Godin avertit Van Gennip qu'il doit changer les conditions des affaires que son usine de Laeken fait avec lui. Il l'informe qu'il traitera uniquement les affaires que Van Gennip prendra à son compte au prix du nouveau tarif, et qu'il cesse de lui verser 100 florins pour sa représentation aux Pays-Bas des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Godin informe Van Gennip qu'il a relu la correspondance entre lui et l'usine de Laeken : il n'a jamais été question d'un accord pour 10 ans ; il lui a été indiqué en février 1863 que la maison Godin-Lemaire ne participerait pas à l'établissement de son nouveau local ; Van Gennip a vendu en 1862 439,88 F de marchandises et a reçu 233,49 F de Godin-Lemaire, soit 50 % des ventes. En outre, Godin fait remarquer que les appointements de Van Gennip de 100 florins sont pour lui une ruine. Godin lui accorde une remise de 6 % sur le prix du tarif s'il veut continuer à vendre ses produits pour son propre compte ; il demande la restitution des appareils en dépôt chez Van Gennip.

Godin annonce à Van Gennip que Vigerie, son « principal employé » va profiter d'un voyage à Bruxelles pour se rendre à Amsterdam pour régler la restitution du dépôt de marchandises et solder le compte de Van Gennip.

Godin demande à Van Gennip de remettre à Coquenet et Van Heusden toutes les marchandises de la maison Godin-Lemaire.

Godin répond à la lettre de Van Gennip du 18 août 1863 : il lui indique que Coquenet et Van Heusden sont autorisés à prendre les marchandises Godin-Lemaire déposées chez lui.

Godin autorise monsieur André à donner quittance définitive de sa créance à Van Gennip contre la remise de 685 F.