriser la correspondance passive de Vernon Lee (lettres inédites) ;
- Préparer l’édition numérique des carnets de guerre (1914-1918) de Vernon Lee ;
- Étudier la circulation des idées et des œuvres des femmes et par les femmes dans l’Europe de la fin du XIXème au milieu du XXème siècle.";"XIXe siècle";;"Geoffroy, Sophie (Université de La Réunion)";;"Une quarantaine d'archives publiques ou privées détentrices de documents manuscrits (lettres, carnets, brouillons) de Vernon Lee ont été consultées, en France, aux Etats-Unis, en Italie, en Angleterre, en Ecosse, en Irlande, en Suisse et en Allemagne. Les documents offerts par le site sont issus principalement des archives suivantes:
- Vernon Lee Archive, Miller Library, Colby College, Maine, USA
- Bibliothèque Nationale de France, Manuscrits, Paris
- Fonds de dotation André et Berthe Noufflard (Paris), collection privée";écriture;"Documents imprimés";"HoL: Holographical-Lee";;"Le projet veut faire une édition numérique des manuscrits et de la correspondance de Vernon Lee en présentant la numérisation de ceux-ci réalisée à partir des originaux des lettres manuscrites autographes, ou des scans de lettres fournies par les fonds d’archives consultées, accompagnée par une transcription linéarisée pour une partie d’entre eux.";;"Le corpus représente environ 2200 lettres et cartes postales de Vernon Lee à de très nombreux destinataires (correspondance active et passive), 29 carnets, 30 courts essais manuscrits, 2 manuscrits (dont un MS de 408 pp.).
A ce jour, Holographical-Lee (HoL) - Lettres, carnets et manuscrits de Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935) comporte 1293 contenus dans 111 collections.";"Sophie Geoffroy, Université de la Réunion ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Documents manuscrits autographes ou photographies numériques de manuscrits ou de documents iconographiques originaux."
21;https://eman-archives.org/HoL;" Robinson (Darmesteter-Duclaux), Mary";https://thesibylblog.com/2021/02/09/poster-presentation-de-holographical-lee-hol-base-de-donnees-et-archive-numerique/;Angleterre;2018-02-16;2021-01-12;;"Holographical Lee (HoL) - Lettres, carnets et manuscrits de Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935) est un site consacré à la vie et l’œuvre de la femme de lettres, autrice, critique littéraire, philosophe, psychologue et pacifiste engagée Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935), en relation avec son vaste réseau international. La démarche s’inscrit dans le cadre des humanités numériques et participe d’une volonté de dés-invisibiliser l’histoire intellectuelle d'autrices marginalisées dans l’historiographie traditionnelle.
Conçue comme une Archive numérique rassemblant des documents épars difficilement accessibles et comme une Base de données, Holographical-Lee (HoL) se veut à la fois un outil de recherche et un objet de recherche. Elle a une visée de conservation et une vocation mémorielle, patrimoniale et pédagogique.
Le site ambitionne de rassembler et de rendre visible et lisible la correspondance active et passive de Vernon Lee, ainsi qu'un ensemble de carnets, manuscrits et autres objets conservés par le Fonds de Dotation André et Berthe Noufflard, ou les Archives de Vernon Lee (Colby College, Maine, USA). Il permet une recherche par mots-clefs, noms, dates et lieux de rédaction, lieux de dépôt de l'archive, langues de rédaction. Il propose le fac-simile du document accompagné de sa transcription dans sa langue d'origine et d'une traduction en anglais.";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/1022;;;"Geoffroy, Sophie (édition scientifique)";"Le site présente la transcription linéarisée de certaines lettres et documents manuscrits réalisées à partir d'originaux des lettres ou de scans de lettres fournies par les fonds d’archives consultés.
- Toutes les lettres reçues par Vernon Lee sont classées dans l’ordre alphabétique des correspondants et dans l’ordre chronologique ;
- Toutes les lettres rédigées par Vernon Lee sont classées par ordre chronologique ;
- Tous les autres documents sont classés dans des collections par genre ;
- Chaque document fait l’objet d’une notice avec les images, les métadonnées et les éléments de géolocalisation ;
- Les chercheurs associés au projet peuvent modifier et compléter les métadonnées, proposer une transcription et/ou une traduction.";"Vernon Lee est le nom de plume de Violet Paget, née en France le 14 octobre 1856 à Château St Léonard (Boulogne-sur-Mer), et décédée à Florence (Italie) le 13 février 1935. Née en France, éduquée à l'étranger, l'écrivaine cosmopolite Vernon Lee, au gré des voyages familiaux, découvrit l'Allemagne et la Suisse, et chérit tout au long de sa vie le souvenir de l'Allemagne d'avant la première guerre mondiale, comme en témoignent notamment ses premières lettres à son institutrice, Marie Schupbach, et ses lettres à son amie Irene Forbes-Mosse. C'est en Italie, à Bologne et à Florence, que Vernon Lee découvrit l'opéra. Elle s'établit à Florence et y résida durant 50 ans. Sa maison, la Villa Il Palmerino, devint un salon réputé dans toute l'Europe.
Elle noua des liens intellectuels et amicaux en Grande-Bretagne, notamment grâce à Mary Robinson (Darmesteter; Duclaux) et à Walter Pater. Une partie importante de sa correspondance est en langue anglaise et évoque avec brio le paysage culturel, artistique et intellectuel européen, du dix-huitième siècle à l'entre-deux-guerres.
Le site révèle l'importance toute particulière de ses liens largement méconnus avec la France et ses amis français.
Vernon Lee, dont l’art de la conversation frappait ses contemporains, fut une épistolière infatigable et une redoutable polémiste. Parmi ses correspondants figurent la plupart des grandes figures intellectuelles de la fin du dix-neuvième siècle aux années 30 à travers l’Europe.
Autrice érudite et prolifique reconnue dès sa première publication (Studies of the Eighteenth Century in Italy) par Robert Browning, Henry James, Walter Pater, ou John Addington Symonds, elle excella dans ses genres de prédilection (l'essai, le dialogue philosophique, le récit fantastique, la littérature de voyage, le théâtre) et dans de nombreux domaines (philosophie de l'art, politique, histoire, musicologie, psychologie). Sa bibliographie est remarquable par l'érudition et la diversité de ses productions.
Plurilinguisme (anglais, italien, français, allemand), pluridisciplinarité, multiplicité des supports et des formats, dispersion des ressources et corpus non clos: en raison de ces spécificités, ce corpus et ce site présentent un intérêt tout particulier pour les domaines de recherche suivants :
- Génétique textuelle de Vernon Lee ;
- Histoire intellectuelle et politique européenne des dix-neuvième et vingtième siècles ;
- Études sur les femmes artistes, autrices, intellectuelles, activistes ;
- Sociologie des sociabilités féminines ;
- Étude des réseaux épistolaires internationaux - Humanités numériques
- Etudes de l’épistolaire.
Exclusif
Pour découvrir Vernon Lee, consultez notre web-documentaire réalisé à partir des films d'André Noufflard, et actuellement composé de 15 épisodes sur Vernon Lee (Violet Paget 1856-1935), écrivaine cosmopolite et éclectique (histoires fantastiques, critique d'art, philosophie, psychologie, théâtre, musicologie...) et femme engagée pacifiste et humaniste.
https://vimeo.com/channels/1269849
";"Holographical Lee (HoL) - Lettres, carnets et manuscrits de Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935) est le premier projet consacré à l'édition intégrale de la correspondance de Vernon Lee. Le projet poursuit l’objectif à l’origine de la revue en ligne The Sibyl, A Journal of Vernon Lee Studies et se développe au sein de l’International Vernon Lee Society, afin de favoriser les recherches sur la vie et l'œuvre de l'autrice, parallèlement à l’édition imprimée des Lettres choisies (Selected Letters of Vernon Lee) en 6 volumes aux éditions Routledge qui rassemblent en une édition savante des lettres issues d’environ 40 archives publiques ou privées à travers le monde. Le Volume I, Selected Letters of Vernon Lee 1865-1884, a été publié en 2017 sous la direction principale d'Amanda Gagel, avec Sophie Geoffroy (éditrice associée). Le Volume II, Selected Letters of Vernon Lee 1885-1889, est paru en 2021 sous la direction principale de Sophie Geoffroy, avec Amanda Gagel (éditrice associée). Le Volume III, Selected Letters of Vernon Lee 1890-1896, sous la direction principale de Sophie Geoffroy, avec Amanda Gagel (éditrice associée), est sous presse chez le même éditeur. Trois autres volumes sont à paraître, également sous la direction de Sophie Geoffroy assistée d’Amanda Gagel, avec contrat signé chez le même éditeur. Le site Holographical Lee (HoL) - Lettres, carnets et manuscrits de Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935) ambitionne de rendre accessibles les facsimiles et les transcriptions des très nombreuses lettres (plus de 2000 lettres) de Vernon Lee, rédigées en anglais, en français, en italien et en allemand, dont certaines sont des correspondances croisées. Le site ambitionne également de donner accès aux facsimiles et aux transcriptions des carnets de Vernon Lee, ainsi que les brouillons ou manuscrits autographes de certains de ses travaux. Plus précisément les enjeux consistent à :
- Éditer et rendre lisible la correspondance de Vernon Lee avec ses amis français, inédite à ce jour ;
- Constituer des archives numériques de Vernon Lee complémentaires de la Vernon Lee Archive, Colby College, USA ;
- Valoriser la correspondance passive de Vernon Lee (lettres inédites) ;
- Préparer l’édition numérique des carnets de guerre (1914-1918) de Vernon Lee ;
- Étudier la circulation des idées et des œuvres des femmes et par les femmes dans l’Europe de la fin du XIXème au milieu du XXème siècle.";"XIXe siècle";;"Geoffroy, Sophie (Université de La Réunion)";;"Une quarantaine d'archives publiques ou privées détentrices de documents manuscrits (lettres, carnets, brouillons) de Vernon Lee ont été consultées, en France, aux Etats-Unis, en Italie, en Angleterre, en Ecosse, en Irlande, en Suisse et en Allemagne. Les documents offerts par le site sont issus principalement des archives suivantes:
- Vernon Lee Archive, Miller Library, Colby College, Maine, USA
- Bibliothèque Nationale de France, Manuscrits, Paris
- Fonds de dotation André et Berthe Noufflard (Paris), collection privée";écriture;"Documents imprimés";"HoL: Holographical-Lee";;"Le projet veut faire une édition numérique des manuscrits et de la correspondance de Vernon Lee en présentant la numérisation de ceux-ci réalisée à partir des originaux des lettres manuscrites autographes, ou des scans de lettres fournies par les fonds d’archives consultées, accompagnée par une transcription linéarisée pour une partie d’entre eux.";;"Le corpus représente environ 2200 lettres et cartes postales de Vernon Lee à de très nombreux destinataires (correspondance active et passive), 29 carnets, 30 courts essais manuscrits, 2 manuscrits (dont un MS de 408 pp.).
A ce jour, Holographical-Lee (HoL) - Lettres, carnets et manuscrits de Vernon Lee (Violet Paget, 1856-1935) comporte 1293 contenus dans 111 collections.";"Sophie Geoffroy, Université de la Réunion ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Documents manuscrits autographes ou photographies numériques de manuscrits ou de documents iconographiques originaux."
23;https://eman-archives.org/CorrespondanceZola;"Zola, Émile";http://www.archives-zoliennes.fr/;France;" 2017-05-31";"2020-09-10 ";;"Débuté en 2017, le projet « Naturalismes du monde » a été une initiative de partenariat incluant le CNRS, l’ENS et le Collège de France, au sein de la COMUE PSL. Le Labex TransferS a envisagé d’étudier les circulations des textes, des modèles intellectuels et des objets culturels saisis dans le contact des langues. Dans ce cadre, et en lien avec « La République des Savoirs », le Centre Zola de l’ITEM a souhaité étudier et valoriser les lettres internationales adressées à Zola, dont une part est encore conservée dans les archives du Dr. Brigitte Émile-Zola, précieuse collaboratrice des projets archivistiques zoliens. Il s’agit du courrier des lecteurs du monde, dans le contexte d’une vie littéraire internationalisée à la fin du 19e siècle, à l’ère du cosmopolitisme, des colonies et des Alliances françaises, du commerce industriel et des grands chantiers, et bien sûr au moment de l’affaire Dreyfus.
Plus de 2400 lettres numérisées à ce jour sont en ligne sur cette plateforme d’édition numérique. Tous les continents sont couverts, sur une période qui va surtout des années 1880 jusqu’à la fin de la vie de l’écrivain : l’Europe limitrophe de la France (Belgique, Suisse, Allemagne, Espagne, Angleterre…), l’Europe de l’Est (Hongrie, Pologne, et les lettres de Russie…), les deux Amériques, du Nord et du Sud (Canada, États-Unis, Chili, Argentine, Brésil, Colombie, Costa Rica, Mexique ou encore Venezuela), le continent asiatique, (Inde et Indonésie), l’Australie, l’Afrique du Sud. L’équipe est loin d’avoir fait le tour de ce courrier international, dont une grande partie reste encore inédite. Cependant, le corpus déjà constitué permet d’élaborer une méthode et des axes de lecture qui répondent à la question principale d’un tel projet : quel traitement apporté à une telle masse épistolaire, pour quels intérêts et quels usages ? Le colloque de mai 2019, dont les actes sont publiés dans le numéro 94 des Cahiers naturalistes (2020), a tenté de répondre en partie à ces questions.
";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/659;;;"Barjonet, Aurélie";"L'objectif est tout à la fois de proposer une édition du corpus avec apparat critique (correspondance active de Zola) mais également mettre à disposition de la communauté scientifique un corpus inédit et dont la pérennité n'est pas garantie à ce jour (correspondance passive de Zola).
";"2000 lettres envoyées à Zola de pays étrangers au moment de l'affaire Dreyfus / 5000 lettres envoyées par Zola. La correspondance passive fait l'objet d'une description via les champs DublinCore avec numérisation de la lettre depuis une photocopie ou d'après la lettre originale. Les transcriptions sont minoritaires (10% du total). La correspondance active donne les métadonnées DublinCore et la transcription de la lettre, avec la numérisation du document quand celle-ci est disponible.
";"Le projet consiste en l'édition de la correspondance active et passive de Zola. Concernant la correspondance active, les 5000 lettres ont déjà fait l'objet d'une édition en volumes qui sont actuellement difficiles d'accès. Il s'agit également de replacer les lettres inédites qui n'ont jamais fait l'objet d'une édition scientifique. Il s'agit ensuite d'articuler cette correspondance active à la correspondance passive, soit environs 20000 lettres. Dans un premier temps, il a été décidé de se concentrer sur un corpus d'environs 2000 lettres envoyées à Zola, depuis les pays étrangers, au moment de l'Affaire Dreyfus. Cela nous permet de mieux comprendre la réception de l'Affaire à l'étranger et dans différents milieux sociaux.
";"XIXe siècle";;"Macke, Jean-Sébastien (ITEM-CNRS/ENS)";;"Centre d'étude sur Zola et le naturalisme (ITEM/CNRS-ENS)";Correspondance;"Documents manuscrits";"CORREZ - Édition des lettres internationales adressées à Émile Zola";;"Pour une toute petite partie du corpus. Transcription linéarisée.";;"5000 lettres écrites par Zola, 3000 lettres envoyées à Zola.";"Centre d'étude sur Zola et le naturalisme (ITEM/CNRS-ENS) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle), ";"Lettres originales manuscrites, le plus souvent sans enveloppe."
24;;"Riemann, Bernhard
";;Allemagne;;;;"En 1876 sont publiées les Gesammelte mathematische Werke und wissenschaftlicher Nachlass (Œuvres mathématiques choisies et archives scientifiques) du mathématicien Bernhard Riemann (1826-1866), éditées par Heinrich Weber (1842-1913) et Richard Dedekind (1831-1916).
Le travail d’édition de ce volume, qui a duré dix ans, est largement documenté dans la correspondance des éditeurs et dans les archives de Dedekind et de Riemann conservées à Göttingen et Braunschweig. Grâce à cette correspondance et aux manuscrits documentant le travail des éditeurs, nous proposons une analyse génétique des différentes étapes d’édition visibles dans les manuscrits et montrons le travail ample et profond des éditeurs : relectures, corrections, recherches personnelles, commentaires… Cette édition vise à reconstituer et donner à voir les étapes d’édition de chacun des textes publiés dans les Werke de Riemann, depuis le choix des inédits à publier jusqu’à la révision, correction et complétion des textes – dont certaines des versions finales se révèlent avoir été écrites par plusieurs mains.";;Mathématiques;Allemand;;;;"Haffner, Emmylou (ITEM, CNRS/ÉNS)";"Les textes de Riemann font l’objet d’une édition génétique et critique dont le but est de rendre visible chaque étape en mettant en exergue le travail des éditeurs, depuis le premier texte de Riemann jusqu’au texte publié en 1876. L’édition donne à voir les strates de texte contenues dans les Nachlässe de Riemann et Dedekind : manuscrits de Riemann, transcriptions, épreuves (corrigées), texte final. Ces Nachlässe contiennent aussi les éléments pour construire un dossier génétique et un apparat critique extrêmement complets (notes des éditeurs, correspondance, brouillons et versions finales des commentaires) qui seront édités sans transcription. Dans les transcriptions des textes, les modifications des éditeurs sont explicitement indiquées et annotées.
