Sur l'élection législative de 1867. Godin fait part à Favre du vif désappointement du comité électoral à l'annonce de la décision d'Odilon Barrot de ne pas être candidat à l'élection. Le comité électoral de Guise veut tenter de le convaincre tout de même. Il explique qu'Odilon Barrot a eu tort de se renseigner sur la situation auprès de Chenest : Caudron et Debrotonne, dont parle Barrot, sont morts et l'industriel Chenest est aveugle. Godin fait valoir que Foucamprez s'est mis à la tête du mouvement dans le canton de La Capelle et que ce dernier accompagnera Lefèvre à Hirson. Il veut croire qu'Odilon Barrot sera élu au premier tour ou sera au moins en ballotage. « Dites-lui que l'on montait sur les tables aujourd'hui à [mot illisible] sous grains pour acclamer sa candidature. »