À propos de l'accueil au Familistère de personnes recommandées. Savardan est embarrassé par la lettre de Godin du 22 novembre 1866 sur le sujet. Godin lui fait à nouveau part de ses réticences à accueillir des personnes recommandées car les relations avec elles s'en trouvent affectées. Godin n'est pas libre à leur égard et elles manquent d'engagement. Sur Alphonse Latron : « Eh bien Latron me fait aujourd'hui l'effet d'un homme qui se trouve rivé au Familistère. » Godin juge que Latron manque d'initiative et se laisse conduire par le bout du nez par le marmiton. À propos d'un vol. Godin pense que Latron n'est pas satisfait de la fonction qui lui a été confiée à l'usine, qu'il a des peines de cœur. Il indique aussi que le service fait par sa femme au casino laissait beaucoup à désirer avant qu'il ne lui fasse remarquer. Godin invite Savardan au Familistère.