La hiérarchie des dossiers et notices est la suivante
- Article de Riemann (e.g., « Fragmente über die Grenzfälle der elliptischen Modulfunctionen »)
o Dossier du Nachlass de Riemann correspond (e.g., Cod. Ms. B. Riemann 4)
- Notice : Manuscrit original de Riemann
- Notice(s) : Transcriptions (plusieurs versions possibles, 1 notice / version) des éditeurs
- Notice(s) : Épreuves
- Notice : Texte final
o Dossier du Nachlass des éditeurs correspondant (e.g., Cod. Ms. Dedekind XII 4)
- Notice(s) : Transcriptions lorsqu’elles sont conservées dans les archives de l’éditeur
- Notice(s) : Épreuves (idem)
- Notice(s) : Notes personnelles de l’éditeur
À cela, nous ajoutons un système thématique de mots-clefs ; des relations entre différents textes (établies par l'éditrice) pour suivre les différentes versions ; des transcriptions critiques.";"Dans les archives de Riemann (Cod. Ms. B. Riemann) : manuscrits des articles publiés dans les Œuvres, documents de travail (notes, transcriptions, correspondances…) des éditeurs, épreuves. Les manuscrits de Riemann sont dans différents états d’avancement, et différents états de lisibilité – certains sont écrits au crayon à papier, qui résiste mal au temps. Les manuscrits des éditeurs sont mieux conservés. La majorité de la correspondance a été publiée. Dans les archives de Dedekind (Cod. Ms. R. Dedekind) : notes de travail sur certains textes édités. Très bon état de conservation. On distingue plusieurs catégories (non nécessairement disjointes) de manuscrits :
– documents de la main de Riemann ;
– transcriptions des éditeurs pour les textes inédits ;
– épreuves corrigées ;
– recherches des éditeurs pour vérifier le texte de Riemann ; résumés et explications personnelles des éditeurs dépassant parfois le cadre de l’édition ;
– brouillons et épreuves des commentaires des éditeurs.";"Les Œuvres de Riemann publiées en 1976 par Dedekind et Weber consistent en un volume, divisé en trois parties et deux annexes. La première partie contient les onze textes publiés par Riemann de son vivant. La seconde partie contient sept textes publiés dans divers journaux après son décès. La troisième partie contient douze textes inédits extraits du Nachlass de Riemann. En annexe sont publiés trois textes philosophiques. Le travail d’éditeur de Weber et Dedekind, en particulier sur les manuscrits inédits extraits du Nachlass de Riemann, s’est doublé d’un travail de mathématicien et d’un travail de philologue. Une large part de leur travail s’est effectué par lettres (publiées dans [Scheel, 2014]). Leurs documents de travail ont été conservés dans les archives de Riemann et Dedekind à la Niedersächsische Staats- und Universitätsbibliothek. Nous avons donc accès à une quantité remarquable d’archives documentant le processus d’édition des textes de manière extrêmement complète.
La correspondance entre Dedekind et Weber montre qu’au cours de leur travail éditorial, ceux-ci ont effectué une relecture détaillée de tous les textes de Riemann, des corrections lorsque cela s’avérait nécessaire, et des recherches mathématiques profondes. De nombreux textes édités portent ainsi la trace du travail éditorial : certains ont été écrits en partie par les éditeurs, d’autres ponctuellement corrigés, par exemple. La somme des travaux de Riemann, telle qu’éditée par Dedekind et Weber, est alors un nouveau texte, dont la fabrication requiert une analyse à part entière. Le travail d’édition prend ici une signification particulière, en ce que les éditeurs sont à la fois ceux qui lisent et fabriquent le texte à publier. L’édition est alors une seconde genèse du texte riemannien. C’est ce processus d’édition que ce projet se propose d’étudier et de déplier à travers une édition génétique critique des originaux de Riemann et, lorsque cela est pertinent, des documents de travail des éditeurs. On peut ainsi lire les textes de Riemann en tenant compte des séries de modifications apportées dans le contexte de l’édition, depuis le texte original jusqu’au texte imprimé, et on peut retracer précisément et rigoureusement le chemin menant des manuscrits originaux de Riemann à leur version publiée.";"XIXe siècle";;"Haffner, Emmylou (ITEM, CNRS/ÉNS)";;"Niedersächsische Staats- und Universitätsbibliothek, Göttingen, Allemagne";"histoire des sciences";"Documents manuscrits";"DWR : Édition des Gesammelte mathematische Werke und wissenschaftlicher Nachlass de Riemann par Dedekind et Weber";;"Transcriptions (critique) des originaux de Riemann, des transcriptions des éditeurs, des versions publiées pour mettre en évidence les modifications apportées lors de l’édition.";;"À préciser lorsque le travail sera terminé, car les dossiers des Nachlässe contiennent beaucoup de documents qui ne sont pas tous pertinents pour l’édition. On prévoit entre 22 et 33 dossiers.";"Niedersächsische Staats- und Universitätsbibliothek in Göttingen, E. Haffner, EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
24;;"Riemann, Bernhard
";;Allemagne;;;;"En 1876 sont publiées les Gesammelte mathematische Werke und wissenschaftlicher Nachlass (Œuvres mathématiques choisies et archives scientifiques) du mathématicien Bernhard Riemann (1826-1866), éditées par Heinrich Weber (1842-1913) et Richard Dedekind (1831-1916).
Le travail d’édition de ce volume, qui a duré dix ans, est largement documenté dans la correspondance des éditeurs et dans les archives de Dedekind et de Riemann conservées à Göttingen et Braunschweig. Grâce à cette correspondance et aux manuscrits documentant le travail des éditeurs, nous proposons une analyse génétique des différentes étapes d’édition visibles dans les manuscrits et montrons le travail ample et profond des éditeurs : relectures, corrections, recherches personnelles, commentaires… Cette édition vise à reconstituer et donner à voir les étapes d’édition de chacun des textes publiés dans les Werke de Riemann, depuis le choix des inédits à publier jusqu’à la révision, correction et complétion des textes – dont certaines des versions finales se révèlent avoir été écrites par plusieurs mains.";;Mathématiques;Allemand;;;;"Haffner, Emmylou (ITEM, CNRS/ÉNS)";"Les textes de Riemann font l’objet d’une édition génétique et critique dont le but est de rendre visible chaque étape en mettant en exergue le travail des éditeurs, depuis le premier texte de Riemann jusqu’au texte publié en 1876. L’édition donne à voir les strates de texte contenues dans les Nachlässe de Riemann et Dedekind : manuscrits de Riemann, transcriptions, épreuves (corrigées), texte final. Ces Nachlässe contiennent aussi les éléments pour construire un dossier génétique et un apparat critique extrêmement complets (notes des éditeurs, correspondance, brouillons et versions finales des commentaires) qui seront édités sans transcription. Dans les transcriptions des textes, les modifications des éditeurs sont explicitement indiquées et annotées.
La hiérarchie des dossiers et notices est la suivante
- Article de Riemann (e.g., « Fragmente über die Grenzfälle der elliptischen Modulfunctionen »)
o Dossier du Nachlass de Riemann correspond (e.g., Cod. Ms. B. Riemann 4)
- Notice : Manuscrit original de Riemann
- Notice(s) : Transcriptions (plusieurs versions possibles, 1 notice / version) des éditeurs
- Notice(s) : Épreuves
- Notice : Texte final
o Dossier du Nachlass des éditeurs correspondant (e.g., Cod. Ms. Dedekind XII 4)
- Notice(s) : Transcriptions lorsqu’elles sont conservées dans les archives de l’éditeur
- Notice(s) : Épreuves (idem)
- Notice(s) : Notes personnelles de l’éditeur
À cela, nous ajoutons un système thématique de mots-clefs ; des relations entre différents textes (établies par l'éditrice) pour suivre les différentes versions ; des transcriptions critiques.";"Dans les archives de Riemann (Cod. Ms. B. Riemann) : manuscrits des articles publiés dans les Œuvres, documents de travail (notes, transcriptions, correspondances…) des éditeurs, épreuves. Les manuscrits de Riemann sont dans différents états d’avancement, et différents états de lisibilité – certains sont écrits au crayon à papier, qui résiste mal au temps. Les manuscrits des éditeurs sont mieux conservés. La majorité de la correspondance a été publiée. Dans les archives de Dedekind (Cod. Ms. R. Dedekind) : notes de travail sur certains textes édités. Très bon état de conservation. On distingue plusieurs catégories (non nécessairement disjointes) de manuscrits :
– documents de la main de Riemann ;
– transcriptions des éditeurs pour les textes inédits ;
– épreuves corrigées ;
– recherches des éditeurs pour vérifier le texte de Riemann ; résumés et explications personnelles des éditeurs dépassant parfois le cadre de l’édition ;
– brouillons et épreuves des commentaires des éditeurs.";"Les Œuvres de Riemann publiées en 1976 par Dedekind et Weber consistent en un volume, divisé en trois parties et deux annexes. La première partie contient les onze textes publiés par Riemann de son vivant. La seconde partie contient sept textes publiés dans divers journaux après son décès. La troisième partie contient douze textes inédits extraits du Nachlass de Riemann. En annexe sont publiés trois textes philosophiques. Le travail d’éditeur de Weber et Dedekind, en particulier sur les manuscrits inédits extraits du Nachlass de Riemann, s’est doublé d’un travail de mathématicien et d’un travail de philologue. Une large part de leur travail s’est effectué par lettres (publiées dans [Scheel, 2014]). Leurs documents de travail ont été conservés dans les archives de Riemann et Dedekind à la Niedersächsische Staats- und Universitätsbibliothek. Nous avons donc accès à une quantité remarquable d’archives documentant le processus d’édition des textes de manière extrêmement complète.
La correspondance entre Dedekind et Weber montre qu’au cours de leur travail éditorial, ceux-ci ont effectué une relecture détaillée de tous les textes de Riemann, des corrections lorsque cela s’avérait nécessaire, et des recherches mathématiques profondes. De nombreux textes édités portent ainsi la trace du travail éditorial : certains ont été écrits en partie par les éditeurs, d’autres ponctuellement corrigés, par exemple. La somme des travaux de Riemann, telle qu’éditée par Dedekind et Weber, est alors un nouveau texte, dont la fabrication requiert une analyse à part entière. Le travail d’édition prend ici une signification particulière, en ce que les éditeurs sont à la fois ceux qui lisent et fabriquent le texte à publier. L’édition est alors une seconde genèse du texte riemannien. C’est ce processus d’édition que ce projet se propose d’étudier et de déplier à travers une édition génétique critique des originaux de Riemann et, lorsque cela est pertinent, des documents de travail des éditeurs. On peut ainsi lire les textes de Riemann en tenant compte des séries de modifications apportées dans le contexte de l’édition, depuis le texte original jusqu’au texte imprimé, et on peut retracer précisément et rigoureusement le chemin menant des manuscrits originaux de Riemann à leur version publiée.";"XIXe siècle";;"Haffner, Emmylou (ITEM, CNRS/ÉNS)";;"Niedersächsische Staats- und Universitätsbibliothek, Göttingen, Allemagne";"histoire des sciences";"Documents manuscrits";"DWR : Édition des Gesammelte mathematische Werke und wissenschaftlicher Nachlass de Riemann par Dedekind et Weber";;"Transcriptions (critique) des originaux de Riemann, des transcriptions des éditeurs, des versions publiées pour mettre en évidence les modifications apportées lors de l’édition.";;"À préciser lorsque le travail sera terminé, car les dossiers des Nachlässe contiennent beaucoup de documents qui ne sont pas tous pertinents pour l’édition. On prévoit entre 22 et 33 dossiers.";"Niedersächsische Staats- und Universitätsbibliothek in Göttingen, E. Haffner, EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
26;https://eman-archives.org/Malaquais/;"Malaquais, Jean";https://www.malaquais.org;France;2024-03-05;;;"Toutes les archives Malaquais ayant été numérisées, leur archivage numérique permettrait d’offrir un outil de travail de science ouverte pour les chercheurs et chercheuses. De plus, certains manuscrits inédits, particulièrement des journaux, pourraient bénéficier des logiciels de reconnaissance de caractères simplifiant leur déchiffrage et donner lieu, in fine, à des publications, en collaboration avec le Harry Ransom Center d’Austin (Texas, USA) où sont conservées physiquement les archives de l’auteur.
";;Roman;Français;https://eman.hypotheses.org/8402;;;;;"Ses archives sont aussi diverses que le fut sa vie : les chercheurs et chercheuses pourront naviguer entre la prolifique correspondance, courant des années 1930 jusqu’aux années 1990, correspondance témoignant du contexte historique, politique mais aussi des débats littéraires et des réseaux de cet écrivain irrégulier. Les manuscrits de ses grandes œuvres (Planète sans visa, ses journaux de guerre) côtoient des textes moins connus voire inédits. Son intérêt pour des domaines variés des sciences fondamentales et humaine, que nous percevons dans ses carnets inédits, éclaire la thèse qu’il soutint en Sorbonne sur le philosophe Soren Kierkegaard.
";"Le projet des archives numériques de Jean Malaquais met à disposition, dans une démarche de science ouverte, une majeure partie des archives de l’auteur, sous la forme de documents numérisés.
Jean Malaquais (1908-1998) est un auteur francophone d’origine polonaise apatride. Il arrive en France dans les années 1920 et exerce de nombreux métiers. Grâce à sa rencontre avec André Gide en 1935, il peut se consacrer à l’écriture et publie en 1939 Les Javanais qui obtient le prix Renaudot. Fuyant la France pendant la Seconde Guerre Mondiale, il vivra la deuxième moitié du XXe siècle entre les États-Unis, la France et la Suisse, principalement comme conférencier et traducteur.
Les documents numérisés dans les années 2000 puis en 2022 au Harry Ransom Center, ont vocation à être transcrits à la fois par des membres de la Société Jean Malaquais et par des chercheurs et chercheuses associés au projet. De plus, certains manuscrits inédits, particulièrement des journaux, pourraient bénéficier des logiciels de reconnaissance de caractères simplifiant leur déchiffrage et donner lieu, in fine, à des publications en collaboration avec le Harry Ransom Center d’Austin (Texas, USA) où sont conservées physiquement les archives de l’auteur.
La mise à disposition en open data de ces archives, grâce à la Société Jean Malaquais, à Elisabeth Malaquais et au Harry Ransom Center, est une manière de faciliter la recherche sur cet auteur, véritable témoin de l’Histoire et de l’Histoire littéraire du XXe siècle.
";"XXe siècle";;"Pleuchot Victoria (Société Jean Malaquais)";;"Harry Ransom Center : Jean Malaquais: An Inventory of His Papers at the Harry Ransom Center";Littérature;"Documents imprimés";"Archives numériques de Jean Malaquais";;;;"6 271 Fichiers, 1 097 Dossiers.";"Victoria Pleuchot (Société Jean Malaquais) ; EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). ";
27;https://eman-archives.org/Chastenay;"Chastenay, Victorine de";;France;2020-06-02;2022-05-03;;"Ce projet vise à établir l’édition critique et à assurer l’exploration des manuscrits de Victorine de Chastenay de Lenty (1771-1855) au sein de la plateforme EMAN. Cette autrice a été reconnue dès le XIXe siècle pour ses traductions et ouvrages principalement littéraires, mais ses autres productions savantes couvrant un bien plus large éventail de savoirs et de pratiques sont restées à l’état de manuscrits et n’ont jamais été étudiées. Si ses Mémoires ont été publiés et réédités, les historien.ne.s n’ont par ce biais cependant pas accès à l’ensemble du travail savant réalisé par cette femme dont les écrits qui nous restent s’étendent de 1788 à 1855. L’objectif de cette édition numérique est de rendre accessibles et exploitables les écrits de cette savante aux historien.ne.s de manière à offrir une meilleure compréhension des pratiques savantes mises en oeuvre par les femmes sur cette période. Elle assure également la conservation et la circulation de ces traces fragiles laissées par une femme dans le domaine des savoirs de tout type (botanique, poésie, mathématiques, histoire…). Le corpus d’étude est constitué des archives de Victorine de Chastenay de Lenty formant la plus grande partie du fonds Chastenay de Lenty, localisé aux archives départementales de la Côte d’or à Dijon (E378 (a-h) et E378 (1-30)).";;Correspondance;Français;https://eman.hypotheses.org/3059;;;"André, Gilles";"La mise en ligne des images des manuscrits ainsi que des transcriptions correspondantes sera accompagnée d’un appareil critique des textes réalisé par un travail collaboratif des chercheur·es investi·es dans ce projet. Ces textes devront pouvoir être :
- mis en relation les uns avec les autres,
- annotés,
- interrogés (par mots clés).
