Émile Godin regrette de ne pouvoir envoyer à Duprez de meilleures photographies du Familistère car il n'existe pas de photographe habile à Guise. Il lui envoie trois des moins laides avec son portrait photographique et souhaite obtenir celui de Duprez et celui de sa femme à son prochain voyage. Il lui annonce l'envoi d'un rouleau contenant « une douzaine des plus beaux morceaux que je possède ». Dans le post-scriptum, il remercie Duprez de lui avoir envoyé des grives.