L’ensemble sera accompagné d’index (lieux, personnes…), d’un glossaire, d’une liste de mots clés, de frises chronologiques, de cartes, d’une bibliographie de référence de manière à contextualiser chaque écrit dans un ensemble historique, biographique et historiographique plus large.
Le corpus est organisé en collections et sous-collections :
- Correspondances
- Notes de cours
- Fiches de lecture
- Journaux
- Livres
- Manuscrits
- Mémoires
- « mémoires scientifiques », dissertations
- manuscrits supports des Mémoires publiés
- notes pour les Mémoires publiés
- Journal
- journal personnel
- journal de germination
- journal support du Calendrier de Flore?
- Listes
- liste de livres/journaux
- liste de plantes (commandes, projets…)
- liste de directives
- Traductions
";"Le corpus est constitué des archives de Victorine de Chastenay de Lenty (1771-1855) constituant la plus grande partie du fonds Chastenay de Lenty, localisé aux archives départementales de la Côte d’or à Dijon (E378/a-h et E378/1-30). Lui seront ajoutés ultérieurement les manuscrits suivants :
- Souvenirs, BNF NAF 22. 992,
- Souvenirs, BNF NAF 11. 771,
- Souvenirs, BNF NAF 11. 772,
- Mémoires historiques, BNF NAF 22891,
- Mémoires particuliers, BNF NAF 22892,
- Bibliothèque municipal de Dijon, Recueil de lettres, mns 1662,
- Correspondances isolées (MNHN, Archives privées…).
L’ensemble du fonds Chastenay à Dijon en relation directe avec Victorine de Chastenay représente environ 4520 pièces (papier majoritairement et parchemin). Ces pièces sont constituées de folios, de double pages et de cahiers. Un inventaire et une cotation complète sont nécessaires (une grande partie de cet ensemble n’est pas foliotée).
";"L’objectif de cette édition numérique est de rendre accessibles et exploitables les écrits de Victorine de Chastenay de Lenty aux historien·nes de manière à offrir une meilleure compréhension des pratiques savantes accessibles et mises en œuvre par des femmes au début du XIXe siècle. Elle assure également la conservation et la circulation de ces traces fragiles laissées par une femme dans le domaine des savoirs de tout type (botanique, poésie, mathématiques, histoire…). La richesse de ces archives offre de nombreux axes de recherche potentiels :
• Écrits du for intérieur / ego-documents de femme de la Révolution au début du second Empire
• Encyclopédisme au temps de la spécialisation
• Cours publics et science populaire
• Travail d’écriture (pour publication d’ouvrages), culture savante (fiches de lecture)
• Constitution d’un jardin botanique (échanges/achats…)
• Journaux savants
• Réseaux savants/politiques
• Représentation des femmes";"XVIIIe siècle";;"Lémonon-Waxin Isabelle (Cermes3, CAK)";;"Catalogue des archives de la Côte d’or, Série E, Dijon";Femmes;"Documents manuscrits";"Les manuscrits de Victorine de Chastenay";;oui;;"4520 pièces (folio, double pages, cahiers), 30 000 images environ";"Isabelle Lémonon-Waxin, Cermes3, CAK, et Valérie Burgos-Blondelle, CNRS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
28;;"Boileau, Nicolas";;France;;;;"L’Académie des Jeux floraux, dont le siège se situe aujourd’hui à l’Hôtel d'Assézat à Toulouse, est l’une des plus anciennes institutions littéraires de France. Sa légende remonte jusqu’au Moyen-Âge, et se perpétue à la Renaissance sous l’égide de Clémence Isaure. L’Académie organise chaque année, depuis le XIVe siècle, des joutes poétiques qui contribuent à la reconnaissance des auteurs. Au XIXe siècle en particulier, l’Académie reçut notamment les poèmes de Chênedollé, Lamartine, Victor Hugo, ou encore Laurent Tailhade. Les archives relatives aux concours des XIXe et XXe siècles sont les seules encore préservées au sein de l’Académie. Ce sont les manuscrits relatifs à la vie de ses concours littéraires que ce projet entend mettre à disposition des chercheurs. ";;"Documents juridiques et administratifs";Français;;;;"Jean de Laportalière (transcription et rédaction de métadonnées, registres 9 à 11)";"Le projet débute par l’édition numérique des registres contenant les Procès-verbaux de séances dans lesquelles les Mainteneurs de l’Académie se prononçaient, entre autres sujets, sur les poèmes à récompenser ou sur la direction à encourager dans la vie littéraire de la nation, dont ils se voulaient les représentants et les observateurs. Il se concentre en premier lieu sur les registres 9 à 13, couvrant le tournant des Lumières au Romantisme, entre les années 1785 à 1836.";"L’Académie des Jeux floraux de Toulouse conserve, à l’Hôtel d’Assézat, trois ensembles textuels inédits :
1/ les manuscrits liés à l’activité littéraire de l’Académie, incluant les ballots de poèmes anonymes issus des concours de l’Académie (XIXe-XXe siècle) et la correspondance ;
2/ les registres de participation au concours, sur lesquels étaient consignés les titres des poèmes, la catégorie générique dans laquelle ils s’inscrivaient, et les noms des intermédiaires chargés de déposer les poèmes au bureau de l’Académie ;
3/ les procès-verbaux de séances des Mainteneurs, qui ouvrent une fenêtre passionnante sur la vie de l’Académie à travers les siècles, et traduisent son point de vue sur l’évolution politique, religieuse et littéraire de la France.";;"XIXe siècle";;"Courant, Elsa (CNRS / CELLF)";;;Poésie;"Documents manuscrits";"Archives de l’Académie des Jeux floraux de Toulouse (XIXe siècle)";;"Transcription textuelle et intégration de métadonnées.";;"Les registres de procès-verbaux représentent 21 volumes manuscrits, dont 13 pour la période concernée par le projet. ";"Elsa Courant, responsable projet, (CNRS-CELLF) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
28;;"Boileau, Nicolas";;France;;;;"L’Académie des Jeux floraux, dont le siège se situe aujourd’hui à l’Hôtel d'Assézat à Toulouse, est l’une des plus anciennes institutions littéraires de France. Sa légende remonte jusqu’au Moyen-Âge, et se perpétue à la Renaissance sous l’égide de Clémence Isaure. L’Académie organise chaque année, depuis le XIVe siècle, des joutes poétiques qui contribuent à la reconnaissance des auteurs. Au XIXe siècle en particulier, l’Académie reçut notamment les poèmes de Chênedollé, Lamartine, Victor Hugo, ou encore Laurent Tailhade. Les archives relatives aux concours des XIXe et XXe siècles sont les seules encore préservées au sein de l’Académie. Ce sont les manuscrits relatifs à la vie de ses concours littéraires que ce projet entend mettre à disposition des chercheurs. ";;"Documents juridiques et administratifs";Français;;;;"Jean de Laportalière (transcription et rédaction de métadonnées, registres 9 à 11)";"Le projet débute par l’édition numérique des registres contenant les Procès-verbaux de séances dans lesquelles les Mainteneurs de l’Académie se prononçaient, entre autres sujets, sur les poèmes à récompenser ou sur la direction à encourager dans la vie littéraire de la nation, dont ils se voulaient les représentants et les observateurs. Il se concentre en premier lieu sur les registres 9 à 13, couvrant le tournant des Lumières au Romantisme, entre les années 1785 à 1836.";"L’Académie des Jeux floraux de Toulouse conserve, à l’Hôtel d’Assézat, trois ensembles textuels inédits :
1/ les manuscrits liés à l’activité littéraire de l’Académie, incluant les ballots de poèmes anonymes issus des concours de l’Académie (XIXe-XXe siècle) et la correspondance ;
2/ les registres de participation au concours, sur lesquels étaient consignés les titres des poèmes, la catégorie générique dans laquelle ils s’inscrivaient, et les noms des intermédiaires chargés de déposer les poèmes au bureau de l’Académie ;
3/ les procès-verbaux de séances des Mainteneurs, qui ouvrent une fenêtre passionnante sur la vie de l’Académie à travers les siècles, et traduisent son point de vue sur l’évolution politique, religieuse et littéraire de la France.";;"XIXe siècle";;"Courant, Elsa (CNRS / CELLF)";;;Poésie;"Documents manuscrits";"Archives de l’Académie des Jeux floraux de Toulouse (XIXe siècle)";;"Transcription textuelle et intégration de métadonnées.";;"Les registres de procès-verbaux représentent 21 volumes manuscrits, dont 13 pour la période concernée par le projet. ";"Elsa Courant, responsable projet, (CNRS-CELLF) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
28;;"Boileau, Nicolas";;France;;;;"L’Académie des Jeux floraux, dont le siège se situe aujourd’hui à l’Hôtel d'Assézat à Toulouse, est l’une des plus anciennes institutions littéraires de France. Sa légende remonte jusqu’au Moyen-Âge, et se perpétue à la Renaissance sous l’égide de Clémence Isaure. L’Académie organise chaque année, depuis le XIVe siècle, des joutes poétiques qui contribuent à la reconnaissance des auteurs. Au XIXe siècle en particulier, l’Académie reçut notamment les poèmes de Chênedollé, Lamartine, Victor Hugo, ou encore Laurent Tailhade. Les archives relatives aux concours des XIXe et XXe siècles sont les seules encore préservées au sein de l’Académie. Ce sont les manuscrits relatifs à la vie de ses concours littéraires que ce projet entend mettre à disposition des chercheurs. ";;"Documents juridiques et administratifs";Français;;;;"Jean de Laportalière (transcription et rédaction de métadonnées, registres 9 à 11)";"Le projet débute par l’édition numérique des registres contenant les Procès-verbaux de séances dans lesquelles les Mainteneurs de l’Académie se prononçaient, entre autres sujets, sur les poèmes à récompenser ou sur la direction à encourager dans la vie littéraire de la nation, dont ils se voulaient les représentants et les observateurs. Il se concentre en premier lieu sur les registres 9 à 13, couvrant le tournant des Lumières au Romantisme, entre les années 1785 à 1836.";"L’Académie des Jeux floraux de Toulouse conserve, à l’Hôtel d’Assézat, trois ensembles textuels inédits :
1/ les manuscrits liés à l’activité littéraire de l’Académie, incluant les ballots de poèmes anonymes issus des concours de l’Académie (XIXe-XXe siècle) et la correspondance ;
2/ les registres de participation au concours, sur lesquels étaient consignés les titres des poèmes, la catégorie générique dans laquelle ils s’inscrivaient, et les noms des intermédiaires chargés de déposer les poèmes au bureau de l’Académie ;
3/ les procès-verbaux de séances des Mainteneurs, qui ouvrent une fenêtre passionnante sur la vie de l’Académie à travers les siècles, et traduisent son point de vue sur l’évolution politique, religieuse et littéraire de la France.";;"XIXe siècle";;"Courant, Elsa (CNRS / CELLF)";;;Poésie;"Documents manuscrits";"Archives de l’Académie des Jeux floraux de Toulouse (XIXe siècle)";;"Transcription textuelle et intégration de métadonnées.";;"Les registres de procès-verbaux représentent 21 volumes manuscrits, dont 13 pour la période concernée par le projet. ";"Elsa Courant, responsable projet, (CNRS-CELLF) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
28;;"Boileau, Nicolas";;France;;;;"L’Académie des Jeux floraux, dont le siège se situe aujourd’hui à l’Hôtel d'Assézat à Toulouse, est l’une des plus anciennes institutions littéraires de France. Sa légende remonte jusqu’au Moyen-Âge, et se perpétue à la Renaissance sous l’égide de Clémence Isaure. L’Académie organise chaque année, depuis le XIVe siècle, des joutes poétiques qui contribuent à la reconnaissance des auteurs. Au XIXe siècle en particulier, l’Académie reçut notamment les poèmes de Chênedollé, Lamartine, Victor Hugo, ou encore Laurent Tailhade. Les archives relatives aux concours des XIXe et XXe siècles sont les seules encore préservées au sein de l’Académie. Ce sont les manuscrits relatifs à la vie de ses concours littéraires que ce projet entend mettre à disposition des chercheurs. ";;"Documents juridiques et administratifs";Français;;;;"Jean de Laportalière (transcription et rédaction de métadonnées, registres 9 à 11)";"Le projet débute par l’édition numérique des registres contenant les Procès-verbaux de séances dans lesquelles les Mainteneurs de l’Académie se prononçaient, entre autres sujets, sur les poèmes à récompenser ou sur la direction à encourager dans la vie littéraire de la nation, dont ils se voulaient les représentants et les observateurs. Il se concentre en premier lieu sur les registres 9 à 13, couvrant le tournant des Lumières au Romantisme, entre les années 1785 à 1836.";"L’Académie des Jeux floraux de Toulouse conserve, à l’Hôtel d’Assézat, trois ensembles textuels inédits :
1/ les manuscrits liés à l’activité littéraire de l’Académie, incluant les ballots de poèmes anonymes issus des concours de l’Académie (XIXe-XXe siècle) et la correspondance ;
2/ les registres de participation au concours, sur lesquels étaient consignés les titres des poèmes, la catégorie générique dans laquelle ils s’inscrivaient, et les noms des intermédiaires chargés de déposer les poèmes au bureau de l’Académie ;
3/ les procès-verbaux de séances des Mainteneurs, qui ouvrent une fenêtre passionnante sur la vie de l’Académie à travers les siècles, et traduisent son point de vue sur l’évolution politique, religieuse et littéraire de la France.";;"XIXe siècle";;"Courant, Elsa (CNRS / CELLF)";;;Poésie;"Documents manuscrits";"Archives de l’Académie des Jeux floraux de Toulouse (XIXe siècle)";;"Transcription textuelle et intégration de métadonnées.";;"Les registres de procès-verbaux représentent 21 volumes manuscrits, dont 13 pour la période concernée par le projet. ";"Elsa Courant, responsable projet, (CNRS-CELLF) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
28;;"Boileau, Nicolas";;France;;;;"L’Académie des Jeux floraux, dont le siège se situe aujourd’hui à l’Hôtel d'Assézat à Toulouse, est l’une des plus anciennes institutions littéraires de France. Sa légende remonte jusqu’au Moyen-Âge, et se perpétue à la Renaissance sous l’égide de Clémence Isaure. L’Académie organise chaque année, depuis le XIVe siècle, des joutes poétiques qui contribuent à la reconnaissance des auteurs. Au XIXe siècle en particulier, l’Académie reçut notamment les poèmes de Chênedollé, Lamartine, Victor Hugo, ou encore Laurent Tailhade. Les archives relatives aux concours des XIXe et XXe siècles sont les seules encore préservées au sein de l’Académie. Ce sont les manuscrits relatifs à la vie de ses concours littéraires que ce projet entend mettre à disposition des chercheurs. ";;"Documents juridiques et administratifs";Français;;;;"Jean de Laportalière (transcription et rédaction de métadonnées, registres 9 à 11)";"Le projet débute par l’édition numérique des registres contenant les Procès-verbaux de séances dans lesquelles les Mainteneurs de l’Académie se prononçaient, entre autres sujets, sur les poèmes à récompenser ou sur la direction à encourager dans la vie littéraire de la nation, dont ils se voulaient les représentants et les observateurs. Il se concentre en premier lieu sur les registres 9 à 13, couvrant le tournant des Lumières au Romantisme, entre les années 1785 à 1836.";"L’Académie des Jeux floraux de Toulouse conserve, à l’Hôtel d’Assézat, trois ensembles textuels inédits :
1/ les manuscrits liés à l’activité littéraire de l’Académie, incluant les ballots de poèmes anonymes issus des concours de l’Académie (XIXe-XXe siècle) et la correspondance ;
2/ les registres de participation au concours, sur lesquels étaient consignés les titres des poèmes, la catégorie générique dans laquelle ils s’inscrivaient, et les noms des intermédiaires chargés de déposer les poèmes au bureau de l’Académie ;
3/ les procès-verbaux de séances des Mainteneurs, qui ouvrent une fenêtre passionnante sur la vie de l’Académie à travers les siècles, et traduisent son point de vue sur l’évolution politique, religieuse et littéraire de la France.";;"XIXe siècle";;"Courant, Elsa (CNRS / CELLF)";;;Poésie;"Documents manuscrits";"Archives de l’Académie des Jeux floraux de Toulouse (XIXe siècle)";;"Transcription textuelle et intégration de métadonnées.";;"Les registres de procès-verbaux représentent 21 volumes manuscrits, dont 13 pour la période concernée par le projet. ";"Elsa Courant, responsable projet, (CNRS-CELLF) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
33;;"Alfieri, Vittorio";;Italie;"2017-03-24 ";;;"Le projet Digital Alfieri, basé à l’ITEM (Institut des Textes et Manuscrits Modernes), a pour objectif l'édition, la valorisation et l’exploitation scientifique des archives littéraires de l’écrivain du XVIIIe siècle Vittorio Alfieri (1749-1803).
L’enjeu du projet est de réaliser une édition génétique numérique des manuscrits et des livres annotés ayant appartenu à l’écrivain, afin d’en étudier les relations génétiques.
Conservés dans plusieurs institutions entre France et Italie, les papiers d’Alfieri témoignent des multiples phases rédactionnelles de ses écrits (des carnets aux jeux d’épreuve) : ainsi, ils offrent l’opportunité d’explorer la genèse de ses œuvres. Aussi, les annotations et les traces de lecture qui figurent dans les livres d’Alfieri entretiennent souvent un lien direct avec les textes en cours de préparation : elles permettent ainsi d’étudier le rôle joué par sa bibliothèque personnelle dans la création littéraire.
Digital Alfieri a pour but la publication de l’édition en fac-similé des archives d’Alfieri (manuscrits et bibliothèque personnelle), accompagnée des chemins génétiques et d’une indexation des contenus.
";;"Théâtre (Pièce)";Italien;https://eman.hypotheses.org/129;;"Le projet a été lancé grâce à deux bourses de mobilité européenne :
- Bourse de mobilité « Fernand Braudel IFER – Incoming », Fondation « Maison des Sciénces de l’Homme » (2015-2016) ; titre du projet : Towards the digital edition of the manuscript « Alfieri 13 ». Laboratoire d’affectation : ITEM.
- Bourse européenne MSCA (Marie Sklodowska-Curie Actions), IF-Standard EF (Individual Fellowship – Standard European Fellowship), « Horizon 2020 » (2016-2018) ; titre du projet : Dynamic Digital Editions : case study « Alfieri 13 ». Laboratoire d’affectation : ITEM.
Financements :
La numérisation des livres annotés ayant appartenu à Alfieri s’est faite grâce au soutien de PSL Explore 2016 (40k euros) et du CollEx-Persée 2018 (70k euros).
Partenaires :
Une convention de collaboration a été signée entre l’ITEM, l’université Sorbonne Nouvelle Paris 3 et la Fondazione « Centro di Studi Alfieriani ».
Labellisations :
- Projet membre du Consortium CAHIER (Corpus d’Auteurs pour les Humanités Numériques : Informatisation, Édition, Recherche) ;
- Projet labellisé « Année européenne du Patrimoine Culturel » 2018.
Le site Digital Alfieri est en accès réservé et sera ouvert au public une fois l’édition des textes réalisée.
";"Zanardo, Monica (édition scientifique)";"Le site Digital Alfieri publie en ligne l’édition en fac-similé des fonds principaux des archives d’Alfieri en reconstruisant virtuellement des archives éclatées. La plateforme permet aussi de retracer le dossier de genèse des œuvres d’Alfieri : chaque document présente un ou plusieurs liens de et vers d’autres documents ; la nature de la relation génétique est également précisée. Outre les relations génétiques, EMAN permet d’établir des relations d’autre nature entre les documents : il est par exemple possible de mettre en relation un passage de l’autobiographie avec un ouvrage cité qui fait partie de la bibliothèque d’Alfieri, ou avec un manuscrit que l’auteur mentionne, et ainsi de suite.
Digital Alfieri met à la disposition des visiteurs des informations sur les supports (localisation, cote, dimensions, état de conservation, scripteur...) et sur les documents (auteur, date d’écriture, lieu d’écriture, état génétique...) ; ainsi que des détails sur les contenus (sujet, personnes citées, lieux cités, ouvrages cités...). Le balisage et l’annotation des contenus représentent un puissant instrument de recherche pour interroger l’œuvre d’Alfieri à partir de l’étude de ses archives.
";"Alfieri eut une « conscience d’archive » précoce et prit le soin de conserver et d’organiser ses papiers. Ses archives sont étonnamment exhaustives pour son époque : elles comprennent, entre autres, l’intégralité des dossiers génétiques de la plupart de ses ouvrages, ainsi que deux bibliothèques personnelles.
Eu égard à leur exhaustivité, les archives d’Alfieri permettent d’écriture, et d’esquisser un portrait de l’auteur à sa table de travail ; elles sont aussi un observatoire de choix pour explorer les pratiques d’écriture, de lecture et d’annotation au XVIIIe siècle.
";"Nous disposons de plus de 50 manuscrits d’Alfieri, dont la plupart autographes. Les archives d’Alfieri nous ainsi l’opportunité d’étudier, dans son intégralité, le dossier de genèse de ses ouvrages : canevas, ébauches, réécritures, remaniements, ainsi que jeux d’épreuve et réimpressions avec modifications.
Pour l’exploitation scientifique de ces archives, l’étude des livres ayant appartenu à l’auteur revêt une importance majeure : ces volumes, parsemés de traces de lecture et d’annotations, dévoilent les interlocuteurs implicites, les enjeux intellectuels et les sources littéraires et philosophiques des œuvres d’Alfieri. Au cours de plus de vingt-cinq années, il rassembla une des plus riches collections privées du Paris prérévolutionnaire, comprenant environ 3850 volumes. Ces livres, qu’il laissa dans la capitale française en quittant la ville, en août 1792, furent saisis, entreposés dans les Dépôts Littéraires et, ensuite, dispersés parmi plusieurs établissements de la capitale et de la province. En 2000, Christian Del Vento a découvert l’inventaire de saisie de cette collection : environ 46% des livres a pu être identifié, à ce jour, dans différents établissements en France et à l’étranger. Après la perte de sa première bibliothèque, Alfieri rassembla, à Florence, une deuxième collection, dont le premier noyau est constitué par un choix de livres qu’il emporta avec lui en quittant Paris.
Les livres ayant appartenu à Alfieri sont parsemés d’annotations et de traces de lecture qui, souvent, ont un rapport génétique direct avec les ouvrages en cours de rédaction : l’enjeu de Digital Alfieri est précisément d’étudier les parcours génétiques par la mise en relation des livres et des manuscrits de l’auteur.
";"XVIIIe siècle";;"Zanardo, Monica (Université de Padoue)";;"Les archives d’Alfieri sont dispersées dans plusieurs établissements. Les fonds principaux se trouvent en France et en Italie : à Montpellier (Médiathèque Centrale d’Agglomération « Émile Zola »), à Florence (Biblioteca Medicea Laurenziana) et Asti (Fondazione « Centro di Studi Alfieriani »). Une partie importante de sa première bibliothèque est conservée à Paris, essentiellement à la Bibliothèque de l’Institut de France et à la Bibliothèque Mazarine.";"archives littéraires";"Documents imprimés";"Digital Alfieri";"Édition génétique numérique des archives de Vittorio Alfieri (1749-1803)";"Transcription d'un choix des manuscrits: transcription diplomatique des notes de lecture (livres annotés)";;"40 manuscrits, plus de 10000 fichiers images, correspondant à 10000 notices";"Monica Zanardo, ITEM (Institut des Textes et Manuscrits Modernes), CNRS/ENS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Reproductions en fac-similé (image jpg) de manuscrits et de livres imprimés."
34;;"Potentiellement très vaste, le corpus du projet Spectatrix est constitué de textes composés par une très grande variété d’auteurs et d’autrices, qui sont aussi bien des hommes et des femmes de lettres que des théoriciens, des moralistes, des chroniqueurs ou de simples amateurs de théâtre, racontant leurs voyages, écrivant des lettres ou des journaux intimes.
";;Europe;;;;"Le projet Spectatrix souhaite contribuer à l’étude du public féminin des théâtres européens du XVIe au XVIIIe siècle en rassemblant et en rendant disponible la documentation qui le concerne. Il met en valeur la diversité des textes susceptibles d’éclairer les pratiques spectatoriales féminines : œuvres dramatiques, paratextes, traités théoriques, textes polémiques, textes médicaux, fiction narrative, mémoires et correspondances, récits de voyage, périodiques ou encore traités d’éducation et manuels de civilité. Il s’agit d’ouvrir de nouvelles pistes pour étudier la participation des femmes à la culture en faisant apparaître la variété des matériaux et des angles d’approche, en comparant plusieurs pays européens sur une période de trois siècles et en soulignant le rôle joué par certaines personnalités féminines (mécènes et dédicataires, mais aussi actrices, autrices, éditrices) dans la création et dans la réception du théâtre.
";;Roman;Français;;;;"Saignol, Côme (chargé d’édition de corpus numériques)";"Le protocole éditorial varie en fonction des corpus considérés. La plupart des paratextes font l’objet d’une transcription intégrale en version modernisée. Pour d’autres textes, il s’agira de sélectionner les passages pertinents avant de les éditer sous forme d’extrait.
";"À une époque où les spectateurs et surtout les spectatrices laissent peu de traces écrites de leurs expériences, les informations concernant la fréquentation des théâtres par le public féminin sont à chercher dans une grande variété de textes, où elles se trouvent dispersées.
Le site entreprend de rassembler une partie de ces textes en procédant à l’exploration successive de différents types de corpus.
La première phase du projet est consacrée à l’édition de toutes les épîtres dédicatoires de pièces de théâtre adressées à des femmes aux XVIe et XVIIe siècles.
";"Le terme latin « spectatrix » est employé par Richard Baker à propos de la reine Élisabeth Ière dont il souligne la fréquente assistance à des spectacles pour défendre le théâtre contre les attaques des puritains (Theatrum redivivum, or The theatre vindicated, 1662).
Le choix de ce terme pour nommer le projet met en valeur ses principaux enjeux :
- étudier l’émergence de la catégorie du public féminin et de la notion de spectatrice,
- documenter les pratiques des spectatrices afin d’en reconstituer la nature et les enjeux,
- permettre l’analyse des représentations des spectatrices dans les textes et des usages de leur mention,
- comparer les pratiques spectatoriales féminines dans plusieurs pays européens, à travers un vaste éventail de textes produits dans différentes langues,
- mesurer les évolutions de ces pratiques de la Renaissance aux Lumières.
Les objectifs du projet Spectatrix sont donc de :
- centraliser et rendre disponible la documentation concernant les spectatrices de théâtre en Europe du XVIe au XVIIIe siècle,
- mettre en relation les textes afin d’inviter à la comparaison et de faire apparaître les liens unissant auteurs, acteurs, éditeurs et spectateurs,
- faciliter l’analyse des textes grâce à la sélection d’extraits pertinents et à l’élaboration d’un système de mots clés,
- mettre en valeur les personnalités féminines impliquées dans la vie théâtrale et les réseaux auxquels elles appartiennent.
Le site Spectatrix s’inscrit dans le cadre d’un projet consacré au public féminin des théâtres européens de la première modernité, qui a donné lieu depuis 2017 à l’organisation de plusieurs colloques (Spectatrices ! Les femmes au spectacle de l’Antiquité à nos jours, 2019 ; Écrire pour elles. Dramaturges et spectatrices aux XVIe et XVIIe siècles, 2019-2021) et à la publication de plusieurs études (voir Bibliographie). Il donne accès aux sources sur lesquelles s’appuient ces réflexions et vise à ouvrir de nouvelles perspectives pour l’analyse des pratiques théâtrales féminines, mais aussi plus largement de la production et de la réception du théâtre.
";"XVIe siècle";;"Lochert, Véronique (université de Haute-Alsace & IUF)";;"Tout type de document donnant des informations sur la réception des œuvres dramatiques par le public féminin.";sources;"Documents imprimés";Spectatrix;"Le regard des spectatrices sur le théâtre européen de la première modernité";"Transcription de l’ensemble du corpus avec modernisation de l’orthographe afin de permettre la recherche plein-texte.";;"Premier corpus traité d’environ 350 épîtres dédicatoires. Corpus ouvert, avec enrichissement progressif.";"Véronique Lochert, université de Haute-Alsace & IUF ; Projet Spectatrix (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
34;;"Potentiellement très vaste, le corpus du projet Spectatrix est constitué de textes composés par une très grande variété d’auteurs et d’autrices, qui sont aussi bien des hommes et des femmes de lettres que des théoriciens, des moralistes, des chroniqueurs ou de simples amateurs de théâtre, racontant leurs voyages, écrivant des lettres ou des journaux intimes.
";;Europe;;;;"Le projet Spectatrix souhaite contribuer à l’étude du public féminin des théâtres européens du XVIe au XVIIIe siècle en rassemblant et en rendant disponible la documentation qui le concerne. Il met en valeur la diversité des textes susceptibles d’éclairer les pratiques spectatoriales féminines : œuvres dramatiques, paratextes, traités théoriques, textes polémiques, textes médicaux, fiction narrative, mémoires et correspondances, récits de voyage, périodiques ou encore traités d’éducation et manuels de civilité. Il s’agit d’ouvrir de nouvelles pistes pour étudier la participation des femmes à la culture en faisant apparaître la variété des matériaux et des angles d’approche, en comparant plusieurs pays européens sur une période de trois siècles et en soulignant le rôle joué par certaines personnalités féminines (mécènes et dédicataires, mais aussi actrices, autrices, éditrices) dans la création et dans la réception du théâtre.
";;Roman;Français;;;;"Saignol, Côme (chargé d’édition de corpus numériques)";"Le protocole éditorial varie en fonction des corpus considérés. La plupart des paratextes font l’objet d’une transcription intégrale en version modernisée. Pour d’autres textes, il s’agira de sélectionner les passages pertinents avant de les éditer sous forme d’extrait.
";"À une époque où les spectateurs et surtout les spectatrices laissent peu de traces écrites de leurs expériences, les informations concernant la fréquentation des théâtres par le public féminin sont à chercher dans une grande variété de textes, où elles se trouvent dispersées.
Le site entreprend de rassembler une partie de ces textes en procédant à l’exploration successive de différents types de corpus.
La première phase du projet est consacrée à l’édition de toutes les épîtres dédicatoires de pièces de théâtre adressées à des femmes aux XVIe et XVIIe siècles.
";"Le terme latin « spectatrix » est employé par Richard Baker à propos de la reine Élisabeth Ière dont il souligne la fréquente assistance à des spectacles pour défendre le théâtre contre les attaques des puritains (Theatrum redivivum, or The theatre vindicated, 1662).
Le choix de ce terme pour nommer le projet met en valeur ses principaux enjeux :
- étudier l’émergence de la catégorie du public féminin et de la notion de spectatrice,
- documenter les pratiques des spectatrices afin d’en reconstituer la nature et les enjeux,
- permettre l’analyse des représentations des spectatrices dans les textes et des usages de leur mention,
- comparer les pratiques spectatoriales féminines dans plusieurs pays européens, à travers un vaste éventail de textes produits dans différentes langues,
- mesurer les évolutions de ces pratiques de la Renaissance aux Lumières.
Les objectifs du projet Spectatrix sont donc de :
- centraliser et rendre disponible la documentation concernant les spectatrices de théâtre en Europe du XVIe au XVIIIe siècle,
- mettre en relation les textes afin d’inviter à la comparaison et de faire apparaître les liens unissant auteurs, acteurs, éditeurs et spectateurs,
- faciliter l’analyse des textes grâce à la sélection d’extraits pertinents et à l’élaboration d’un système de mots clés,
- mettre en valeur les personnalités féminines impliquées dans la vie théâtrale et les réseaux auxquels elles appartiennent.
Le site Spectatrix s’inscrit dans le cadre d’un projet consacré au public féminin des théâtres européens de la première modernité, qui a donné lieu depuis 2017 à l’organisation de plusieurs colloques (Spectatrices ! Les femmes au spectacle de l’Antiquité à nos jours, 2019 ; Écrire pour elles. Dramaturges et spectatrices aux XVIe et XVIIe siècles, 2019-2021) et à la publication de plusieurs études (voir Bibliographie). Il donne accès aux sources sur lesquelles s’appuient ces réflexions et vise à ouvrir de nouvelles perspectives pour l’analyse des pratiques théâtrales féminines, mais aussi plus largement de la production et de la réception du théâtre.
";"XVIe siècle";;"Lochert, Véronique (université de Haute-Alsace & IUF)";;"Tout type de document donnant des informations sur la réception des œuvres dramatiques par le public féminin.";sources;"Documents imprimés";Spectatrix;"Le regard des spectatrices sur le théâtre européen de la première modernité";"Transcription de l’ensemble du corpus avec modernisation de l’orthographe afin de permettre la recherche plein-texte.";;"Premier corpus traité d’environ 350 épîtres dédicatoires. Corpus ouvert, avec enrichissement progressif.";"Véronique Lochert, université de Haute-Alsace & IUF ; Projet Spectatrix (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
34;;"Potentiellement très vaste, le corpus du projet Spectatrix est constitué de textes composés par une très grande variété d’auteurs et d’autrices, qui sont aussi bien des hommes et des femmes de lettres que des théoriciens, des moralistes, des chroniqueurs ou de simples amateurs de théâtre, racontant leurs voyages, écrivant des lettres ou des journaux intimes.
";;Europe;;;;"Le projet Spectatrix souhaite contribuer à l’étude du public féminin des théâtres européens du XVIe au XVIIIe siècle en rassemblant et en rendant disponible la documentation qui le concerne. Il met en valeur la diversité des textes susceptibles d’éclairer les pratiques spectatoriales féminines : œuvres dramatiques, paratextes, traités théoriques, textes polémiques, textes médicaux, fiction narrative, mémoires et correspondances, récits de voyage, périodiques ou encore traités d’éducation et manuels de civilité. Il s’agit d’ouvrir de nouvelles pistes pour étudier la participation des femmes à la culture en faisant apparaître la variété des matériaux et des angles d’approche, en comparant plusieurs pays européens sur une période de trois siècles et en soulignant le rôle joué par certaines personnalités féminines (mécènes et dédicataires, mais aussi actrices, autrices, éditrices) dans la création et dans la réception du théâtre.
";;Roman;Français;;;;"Saignol, Côme (chargé d’édition de corpus numériques)";"Le protocole éditorial varie en fonction des corpus considérés. La plupart des paratextes font l’objet d’une transcription intégrale en version modernisée. Pour d’autres textes, il s’agira de sélectionner les passages pertinents avant de les éditer sous forme d’extrait.
";"À une époque où les spectateurs et surtout les spectatrices laissent peu de traces écrites de leurs expériences, les informations concernant la fréquentation des théâtres par le public féminin sont à chercher dans une grande variété de textes, où elles se trouvent dispersées.
Le site entreprend de rassembler une partie de ces textes en procédant à l’exploration successive de différents types de corpus.
La première phase du projet est consacrée à l’édition de toutes les épîtres dédicatoires de pièces de théâtre adressées à des femmes aux XVIe et XVIIe siècles.
";"Le terme latin « spectatrix » est employé par Richard Baker à propos de la reine Élisabeth Ière dont il souligne la fréquente assistance à des spectacles pour défendre le théâtre contre les attaques des puritains (Theatrum redivivum, or The theatre vindicated, 1662).
Le choix de ce terme pour nommer le projet met en valeur ses principaux enjeux :
- étudier l’émergence de la catégorie du public féminin et de la notion de spectatrice,
- documenter les pratiques des spectatrices afin d’en reconstituer la nature et les enjeux,
- permettre l’analyse des représentations des spectatrices dans les textes et des usages de leur mention,
- comparer les pratiques spectatoriales féminines dans plusieurs pays européens, à travers un vaste éventail de textes produits dans différentes langues,
- mesurer les évolutions de ces pratiques de la Renaissance aux Lumières.
Les objectifs du projet Spectatrix sont donc de :
- centraliser et rendre disponible la documentation concernant les spectatrices de théâtre en Europe du XVIe au XVIIIe siècle,
- mettre en relation les textes afin d’inviter à la comparaison et de faire apparaître les liens unissant auteurs, acteurs, éditeurs et spectateurs,
- faciliter l’analyse des textes grâce à la sélection d’extraits pertinents et à l’élaboration d’un système de mots clés,
- mettre en valeur les personnalités féminines impliquées dans la vie théâtrale et les réseaux auxquels elles appartiennent.
Le site Spectatrix s’inscrit dans le cadre d’un projet consacré au public féminin des théâtres européens de la première modernité, qui a donné lieu depuis 2017 à l’organisation de plusieurs colloques (Spectatrices ! Les femmes au spectacle de l’Antiquité à nos jours, 2019 ; Écrire pour elles. Dramaturges et spectatrices aux XVIe et XVIIe siècles, 2019-2021) et à la publication de plusieurs études (voir Bibliographie). Il donne accès aux sources sur lesquelles s’appuient ces réflexions et vise à ouvrir de nouvelles perspectives pour l’analyse des pratiques théâtrales féminines, mais aussi plus largement de la production et de la réception du théâtre.
";"XVIe siècle";;"Lochert, Véronique (université de Haute-Alsace & IUF)";;"Tout type de document donnant des informations sur la réception des œuvres dramatiques par le public féminin.";sources;"Documents imprimés";Spectatrix;"Le regard des spectatrices sur le théâtre européen de la première modernité";"Transcription de l’ensemble du corpus avec modernisation de l’orthographe afin de permettre la recherche plein-texte.";;"Premier corpus traité d’environ 350 épîtres dédicatoires. Corpus ouvert, avec enrichissement progressif.";"Véronique Lochert, université de Haute-Alsace & IUF ; Projet Spectatrix (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
37;https://eman-archives.org/ComiteHistoireCNRS;"CNRS
Personnes liées à la recherche scientifique";https://comihistocnrs.hypotheses.org/;France;;2023-11-17;;"Ce projet à visée collective et collaborative, porté par le comité pour l’histoire du CNRS, entend sauvegarder et valoriser les corpus rencontrés dans le cadre de ses missions, en lien avec l'histoire de l'établissement et, plus largement, de la recherche scientifique aux XIXe et XXe siècles.
Le portail Comité pour l’histoire du CNRS fédérera ainsi un ensemble de sites valorisant différents projets en cours pour constituer, à terme, une base de données historique et amorcer le déploiement des projets du Comité en Humanités numériques.";;"Publications institutionnelles";Français;;;"Projet collaboratif destiné à accueillir le signalement de toute source en lien avec l’histoire du CNRS et/ou de la recherche. Contacter la responsable : valerie.burgos@cnrs.fr";"Burgos-Blondelle, Valérie
";"Les documents sont proposés en mode image, associés à la transcription correspondante.
Les référentiels documentaires en usage seront privilégiés.
Compte tenu de la dimension contemporaine de nos ressources, des accès différenciés pourront être nécessaires en fonction des droits liés aux documents.
";"Le corpus, évolutif, sera organisé en collections. À ce jour elles consistent en :
- Rapports d'activité CNRS
- Le courrier du CNRS
- Bulletin de l'association des anciens et des amis du CNRS (prochainement)
";"L’objectif de cette édition numérique est de rendre accessibles et exploitables les documents susceptibles de nourrir une histoire du CNRS et de la recherche scientifique aux XIXe et XXe siècles.
Il s’agit d’une part, de faire œuvre documentaire en rassemblant dans un même espace des sources issues de producteurs variés et d’autre part, d’offrir un substrat scientifique en permettant un dialogue stimulant entre des documents jusque-là dispersés.
Une phase de lancement proposera les publications institutionnelles telles que les rapports d’activité annuel du CNRS ou le courrier du CNRS.
Les phases suivantes ouvriront cet espace à des productions d’accès moins immédiat.
";"XXe siècle";;"Burgos-Blondelle Valérie (Comité pour l’histoire du CNRS)";;;CNRS;"Documents imprimés";"Comite pour l'histoire du CNRS";;Oui;;"Evolutive :
Les rapports du CNRS 1952-1969 pour 4500 pages environ
Le courrier du CNRS 1971-1996
Bulletin de l’A3 : 1991-2002
";"Valérie Burgos-Blondelle, responsable projet, Comité pour l’histoire du CNRS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
38;https://eman-archives.org/Epicurei;Epicure;;;;;;"Le site Epicurei présente un index des principales notions constitutives de l’épistémologie épicurienne, ainsi qu'un choix de textes de l'école d'Epicure. Les textes sont proposés sous deux formes :
- des reproductions d'éditions anciennes libres de droit
- des transcriptions de certaines de ces éditions, enrichies d’un apparat critique minimal constitué à partir d’éditions plus récentes, et d'une traduction française du texte grec.
Les transcriptions enrichies contiennent des liens vers l'index, de façon à proposer pour chaque notion son contexte d'élaboration et d'usage.
";;Philosophie;"Grec ancien";;;;;"Les transcriptions lisibles sur Epicurei font apparaître pour chaque endroit problématique du texte grec les différentes leçons adoptées par plusieurs autres éditions de référence. Les leçons divergentes par rapport à l'édition historique originale apparaissent en bulle au survol de la souris. Les termes soulignés en bleu sont les termes indexés : ils renvoient par un lien direct à l'entrée correspondante de l'index général. Cette visualisation permet de faire ressortir de façon évidente la nature très accidentée du corpus épicurien, et la difficulté à établir un texte de référence commun. Il nous a semblé en effet particulièrement important de ne pas entretenir l'illusion, afférente à toute indexation, d'un texte figé et totalement objectivable et quantifiable, mais de souligner au contraire la part irréductiblement subjective d'un tel travail.";"Epicurei a vocation à accueillir l'ensemble du corpus canonique épicurien, en grec et éventuellement dans d'autres langues de transmission dont le latin.";"Le site Epicurei propose des transcriptions enrichies adossées à une édition ancienne historique (par exemple, pour les Lettres d'Épicure et les Maximes Capitales, l'édition d'Hermann Usener). Ces transcriptions sont toutes indexées et renvoient à un glossaire général thématique dans lequel des définitions philosophiques sont proposées.
Nous avons également souhaité donner à lire, réunis en un même lieu, d'autres versions historiques des textes épicuriens, en reproduisant des extraits d'autres d'éditions anciennes, non transcrites. Nous souhaitons ainsi que l'usager du site Epicurei ait à sa disposition un matériel épicurien le plus large possible, et puisse prendre conscience de l'épaisseur historique de la transmission des textes épicuriens, et de l'histoire éditoriale de ces textes. Les métadonnées sont systématiquement complétées par des renvois à la base CIRIS, développée par le centre Jean Pépin, pour des descriptions plus exhaustives des textes et des éditions mobilisés dans le site Epicurei.";Antiquité;;"Giovacchini, Julie (Centre Jean Pépin, CNRS), Marchand, Stéphane (Université Paris 1)";;;;"Documents imprimés";"Epicurei : index épistémologique et transcriptions enrichies de textes épicuriens";;"Oui
Transcription d'un item par collection
";;;"Department of Philosophy and Cultural Heritage of University Ca' Foscari of Venice ; EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). ";
38;https://eman-archives.org/Epicurei;Epicure;;;;;;"Le site Epicurei présente un index des principales notions constitutives de l’épistémologie épicurienne, ainsi qu'un choix de textes de l'école d'Epicure. Les textes sont proposés sous deux formes :
- des reproductions d'éditions anciennes libres de droit
- des transcriptions de certaines de ces éditions, enrichies d’un apparat critique minimal constitué à partir d’éditions plus récentes, et d'une traduction française du texte grec.
Les transcriptions enrichies contiennent des liens vers l'index, de façon à proposer pour chaque notion son contexte d'élaboration et d'usage.
";;Philosophie;"Grec ancien";;;;;"Les transcriptions lisibles sur Epicurei font apparaître pour chaque endroit problématique du texte grec les différentes leçons adoptées par plusieurs autres éditions de référence. Les leçons divergentes par rapport à l'édition historique originale apparaissent en bulle au survol de la souris. Les termes soulignés en bleu sont les termes indexés : ils renvoient par un lien direct à l'entrée correspondante de l'index général. Cette visualisation permet de faire ressortir de façon évidente la nature très accidentée du corpus épicurien, et la difficulté à établir un texte de référence commun. Il nous a semblé en effet particulièrement important de ne pas entretenir l'illusion, afférente à toute indexation, d'un texte figé et totalement objectivable et quantifiable, mais de souligner au contraire la part irréductiblement subjective d'un tel travail.";"Epicurei a vocation à accueillir l'ensemble du corpus canonique épicurien, en grec et éventuellement dans d'autres langues de transmission dont le latin.";"Le site Epicurei propose des transcriptions enrichies adossées à une édition ancienne historique (par exemple, pour les Lettres d'Épicure et les Maximes Capitales, l'édition d'Hermann Usener). Ces transcriptions sont toutes indexées et renvoient à un glossaire général thématique dans lequel des définitions philosophiques sont proposées.
Nous avons également souhaité donner à lire, réunis en un même lieu, d'autres versions historiques des textes épicuriens, en reproduisant des extraits d'autres d'éditions anciennes, non transcrites. Nous souhaitons ainsi que l'usager du site Epicurei ait à sa disposition un matériel épicurien le plus large possible, et puisse prendre conscience de l'épaisseur historique de la transmission des textes épicuriens, et de l'histoire éditoriale de ces textes. Les métadonnées sont systématiquement complétées par des renvois à la base CIRIS, développée par le centre Jean Pépin, pour des descriptions plus exhaustives des textes et des éditions mobilisés dans le site Epicurei.";Antiquité;;"Giovacchini, Julie (Centre Jean Pépin, CNRS), Marchand, Stéphane (Université Paris 1)";;;;"Documents imprimés";"Epicurei : index épistémologique et transcriptions enrichies de textes épicuriens";;"Oui
Transcription d'un item par collection
";;;"Department of Philosophy and Cultural Heritage of University Ca' Foscari of Venice ; EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). ";
38;https://eman-archives.org/Epicurei;Epicure;;;;;;"Le site Epicurei présente un index des principales notions constitutives de l’épistémologie épicurienne, ainsi qu'un choix de textes de l'école d'Epicure. Les textes sont proposés sous deux formes :
- des reproductions d'éditions anciennes libres de droit
- des transcriptions de certaines de ces éditions, enrichies d’un apparat critique minimal constitué à partir d’éditions plus récentes, et d'une traduction française du texte grec.
Les transcriptions enrichies contiennent des liens vers l'index, de façon à proposer pour chaque notion son contexte d'élaboration et d'usage.
";;Philosophie;"Grec ancien";;;;;"Les transcriptions lisibles sur Epicurei font apparaître pour chaque endroit problématique du texte grec les différentes leçons adoptées par plusieurs autres éditions de référence. Les leçons divergentes par rapport à l'édition historique originale apparaissent en bulle au survol de la souris. Les termes soulignés en bleu sont les termes indexés : ils renvoient par un lien direct à l'entrée correspondante de l'index général. Cette visualisation permet de faire ressortir de façon évidente la nature très accidentée du corpus épicurien, et la difficulté à établir un texte de référence commun. Il nous a semblé en effet particulièrement important de ne pas entretenir l'illusion, afférente à toute indexation, d'un texte figé et totalement objectivable et quantifiable, mais de souligner au contraire la part irréductiblement subjective d'un tel travail.";"Epicurei a vocation à accueillir l'ensemble du corpus canonique épicurien, en grec et éventuellement dans d'autres langues de transmission dont le latin.";"Le site Epicurei propose des transcriptions enrichies adossées à une édition ancienne historique (par exemple, pour les Lettres d'Épicure et les Maximes Capitales, l'édition d'Hermann Usener). Ces transcriptions sont toutes indexées et renvoient à un glossaire général thématique dans lequel des définitions philosophiques sont proposées.
Nous avons également souhaité donner à lire, réunis en un même lieu, d'autres versions historiques des textes épicuriens, en reproduisant des extraits d'autres d'éditions anciennes, non transcrites. Nous souhaitons ainsi que l'usager du site Epicurei ait à sa disposition un matériel épicurien le plus large possible, et puisse prendre conscience de l'épaisseur historique de la transmission des textes épicuriens, et de l'histoire éditoriale de ces textes. Les métadonnées sont systématiquement complétées par des renvois à la base CIRIS, développée par le centre Jean Pépin, pour des descriptions plus exhaustives des textes et des éditions mobilisés dans le site Epicurei.";Antiquité;;"Giovacchini, Julie (Centre Jean Pépin, CNRS), Marchand, Stéphane (Université Paris 1)";;;;"Documents imprimés";"Epicurei : index épistémologique et transcriptions enrichies de textes épicuriens";;"Oui
Transcription d'un item par collection
";;;"Department of Philosophy and Cultural Heritage of University Ca' Foscari of Venice ; EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). ";
38;https://eman-archives.org/Epicurei;Epicure;;;;;;"Le site Epicurei présente un index des principales notions constitutives de l’épistémologie épicurienne, ainsi qu'un choix de textes de l'école d'Epicure. Les textes sont proposés sous deux formes :
- des reproductions d'éditions anciennes libres de droit
- des transcriptions de certaines de ces éditions, enrichies d’un apparat critique minimal constitué à partir d’éditions plus récentes, et d'une traduction française du texte grec.
Les transcriptions enrichies contiennent des liens vers l'index, de façon à proposer pour chaque notion son contexte d'élaboration et d'usage.
";;Philosophie;"Grec ancien";;;;;"Les transcriptions lisibles sur Epicurei font apparaître pour chaque endroit problématique du texte grec les différentes leçons adoptées par plusieurs autres éditions de référence. Les leçons divergentes par rapport à l'édition historique originale apparaissent en bulle au survol de la souris. Les termes soulignés en bleu sont les termes indexés : ils renvoient par un lien direct à l'entrée correspondante de l'index général. Cette visualisation permet de faire ressortir de façon évidente la nature très accidentée du corpus épicurien, et la difficulté à établir un texte de référence commun. Il nous a semblé en effet particulièrement important de ne pas entretenir l'illusion, afférente à toute indexation, d'un texte figé et totalement objectivable et quantifiable, mais de souligner au contraire la part irréductiblement subjective d'un tel travail.";"Epicurei a vocation à accueillir l'ensemble du corpus canonique épicurien, en grec et éventuellement dans d'autres langues de transmission dont le latin.";"Le site Epicurei propose des transcriptions enrichies adossées à une édition ancienne historique (par exemple, pour les Lettres d'Épicure et les Maximes Capitales, l'édition d'Hermann Usener). Ces transcriptions sont toutes indexées et renvoient à un glossaire général thématique dans lequel des définitions philosophiques sont proposées.
Nous avons également souhaité donner à lire, réunis en un même lieu, d'autres versions historiques des textes épicuriens, en reproduisant des extraits d'autres d'éditions anciennes, non transcrites. Nous souhaitons ainsi que l'usager du site Epicurei ait à sa disposition un matériel épicurien le plus large possible, et puisse prendre conscience de l'épaisseur historique de la transmission des textes épicuriens, et de l'histoire éditoriale de ces textes. Les métadonnées sont systématiquement complétées par des renvois à la base CIRIS, développée par le centre Jean Pépin, pour des descriptions plus exhaustives des textes et des éditions mobilisés dans le site Epicurei.";Antiquité;;"Giovacchini, Julie (Centre Jean Pépin, CNRS), Marchand, Stéphane (Université Paris 1)";;;;"Documents imprimés";"Epicurei : index épistémologique et transcriptions enrichies de textes épicuriens";;"Oui
Transcription d'un item par collection
";;;"Department of Philosophy and Cultural Heritage of University Ca' Foscari of Venice ; EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). ";
42;;;https://ebdf.hypotheses.org;France;;;;"BiblioBase XIX est une base de données sur les corpus littéraires du XIXe siècle recensés par la Bibliographie de la France, périodique fondé en 1811 et encore publié de nos jours. La BdF publie des données indispensables à toute histoire culturelle, politique et sociale de la littérature : le classement des imprimés selon une terminologie évolutive ; les signatures, qui reflètent les postures publiques choisies par les auteurs ; les lieux d’édition ou de réédition, de publication et de vente des ouvrages, indices de l’évolution des pratiques de lecture sur l’ensemble du territoire français ; les traductions et ventes de livres étrangers ; les prix des ouvrages, et parfois leurs tirages. Ce sont ces informations que la BiblioBase a pour objectif de rendre accessibles et visualisables. Le corpus sera mis en ligne par étapes.
Ce site concerne l'étape de la publication des informations bibliographiques détaillées année par année.
Cette recherche a été financée par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) au titre du projet ANR-22-CE54-0011 intitulé ""e-BdF"".";;Bibliographie;Français;https://eman.hypotheses.org/9283;;;"Jordi Brahamcha-Marin (correction et enrichissement des données sur les années 1811 à 1900 – du 01-09-2023 au 31-08-2024)";"Les principes éditoriaux ayant mené à l’élaboration de la BiblioBase sont expliqués en détail sur HAL à l’adresse : https://hal.science/hal-04332215";"La première version de la BiblioBase comprend l’ensemble des références bibliographiques littéraires recensées dans les « Tables systématiques » de la Bibliographie de la France. Elle s’enrichit de 6 types de données intégrées manuellement : le numéro de livraison dans laquelle est annoncée la référence et sa date de parution hebdomadaire, la « posture » venant qualifier la signature des ouvrages, les « traducteurs » distincts des auteurs, et les « para-auteurs » qui viennent qualifier l’ensemble des auteurs au second degré (responsables d’annotations, de commentaires, de réécritures).";"La BiblioBase est une base de données bibliographiques sur la littérature du XIXe siècle. Elle s’appuie sur l’édition numérique d’une source exceptionnelle par sa longévité et sa complétude : la Bibliographie de la France. Fondé en 1811, ce périodique encore édité de nos jours est conçu pour recenser en exclusivité tous les imprimés autorisés après leur dépôt légal, semaine après semaine. La précision des informations associées aux notices des livres, telles que la catégorie socio-professionnelle de certains auteurs, les lieux et prix de vente, la qualité du papier ou le recours à l’illustration, fait de ce journal un témoignage inédit sur l’histoire des livres, au plus près de l’actualité des auteurs, des libraires et des lecteurs. La BiblioBase a pour but de permettre l’interrogation visuelle des données massives extraites de cette source bibliographique. Elle débute par la publication des données abrégées relatives aux catégories « Belles-Lettres » et « Littérature » des « tables systématiques », publiées annuellement au cours du XIXe siècle. Dans un second temps, elle en comprendra les informations détaillées et structurées correspondant à chaque référence.
Hébergée par la plateforme d’édition numérique EMAN, la BiblioBase prend le nom de BiblioBase XIX. Elle se doit d’être accessible, interrogeable et visualisable par tous les chercheurs. Elle se définit comme un projet évolutif, auquel il est possible de contribuer. Pour ce faire, prenez contact avec l’équipe !";"XIXe siècle";;"Courant, Elsa (CNRS/CELLF)";;;Bibliographie;"Documents imprimés";"BiblioBase XIX - version détaillée";"Une édition numérique de la Bibliographie de la France (littérature, 1811-1900)";"Le projet s’appuie entièrement sur une transcription des références bibliographiques littéraires de la Bibliographie de la France (1811-1900).";;"Environ 156 000 items.";"Elsa Courant (CNRS), coordinatrice du projet ANR JCJC e-BdF (CNRS/CELLF); Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Le corpus est constitué de références bibliographiques parcellisées selon différents champs (auteur, titre, date, mais aussi semaine précise d’annonce de l’ouvrage, posture auctoriale déterminée par la signature, etc.)."
43;;;https://ebdf.hypotheses.org;France;;;;"BiblioBase XIX est une base de données bibliographique sur EMAN. Elle se fonde sur les corpus littéraires du XIXe siècle recensés par la Bibliographie de la France, périodique fondé en 1811 et encore publié de nos jours. La BdF publie des données indispensables à toute histoire culturelle, politique et sociale de la littérature : le classement des imprimés selon une terminologie évolutive ; les signatures, qui reflètent les postures publiques choisies par les auteurs ; les lieux d’édition ou de réédition, de publication et de vente des ouvrages, indices de l’évolution des pratiques de lecture sur l’ensemble du territoire français ; les traductions et ventes de livres étrangers ; les prix des ouvrages, et parfois leurs tirages. Ce sont ces informations que la BiblioBase XIX a pour objectif de rendre accessibles et visualisables. Cette recherche a été financée par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) au titre du projet ANR-22-CE54-0011 intitulé ""e-BdF"".";;Bibliographie;Français;;;"La première version de la BiblioBase s’appuie sur les titres abrégés contenus dans les « Tables systématiques » de la Bibliographie de la France. Une version détaillée des mêmes références est en cours d’édition. Elle fera l’objet d’une collection spécifique sur EMAN.";"Jordi Brahamcha-Marin (correction et enrichissement des données sur les années 1811 à 1900 – du 01-09-2023 au 31-08-2024)";"Les principes éditoriaux ayant mené à l’élaboration de la BiblioBase sont expliqués en détail sur HAL à l’adresse : https://hal.science/hal-04332215";"La première version de la BiblioBase comprend l’ensemble des références bibliographiques littéraires recensées dans les « Tables systématiques » de la Bibliographie de la France. Elle s’enrichit de 6 types de données intégrées manuellement : le numéro de livraison dans laquelle est annoncée la référence et sa date de parution hebdomadaire, la « posture » venant qualifier la signature des ouvrages, les « traducteurs » distincts des auteurs, et les « para-auteurs » qui viennent qualifier l’ensemble des auteurs au second degré (responsables d’annotations, de commentaires, de réécritures).";"La BiblioBase est une base de données bibliographiques sur la littérature du XIXe siècle. Elle s’appuie sur l’édition numérique d’une source exceptionnelle par sa longévité et sa complétude : la Bibliographie de la France. Fondé en 1811, ce périodique encore édité de nos jours est conçu pour recenser en exclusivité tous les imprimés autorisés après leur dépôt légal, semaine après semaine. La précision des informations associées aux notices des livres, telles que la catégorie socio-professionnelle de certains auteurs, les lieux et prix de vente, la qualité du papier ou le recours à l’illustration, fait de ce journal un témoignage inédit sur l’histoire des livres, au plus près de l’actualité des auteurs, des libraires et des lecteurs. La BiblioBase a pour but de permettre l’interrogation visuelle des données massives extraites de cette source bibliographique. Elle débute par la publication des données abrégées relatives aux catégories « Belles-Lettres » et « Littérature » des « tables systématiques », publiées annuellement au cours du XIXe siècle. Dans un second temps, elle en comprendra les informations détaillées et structurées correspondant à chaque référence.
Hébergée par la plateforme d’édition numérique EMAN, la BiblioBase prend le nom de BiblioBase XIX. Elle se doit d’être accessible, interrogeable et visualisable par tous les chercheurs. Elle se définit comme un projet évolutif, auquel il est possible de contribuer. Pour ce faire, prenez contact avec l’équipe !";"XIXe siècle";;"Courant, Elsa (CNRS/CELLF)";;;Bibliographie;"Documents imprimés";"BiblioBase XIX- version abrégée";"Une édition numérique de la Bibliographie de la France (littérature, 1811-1900)";"Le projet s’appuie entièrement sur une transcription des références bibliographiques littéraires de la Bibliographie de la France (1811-1900).";;"Environ 156 000 items.";"Elsa Courant (CNRS), coordinatrice du projet ANR JCJC e-BdF (CNRS/CELLF); Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Le corpus est constitué de références bibliographiques parcellisées selon différents champs (auteur, titre, date, mais aussi semaine précise d’annonce de l’ouvrage, posture auctoriale déterminée par la signature, etc.)."
44;;"Senghor, Léopold Sédar";http://www.item.ens.fr/senghor;Afrique;;;;"Les archives de Léopold Sédar Senghor, constituées au fil d’une vie exceptionnellement riche, ne sont pas conservées de manière centralisée. Plusieurs lieux – au Sénégal, en Europe et dans d’autres parties du monde –, possèdent des documents autographes du Poète-président. Ce site vise à rassembler de manière numérique le contenu de ces différentes archives (facsimilés, transcriptions ou simples descriptions) afin de les mettre à disposition de la communauté mondiale des chercheurs en sciences humaines.
";;poésie;Français;https://eman.hypotheses.org/9275;;"Pour entrer en contact avec le groupe Senghor : claire.riffard(a)cnrs.fr Nous sommes à l’écoute des propositions d’amendements suggérées par les utilisateurs du site.";"Buysse, Delphine (relecture)";"La cartographie des archives senghoriennes a été conçue comme un répertoire des fonds où elles sont conservées, selon une logique archivistique et non génétique.
";"Ce programme scientifique est chevillé à un travail d’identification, d’inventaire et de valorisation des archives de Senghor, présentes tant au Sénégal qu’en France et ailleurs. Les archives des Maisons Senghor à Verson et à Dakar, encore inaccessibles, le seront dans un futur que nous espérons proche. Il est certain que l’ouverture des archives et la circulation des documents qu’elles contiennent permettra le développement des études senghoriennes.
Le site “archives de Léopold Sédar Senghor” présente un état des connaissances, régulièrement actualisé en fonction de l’avancée des recherches.
";"Fondé le 1er octobre 2022 en partenariat entre l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et l’Institut des textes et manuscrits modernes de Paris (ITEM, CNRS-ENS), le Groupe Senghor a pour objectif de revisiter les différentes facettes du poète et président Léopold Sédar Senghor à l’aune de ses archives.
Penseur d’une « philosophie de l’Africanité », fondateur de la francophonie et homme politique visionnaire, Senghor lègue un héritage politique et littéraire qui n’a cessé d’interpeller. Le XXIe siècle connaît un regain d’intérêt pour le « Président-poète » ; avec la distance historique qui s’installe, l’homme et son corpus de textes se chargent d’énigmes et donc d’attraits. Senghor n’a pas légué de traité ou de doctrine, mais l’ensemble de son œuvre littéraire et de ses discours – allocutions, articles, préfaces, etc. – permet de percevoir, à travers ses multiples variations, l’unité de sa pensée, que les chercheurs et les lecteurs sont invités à reconstruire. Notre objectif est d’étudier dans une perspective interdisciplinaire les nombreuses facettes de l’œuvre de cet exceptionnel « homme de culture ».
";"XXe siècle";;"Groupe international de recherche Léopold Sédar Senghor (ITEM-UCAD)";;;Francophonie;"Documents imprimés";"Archives Léopold Sédar Senghor";;;;"L’immense majorité des 1700 notices du site ne comportent pas de reproduction numérique des documents décrits, pour la simple raison que nous n’avons pas pu identifier les ayants droit de Léopold Sédar Senghor.
";"Groupe international de recherche Léopold Sédar Senghor ; EMAN, Thalim (CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
45;;"Marivaux, Pierre de (1688-1763)";;France;"2019-06-28 ";;;"SEM (Scènes Européennes Marivaux) étudie la présence du théâtre de Marivaux sur différentes scènes étrangères, du xviiie au xxie siècle, dans la perspective des transferts culturels (analyser la diffusion des pièces de cet auteur, mais aussi interroger les adaptations des textes pour un public étranger à une époque donnée) et de la génétique théâtrale (éditer et analyser les traces et les documents concernant le processus de création au théâtre). La réalisation d’un tel objectif a requis une collecte préalable de la documentation sur les éditions et, surtout, les mises en scène qui font l’objet de notre étude. Il s’agit d’une documentation dispersée dans les archives des théâtres et bibliothèques, ou encore dans les fonds privés de différents artistes. SEM permet une lecture croisée et comparative, selon l’axe chronologique ou l’axe linguistique et culturel de ces multiples créations, ou bien propose de consulter toutes les éditions et les mises en scène, toute aire linguistique et culturelle confondue, d’un même original marivaudien. La structure de SEM respecte le protocole FRBR (œuvre/ expression/ manifestation/ item). Ainsi, l’entrée principale (œuvre) est donnée par le titre français de l’original de Marivaux, avec l’indication de la date de la première création. Les différentes aires linguistiques et culturelles constituent des sous-collections (correspondant au niveau ‘expressions’), au sein desquelles on trouve les créations (niveau : ‘manifestations’) dont on peut consulter la documentations conservée (niveau : ‘item’) : les textes (notamment pour les traductions et les adaptations en langue étrangère), mais également tous les documents, y compris visuels et audio-visuels, témoignant du processus de création, puis de la création et de la post-création (par exemple la revue de presse) des spectacles concernés.
";;"Théâtre (Édition de)";Français;https://eman.hypotheses.org/2294;;;"Ranzini, Paola (responsable du projet et chargée de recherches sur le corpus Marivaux en France, en Italie et dans les pays anglophones)";"Toutes les pièces sont classées à partir de l’original de Marivaux, par langue et pays des représentations et des éditions. Chaque mise en scène, chaque traduction éditée et chaque adaptation fait l’objet d’une notice comportant les métadonnées et tous les éléments utiles pour la situer dans son contexte de création (chronologie, géolocalisation, relations génétiques). La mise en ligne se fera progressivement, par aire linguistique-culturelle. SEM est conçu de manière à être continuellement enrichi.
";"Notre corpus comprend les documents textuels (manuscrits, tapuscrits, imprimés), visuels (maquettes, dessins, photos…), audios (podcast, interview enregistrées…) et audio-visuels (captations de répétitions et de représentations, montages vidéo, trailers, interviews ou reportages documentaires…) se rapportant à des créations au théâtre et les documents textuels se rapportant aux éditions et aux traductions des textes de Marivaux.
";"SEM est un projet de recherche conçu et porté par un enseignant-chercheur. Ce projet a été cofinancé par la Fédération de recherche (FR) Agorantic d’Avignon Université et fait partie d’un programme individuel de recherche sur les transferts culturels et les processus de création développé au sein d’une délégation IUF. Les objectifs principaux de SEM sont : dresser un recensement exhaustif et constituer une bibliographie complète des traductions et des mises en scène du théâtre de Marivaux à l’étranger permettant une étude de la réception de son œuvre ; réunir les documents dispersés dans les archives, publiques et privées, qui constituent les traces de ces spectacles les rendant ainsi disponibles à la consultation des spécialistes et des professionnels du théâtre ; contribuer à une réflexion sur la constitution d’archives numériques théâtrales, concernant les métadonnées des open data de théâtre et, notamment, une ontologie de l’annotation des documents visuels et audio-visuels.
";"XVIIIe siècle";;"Ranzini, Paola (Avignon Université, IUF)";;;"mise en scène";;"SEM : Scènes Européennes & extraeuropéennes";;"TEI + annotation images et vidéos.";;;"Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";
46;https://eman-archives.org/Valery-Robinson;"Valéry, Paul";;France;2016-12-09;2020-01-09;2024-05-27;"En dépit des réticences qu’il éprouve vis-à-vis des écritures narratives, et notamment du roman, Valéry est l’auteur d’une série de contes, recueillis à titre posthume dans le volume intitulé Histoires brisées. Ni le recueil ni aucun des contes qui auraient dû le composer n’a atteint un état achevé du vivant de Valéry. L’ouvrage est, en réalité, une fabrication de l’éditeur, à partir d’une série de dactylographies et de manuscrits relevant d’une écriture en chantier et par conséquent en devenir.
C’est cette écriture en devenir que prétend restituer notre édition génétique numérique de Robinson. Elle revient des pages, séduisantes mais factices, fixées par l’édition posthume, vers l’écriture qui germe dans l’ensemble des documents – feuillets dactylographiés et manuscrits, notes plus ou moins élaborées ou embryonnaires – laissés par l’auteur, pour en proposer une édition génétique.
";;Récit;Français;https://eman.hypotheses.org/132;;;"Camus, Elsa (encodage des transcriptions)";"Chacun des manuscrits et tapuscrits originaux constituant le dossier de genèse de Robinson est présenté à travers sa numérisation, accompagnée de sa transcription diplomatique, de sa description, son analyse et ses métadonnées. Un diagramme génétique essaye de rendre compte des interactions entre les différents documents du corpus.
";"Le dossier de genèse de Robinson est présenté à partir de huit collections. Chacune est fondée sur l’unité d’un lieu génétique, qui peut être un support unique (le cahier « Robinson ») ou un type de support, parfois incontestablement homogène (les séries de dactylographies avec ajouts manuscrits, les dactylographies tirées des Cahiers, les notes des Cahiers ayant trait à Robinson), parfois plus large et relativement lâche (les feuilles volantes). Même s’il doit être considéré comme une fabrication de l’éditeur, le texte de « Robinson », tel qu’il a paru à titre posthume dans le volume Histoire brisées (Gallimard, 1950), figure dans notre dossier : il fait indubitablement partie de l’histoire de l’œuvre. Les allusions au projet dans la correspondance de Valéry ou dans d’autres endroits de son œuvre sont l’objet d’une collection en chantier, qui se verra progressivement complétée.
";"En même temps qu’elle rassemble le dossier de genèse de Robinson de Valéry, cette édition génétique aspire à le rendre lisible et intelligible, à dégager le jeu complexe des interactions entre les éléments hétérogènes qui le composent. Dans cette perspective, les recours du numérique offrent d’immenses avantages : la présence en vis-à-vis de l’image numérisée des manuscrits et de leur transcription rendra aisé le passage de l’un à l’autre. Il devient possible également de dessiner un ordre sans en exclure d’autres, de superposer plusieurs agencements possibles et, ainsi, de représenter les métamorphoses et les translations, les fluctuations et les intersections dont s’accompagne la genèse du conte.
";"XXe siècle";;"Johansson, Franz (ITEM-Sorbonne université)";;"La quasi-totalité des documents concernés par cette édition génétique est conservée à la Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits modernes, principalement sous la cote Naf 19083 et 19085 notamment.";"Paul Valéry";"Documents imprimés";"Robinson de Paul Valéry - édition génétique";;"Transcription diplomatique de l’intégralité des éléments du corpus";;"Environ 150 fichiers-images";"Franz Johansson, (ITEM-Sorbonne université) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Manuscrits, tapuscrits et un imprimé."
47;;;;Europe;"2022-10-18 ";;;;"Fiche : Gabrielle Hirchwald (ATILF (UL/CNRS)) & Jean-Sébastien Macke (ITEM), projet Entretiens d'écrivains dans la presse (1850-1914); EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)";"Presse (entretiens, interviews, enquêtes)";Français;;;;"Cucciniello Maria Laura (éditrice numérique)";"Pour chaque écrivain, les métadonnées DublinCore sont recueillies dans un fichier Excel qui sert, ensuite, à la création des notices. L’arborescence des collections suit le schéma suivant : collections par auteur, sous-collections par journal, une notice pour chaque entretien transcrit avec ajout des images des articles auxquelles sont adjointes les transcriptions. La présentation de ces textes obéit à un ordre chronologique. Si plusieurs témoignages sont publiés le même jour, c’est l’ordre alphabétique par titre de périodiques qui prévaut.
Les entretiens sont établis à partir des ressources numériques disponibles notamment sur Gallica et Retronews. La transcription est réalisée soit par saisie complète du texte, soit par reprise de l’OCR proposé par les sites. Les coquilles, fréquentes dans les articles de presse, sont systématiquement corrigées. Les mots manquants ont parfois été ajoutés en cas de besoin afin de rendre le texte parfaitement lisible. De plus, l’orthographe du XIXe siècle a été légèrement modernisée : par exemple, les terminaisons en –ais ont été transformées en –ès comme Alais/Alès. Les termes étrangers ont été uniformisés et corrigés le cas échéant. Les majuscules ont été accentuées et les titres des œuvres systématiquement mis en italique.
Lorsqu’une enquête concerne des personnalités qui ne font pas partie de notre corpus, nous avons choisi de transcrire l’intégralité des réponses, de manière à conserver l’environnement complet des entretiens réalisés.
Une fois les textes transcrits, il est procédé à un balisage en XML-TEI via Oxygen. Chaque interview fait l’objet d’un fichier TEI. Après toilettage et relecture des textes, l’ensemble des noms propres a été répertorié à l’aide d’un balisage particulièrement fin qui s’attache au lexique mais aussi aux parties du discours. Il concerne aussi les titres d’œuvres, les citations et les dialogues (entre le journaliste et l’écrivain interviewé). Le reportage précédant l’interview a été balisé de manière spécifique de façon à isoler les paroles des locuteurs.
Un header a été conçu selon les recommandations du Consortium CAHIER. Une fois le texte encodé, il est publié sur la plateforme Ortolang et sur le site EMAN. Ortolang concerne davantage l’accès et le téléchargement de fichiers xml alors qu’EMAN est plus tourné vers l’édition numérique.
Par souci de conformité à la publication originale dans la presse, ont été conservés les rubriques, les titres, les intertitres ainsi que les questions du journaliste et le nom de ce dernier lorsque l’article est signé. La signature a été respectée comme lors de la parution initiale : patronyme (Jules Huret, Paul Belon), pseudonyme individuel ou collectif (Tout-Paris), initiales ou non signé. Quand il s’agit d’une réponse écrite de l’écrivain, l’article est non signé. Dans le cadre d’une enquête ou d’une double interview, l’intégralité de l’article a été conservée ; le texte peut être consulté de différentes manières (« item relations »). Dans ce cas, il est possible de rechercher par titre de journal ou nom d’auteur selon le domaine considéré.
Lorsqu’une interview a été reprise par d’autres journaux, elle n’a pas été retenue, notre souci ayant été d’être les plus fidèles à la publication originale. En outre, nous avons fait le choix de ne pas retenir des textes qui auraient été republiés à l’occasion de la mort d’un écrivain par exemple.
";"Genre poreux de l’interview
La labilité du genre peut être mesurée à partir d’un modèle canonique de référence. Cependant, cette structure, loin d’être la plus représentative du corpus, offre le plus souvent une pluralité de discours susceptibles de brouiller l’interview elle-même. La « morphologie » de l’interview, pour reprendre les termes de Jean-Marie Seillan, obéit à un découpage que l’on peut opérer de la manière suivante : justification de la rencontre avec l’écrivain, déplacement de l’interviewer, description du lieu de l’entretien, salutations, portrait de l’écrivain, entretien proprement dit, remerciements et prise de congé.
C’est pourquoi l’interview emprunte une palette de modalités particulières qui rendent délicates les délimitations génériques. Élément hétérogène, l’interview l’est aussi en raison de son hybridité congénitale.
La « responsabilité partagée » entre interviewer et interviewé fait du texte un espace singulier où la parole retranscrite, en même temps qu’elle éclaire la personnalité et les prises de position du romancier, est toujours sujette à caution.
Invariants
Nous avons retenu une conception assez large de l’interview : restitution de l’oralité ; brièveté et immédiateté.
L’interview suppose qu’il y ait à la fois échange verbal entre le journaliste et l’écrivain visant à recréer les conditions de l’oralité et que le fruit de cette rencontre soit rapporté de façon rapide, mimant ainsi l’impression d’un discours spontané.
L’interview suppose également un échange avec l’interviewé dont la restitution doit être rapide. La visite au grand écrivain prend du temps et sa restitution ne correspond pas toujours au rythme frénétique de l’interview publiée dans le quotidien. Cette dernière est elle aussi soumise aux contraintes du journal.
En dehors des réponses écrites à l’occasion d’enquêtes, la publication de l’entretien a lieu entre un et quelques jours après la rencontre avec le romancier.
Borne temporelle 1850-1914
Les écrivains sont les stars de l’époque. Jules Verne est l’un des premiers interviewés mais le genre triomphe véritablement dans le dernier quart du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Il nous a paru évident de fixer une borne temporelle qui s’étende jusqu’à la veille de la Première Guerre Mondiale, marquant la fin de ce long XIXe siècle.
L’objectif de cette collection d’interviews ne saurait tendre à l’exhaustivité. Dans la mesure du possible, notre volonté première consistait à établir un échantillon représentatif par auteur en fonction des journaux les plus à même de recueillir la précieuse parole de l’écrivain.
Work in progress
Le but est plutôt d’inciter à accueillir sur le site d’autres interviews d’écrivains pour enrichir le corpus. Pour le moment, la plupart des journaux proviennent de la presse parisienne ; quelques-uns sont issus de la presse étrangère. Les enrichissements ultérieurs peuvent porter sur d’autres journaux et revues. De plus, des interviews dans une autre langue que le français ont vocation à figurer sur le site à condition d’en avoir la traduction et la transcription en français.
Nous encourageons tous les contributeurs intéressés par les interviews d’écrivains à proposer de nouveaux corpus.
Les conditions :
-
Répondre au genre de l’interview ;
-
Interviews originales
-
Correspondre à la période considérée (1850-1914) ;
-
Se limiter aux hommes et aux femmes de lettres.
";"L’interview, un genre populaire en son temps
Au XIXe siècle, la diffusion littéraire a été opérée de manière principale par la publication périodique. Libéralisation de la presse, évolution des technologies, lectorat de plus en plus nombreux et demande culturelle font que le journal constitue à l’époque un support médiatique incontournable pour les écrivains. Dans la presse quotidienne, c’est le genre de l’interview qui va modifier de façon considérable la représentation sociale de l’homme de lettres.
La fin du XIXe siècle consacre l’interview en tant que genre à la mode si on la définit d’emblée comme l’entretien d’un journaliste avec une personne dont il veut recueillir les propos afin de les faire connaître au public. En effet, à l’heure où la démocratisation du lectorat passe par l’essor du journal, l’entretien d’un journaliste avec une personne célèbre intéresse le lecteur, déjà captivé par l’existence des personnalités contemporaines.
Bien souvent, l’interview fait la une de la presse, imitant en cela les journaux américains qui l’ont depuis longtemps popularisée. Par exemple, Le Matin fondé en 1884, suivi par L’Éclair en 1889, publient des interviews quotidiennement, dans la ligne éditoriale de leurs modèles anglo-saxons.
Un travail de recherche inédit et en réseaux
Pourtant, pendant longtemps, l’interview a subi une véritable éviction des études littéraires en raison de la défiance envers une parole « douteuse » car rendue par le truchement du journaliste. Par rapport à l’œuvre fictionnelle de l’écrivain ou à sa correspondance, l’interview était considérée comme un genre mineur sans intérêt.
Néanmoins, depuis une trentaine d’années, plusieurs chercheurs ont commencé à s’intéresser à l’interview d’écrivain. Après les recherches pionnières menées par Dorothy Speirs et Dolorès Signori sur Zola dans les années 1980-1990, des interviews de Jules Verne, de Stéphane Mallarmé et de Huysmans ont été éditées entre 1995 et 2002. En 2004 sont publiés les actes d’un colloque entièrement consacré au genre de l’interview d’écrivain.
À partir d’un travail initial mené à partir des interviews d’Alphonse Daudet (2018), est né le désir de poursuivre ce travail avec les entretiens de Zola. Le site Entretiens d’écrivains dans la presse (1850-1914) se donne ainsi pour objectif de constituer un réservoir d’interviews dont les thématiques se rejoignent (Académie, Affaire Dreyfus, Boulangisme, Naturalisme…), permettant ainsi d’établir une véritable cartographie littéraire.
";"XIXe siècle";;"Hirchwald, Gabrielle (ATILF (UL/CNRS)) et Macke, Jean-Sébastien (ITEM)";;"À titre d’exemple, nous proposons l’accès à deux notices issues d’un même entretien accordé par Alphonse Daudet et Émile Zola à Marcel Hutin, pour le journal Le Gaulois du 1er février 1897 :
La source se trouve sur Gallica :
";interviews;"Documents imprimés";"Entretiens d'écrivains dans la presse (1850-1914)";;"Le projet propose une transcription pour la quasi-totalité du corpus. Chaque interview propose un fichier en xml avec un certain nombre de balises (noms de personnes, noms de lieux, titres d’œuvres…).
";;"Le corpus initial est composé d’interviews d’Alphonse Daudet et d’Emile Zola triés par journaux. Il comprend plus de 600 entretiens avec pour chacun une fiche de présentation, l’interview en mode image et sa transcription. Par la suite, ce corpus sera étendu à d’autres écrivains.
";"Gabrielle Hirchwald (ATILF (UL/CNRS)) & Jean-Sébastien Macke (ITEM), projet Entretiens d'écrivains dans la presse (1850-1914) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";RAS
47;;;;Europe;"2022-10-18 ";;;;"Fiche : Gabrielle Hirchwald (ATILF (UL/CNRS)) & Jean-Sébastien Macke (ITEM), projet Entretiens d'écrivains dans la presse (1850-1914); EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l’Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)";"Presse (entretiens, interviews, enquêtes)";Français;;;;"Cucciniello Maria Laura (éditrice numérique)";"Pour chaque écrivain, les métadonnées DublinCore sont recueillies dans un fichier Excel qui sert, ensuite, à la création des notices. L’arborescence des collections suit le schéma suivant : collections par auteur, sous-collections par journal, une notice pour chaque entretien transcrit avec ajout des images des articles auxquelles sont adjointes les transcriptions. La présentation de ces textes obéit à un ordre chronologique. Si plusieurs témoignages sont publiés le même jour, c’est l’ordre alphabétique par titre de périodiques qui prévaut.
Les entretiens sont établis à partir des ressources numériques disponibles notamment sur Gallica et Retronews. La transcription est réalisée soit par saisie complète du texte, soit par reprise de l’OCR proposé par les sites. Les coquilles, fréquentes dans les articles de presse, sont systématiquement corrigées. Les mots manquants ont parfois été ajoutés en cas de besoin afin de rendre le texte parfaitement lisible. De plus, l’orthographe du XIXe siècle a été légèrement modernisée : par exemple, les terminaisons en –ais ont été transformées en –ès comme Alais/Alès. Les termes étrangers ont été uniformisés et corrigés le cas échéant. Les majuscules ont été accentuées et les titres des œuvres systématiquement mis en italique.
Lorsqu’une enquête concerne des personnalités qui ne font pas partie de notre corpus, nous avons choisi de transcrire l’intégralité des réponses, de manière à conserver l’environnement complet des entretiens réalisés.
Une fois les textes transcrits, il est procédé à un balisage en XML-TEI via Oxygen. Chaque interview fait l’objet d’un fichier TEI. Après toilettage et relecture des textes, l’ensemble des noms propres a été répertorié à l’aide d’un balisage particulièrement fin qui s’attache au lexique mais aussi aux parties du discours. Il concerne aussi les titres d’œuvres, les citations et les dialogues (entre le journaliste et l’écrivain interviewé). Le reportage précédant l’interview a été balisé de manière spécifique de façon à isoler les paroles des locuteurs.
Un header a été conçu selon les recommandations du Consortium CAHIER. Une fois le texte encodé, il est publié sur la plateforme Ortolang et sur le site EMAN. Ortolang concerne davantage l’accès et le téléchargement de fichiers xml alors qu’EMAN est plus tourné vers l’édition numérique.
Par souci de conformité à la publication originale dans la presse, ont été conservés les rubriques, les titres, les intertitres ainsi que les questions du journaliste et le nom de ce dernier lorsque l’article est signé. La signature a été respectée comme lors de la parution initiale : patronyme (Jules Huret, Paul Belon), pseudonyme individuel ou collectif (Tout-Paris), initiales ou non signé. Quand il s’agit d’une réponse écrite de l’écrivain, l’article est non signé. Dans le cadre d’une enquête ou d’une double interview, l’intégralité de l’article a été conservée ; le texte peut être consulté de différentes manières (« item relations »). Dans ce cas, il est possible de rechercher par titre de journal ou nom d’auteur selon le domaine considéré.
Lorsqu’une interview a été reprise par d’autres journaux, elle n’a pas été retenue, notre souci ayant été d’être les plus fidèles à la publication originale. En outre, nous avons fait le choix de ne pas retenir des textes qui auraient été republiés à l’occasion de la mort d’un écrivain par exemple.
";"Genre poreux de l’interview
La labilité du genre peut être mesurée à partir d’un modèle canonique de référence. Cependant, cette structure, loin d’être la plus représentative du corpus, offre le plus souvent une pluralité de discours susceptibles de brouiller l’interview elle-même. La « morphologie » de l’interview, pour reprendre les termes de Jean-Marie Seillan, obéit à un découpage que l’on peut opérer de la manière suivante : justification de la rencontre avec l’écrivain, déplacement de l’interviewer, description du lieu de l’entretien, salutations, portrait de l’écrivain, entretien proprement dit, remerciements et prise de congé.
C’est pourquoi l’interview emprunte une palette de modalités particulières qui rendent délicates les délimitations génériques. Élément hétérogène, l’interview l’est aussi en raison de son hybridité congénitale.
La « responsabilité partagée » entre interviewer et interviewé fait du texte un espace singulier où la parole retranscrite, en même temps qu’elle éclaire la personnalité et les prises de position du romancier, est toujours sujette à caution.
Invariants
Nous avons retenu une conception assez large de l’interview : restitution de l’oralité ; brièveté et immédiateté.
L’interview suppose qu’il y ait à la fois échange verbal entre le journaliste et l’écrivain visant à recréer les conditions de l’oralité et que le fruit de cette rencontre soit rapporté de façon rapide, mimant ainsi l’impression d’un discours spontané.
L’interview suppose également un échange avec l’interviewé dont la restitution doit être rapide. La visite au grand écrivain prend du temps et sa restitution ne correspond pas toujours au rythme frénétique de l’interview publiée dans le quotidien. Cette dernière est elle aussi soumise aux contraintes du journal.
En dehors des réponses écrites à l’occasion d’enquêtes, la publication de l’entretien a lieu entre un et quelques jours après la rencontre avec le romancier.
Borne temporelle 1850-1914
Les écrivains sont les stars de l’époque. Jules Verne est l’un des premiers interviewés mais le genre triomphe véritablement dans le dernier quart du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Il nous a paru évident de fixer une borne temporelle qui s’étende jusqu’à la veille de la Première Guerre Mondiale, marquant la fin de ce long XIXe siècle.
L’objectif de cette collection d’interviews ne saurait tendre à l’exhaustivité. Dans la mesure du possible, notre volonté première consistait à établir un échantillon représentatif par auteur en fonction des journaux les plus à même de recueillir la précieuse parole de l’écrivain.
Work in progress
Le but est plutôt d’inciter à accueillir sur le site d’autres interviews d’écrivains pour enrichir le corpus. Pour le moment, la plupart des journaux proviennent de la presse parisienne ; quelques-uns sont issus de la presse étrangère. Les enrichissements ultérieurs peuvent porter sur d’autres journaux et revues. De plus, des interviews dans une autre langue que le français ont vocation à figurer sur le site à condition d’en avoir la traduction et la transcription en français.
Nous encourageons tous les contributeurs intéressés par les interviews d’écrivains à proposer de nouveaux corpus.
Les conditions :
-
Répondre au genre de l’interview ;
-
Interviews originales
-
Correspondre à la période considérée (1850-1914) ;
-
Se limiter aux hommes et aux femmes de lettres.
";"L’interview, un genre populaire en son temps
Au XIXe siècle, la diffusion littéraire a été opérée de manière principale par la publication périodique. Libéralisation de la presse, évolution des technologies, lectorat de plus en plus nombreux et demande culturelle font que le journal constitue à l’époque un support médiatique incontournable pour les écrivains. Dans la presse quotidienne, c’est le genre de l’interview qui va modifier de façon considérable la représentation sociale de l’homme de lettres.
La fin du XIXe siècle consacre l’interview en tant que genre à la mode si on la définit d’emblée comme l’entretien d’un journaliste avec une personne dont il veut recueillir les propos afin de les faire connaître au public. En effet, à l’heure où la démocratisation du lectorat passe par l’essor du journal, l’entretien d’un journaliste avec une personne célèbre intéresse le lecteur, déjà captivé par l’existence des personnalités contemporaines.
Bien souvent, l’interview fait la une de la presse, imitant en cela les journaux américains qui l’ont depuis longtemps popularisée. Par exemple, Le Matin fondé en 1884, suivi par L’Éclair en 1889, publient des interviews quotidiennement, dans la ligne éditoriale de leurs modèles anglo-saxons.
Un travail de recherche inédit et en réseaux
Pourtant, pendant longtemps, l’interview a subi une véritable éviction des études littéraires en raison de la défiance envers une parole « douteuse » car rendue par le truchement du journaliste. Par rapport à l’œuvre fictionnelle de l’écrivain ou à sa correspondance, l’interview était considérée comme un genre mineur sans intérêt.
Néanmoins, depuis une trentaine d’années, plusieurs chercheurs ont commencé à s’intéresser à l’interview d’écrivain. Après les recherches pionnières menées par Dorothy Speirs et Dolorès Signori sur Zola dans les années 1980-1990, des interviews de Jules Verne, de Stéphane Mallarmé et de Huysmans ont été éditées entre 1995 et 2002. En 2004 sont publiés les actes d’un colloque entièrement consacré au genre de l’interview d’écrivain.
À partir d’un travail initial mené à partir des interviews d’Alphonse Daudet (2018), est né le désir de poursuivre ce travail avec les entretiens de Zola. Le site Entretiens d’écrivains dans la presse (1850-1914) se donne ainsi pour objectif de constituer un réservoir d’interviews dont les thématiques se rejoignent (Académie, Affaire Dreyfus, Boulangisme, Naturalisme…), permettant ainsi d’établir une véritable cartographie littéraire.
";"XIXe siècle";;"Hirchwald, Gabrielle (ATILF (UL/CNRS)) et Macke, Jean-Sébastien (ITEM)";;"À titre d’exemple, nous proposons l’accès à deux notices issues d’un même entretien accordé par Alphonse Daudet et Émile Zola à Marcel Hutin, pour le journal Le Gaulois du 1er février 1897 :
La source se trouve sur Gallica :
";interviews;"Documents imprimés";"Entretiens d'écrivains dans la presse (1850-1914)";;"Le projet propose une transcription pour la quasi-totalité du corpus. Chaque interview propose un fichier en xml avec un certain nombre de balises (noms de personnes, noms de lieux, titres d’œuvres…).
";;"Le corpus initial est composé d’interviews d’Alphonse Daudet et d’Emile Zola triés par journaux. Il comprend plus de 600 entretiens avec pour chacun une fiche de présentation, l’interview en mode image et sa transcription. Par la suite, ce corpus sera étendu à d’autres écrivains.
";"Gabrielle Hirchwald (ATILF (UL/CNRS)) & Jean-Sébastien Macke (ITEM), projet Entretiens d'écrivains dans la presse (1850-1914) ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";RAS
49;https://eman-archives.org/Lesuire;"Lesuire, Robert-Martin";;France;2018-07-30;2021-02-11;;"Ce projet vise à la valorisation d’un fonds d’archives inédites de l’écrivain Robert-Martin Lesuire (1736-[1815]). Il s’agit de compléter la connaissance de l’œuvre de cet homme de lettres surtout connu par ses romans par une diffusion et une transcription de dizaines de ses manuscrits, touchant à tous les genres : pièces de théâtre, poésies, romans, autobiographie et mémoires, chansons.
Par ailleurs, dans une perspective génétique, cet ensemble constitue un corpus original pour une analyse des pratiques d’écriture en phase avant-textuelle et des modalités de diffusion des écrits à côté des circuits des imprimés.
Le site propose donc un fac-simile du manuscrit et sa transcription.
";;Poésie;Français;https://eman.hypotheses.org/1276;;;;"Traitement des manuscrits :
-Numérisation de tous les fonds, intégralement (pages vierges également) et dans l’ordre de conservation tel qu’il nous est légué aujourd’hui. La numérisation se fait par doubles pages. Elle permettra ainsi une consultation numérique au plus près d’une consultation papier, en salle. Un découpage page par page est également possible pour faciliter une lecture du manuscrit parallèle à celle de la transcription.
-Classement raisonné des archives. Le principe consiste à tenir compte à la fois de la nature matérielle de l’archive (= conservation des fonds dans différents lieux et respect de l’héritage reçu) et de sa nature textuelle (= appartenance à des codes et des canons académiques qui renvoient à la réalité vécue par l’écrivain). Les manuscrits sont donc présentés selon un double classement simultané : par type et genre de documents (théâtre, roman, autobiographie, documents biographiques, non attribués à Lesuire…) qui portent le titre de « Collection » puis, pour la catégorie la plus foisonnante, celle du théâtre, par lieux de conservation avec le titre de « Sous-collection ». Aucun classement chronologique n’est possible car les indices de datation sont extrêmement rares.
-Transcription. L’objectif de ce travail de transcription est double : il permet à la fois une lecture facilitée du manuscrit pour les lecteurs qui le souhaitent et une recherche par mots clés. Il proposera donc une transcription modernisée et une transcription semi-diplomatique.
-Balisage de type génétique. Ce balisage visera au repérage des procédures génétiques telles que les ratures, les ajouts, les déplacements etc.
-Annotations. Des notes ou des liens seront parfois nécessaires à la contextualisation de certains manuscrits et de leur contenu.
Rendu :
-L’architecture générale du site est conçue selon une hiérarchie de collections et sous-collections par genres ou types de textes et par lieux de conservation.
À l’intérieur de chacune, se trouvent les notices, une notice correspondant à un texte. Des liens de type génétique peuvent être établis entre certaines des notices.
Enfin, chaque notice est composée d’autant de fichiers numériques qu’il existe de feuillets papier.
-Chaque notice comprend l’ensemble des vues des feuillets composant le texte ainsi que sa description (auteur, date, titre, source, édition, éventuellement relation génétique avec d’autres textes, format, langue, type, contributeurs, droits).
Chaque fichier comprend une vue du feuillet manuscrit papier et sa transcription diplomatique éventuellement annotée.
";"Les manuscrits présentés ici proviennent de deux fonds d’archives inédites de et autour de Robert-Martin Lesuire (1736-[1815]), homme de lettres et secrétaire à la cour de Parme de 1764 à 1773. L’ensemble du premier fonds regroupe quarante-sept pièces de théâtre, une autobiographie, un roman épistolaire, deux confessions apocryphes, un recueil de chansons de Lesuire et de ses proches. L’ensemble du second fonds est composé de deux chapitres liminaires d’un roman inédit, de cent-six pièces de théâtre, d’un cahier de notes et anecdotes, de poèmes et de chansons de Lesuire et de proches, de documents biographiques certains ayant appartenu à Lesuire et d’autres du XIXe siècle décrivant la provenance du fonds.
";"Objectifs :
La valorisation de ce fonds se fera par trois moyens :
-Diffuser.
Il s’agit de rendre visible pour le plus grand nombre ce fonds d’archives manuscrites inédites et d’en permettre une consultation aisée en tout lieu et à tout moment. C’est pourquoi a été privilégié l’accès à l’intégralité du fonds, avec le souci de rester au plus proche de l’état de conservation actuel tel que nous en avons hérité.
- Faire connaître.
Robert-Martin Lesuire est un homme de lettres prolixe, auteur de nombreux romans et suites romanesques. Ces œuvres de fiction présentent un intérêt autant pour les sujets traités au regard de la période pré-révolutionnaire et révolutionnaire où elles se situent que pour les formes narratives qu’elles explorent : la suite, le cycle, le feuilleton, le roman noir. C’est donc un auteur et une œuvre qui méritent d’être reconsidérés. C’est pourquoi la découverte d’un pan entier de son œuvre jusqu’ici inconnu, comprenant autobiographie, pièces de théâtre, confessions apocryphes, chapitres liminaires de roman, est précieuse.
-Étudier.
La numérisation des manuscrits d’une part, la transcription et l’encodage TEI d’autre part fournissent des instruments permettant l’accès immédiat aux pratiques d’écriture de l’écrivain. Sont ainsi donnés à observer et analyser les états et les étapes du texte, le statut du manuscrit – brouillon, avant-texte définitif, variante d’un texte définitif imprimé ou non, exemplaire de diffusion dans des cercles de sociabilité… –, le travail d’écriture dans le détail des ratures comme dans le processus global de création.
Enjeux :
Les enjeux sont de plusieurs ordres :
-patrimoniaux.
La connaissance du patrimoine et la facilitation de son accès relèvent d’un enjeu citoyen et démocratique. La numérisation des archives constitue un des outils de ce processus.
-scientifiques.
Ce projet s’inscrit dans les travaux de l’équipe « Écritures des Lumières » de l’ITEM dont le premier des objectifs est de faire émerger les manuscrits du XVIIIe siècle trop souvent ignorés, puis d’interroger leur place dans les pratiques de l’époque. Sur le plan de l’histoire littéraire, la mise au jour de ce fonds permettra une connaissance renouvelée de l’auteur et de son œuvre et complètera nos acquis sur les genres littéraires.
-pédagogiques.
Des activités pédagogiques pourront être envisagées autour des manuscrits d’écrivains ou autour des pratiques des réécritures ou d’écriture sérielle, puisque Lesuire réécrit des pièces de Corneille, reprend les personnages de la trilogie de Beaumarchais dans des suites théâtrales.
";"XVIIIe siècle (essentiellement)";;"Obitz-Lumbroso, Bénédicte";;"Fonds 1 : bibliothèque municipale Albert Legendre de Laval. Fonds 2 : Archives départementales de la Mayenne à Laval. Très bon état de conservation général.
";"Archives manuscrites";"Documents manuscrits";"Connaissez-vous Lesuire ? Robert-Martin Lesuire, un écrivain des Lumières à découvrir";"Robert-Martin Lesuire, un écrivain des Lumières à découvrir";"Transcription modernisée + transcription semi-diplomatique pour les œuvres relevant de genres littéraires et de volume conséquent (pièces de théâtre, romans, confessions).";;"Environ 2500 feuillets";"Bénédicte Obitz-Lumbroso, Institut des Textes et Manuscrits modernes, CNRS-ENS ; Projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle)";"Fonds 1 : manuscrits. Huit volumes reliés au XIXe siècle de formats in-octavo, les feuillets qui les composent sont parfois de format inférieur.
Fonds 2 : manuscrits. Feuillets isolés ou bien pliés en cahier ou encore cousus ou épinglés. Ils sont de formats très variables. L’auteur a parfois utilisé le verso de lettres ; on peut trouver des comptes en marge ou au dos de certains feuillets ; parfois encore ont été effectués des collages. Ces feuillets sont conservés en liasses en huit chemises.
"