FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 27 avril 1860
Godin annonce à Émile qu'il adresse sa lettre à Marquise chez monsieur Dewailly, directeur et associé de Pinart et Cie, fournisseur de fonte des Fonderies Godin-Lemaire. Il l'invite à visiter les hauts-fourneaux et fonderies Pinart et Cie, une importante maison qui a commencé en industrie à peu près en même temps que lui. Il demande à Émile de rappeler à Dewailly que celui-ci avait promis de lui fournir les plans de ses fourneaux de seconde fusion et de le prier de lui en donner les dimensions. Il souhaite qu'en arrivant à Calais, Émile aille voir Dewailly, parent du directeur de Pinart et Cie, à qui il faudra demander s'il a des bois de sapin à leur convenance. Godin souhaite qu'Émile consulte également les autres marchands de bois. Il indique qu'il ne veut plus acheter de feuillets chez Trystram et Crujeot à Dunkerque sans les avoir vus auparavant. Il précise à Émile les dimensions des feuillets en sapin rouge de première qualité qu'il souhaite obtenir. Il souhaite qu'Émile visite les magasins de bois de Calais et de Dunkerque de Trystram et Crujeot pour se rendre compte de la qualité de bois dont ils disposent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 juillet 1868
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin accuse réception de la lettre d'Émile Godin du 7 juillet 1868 envoyée de Middlesbrough. Il l'informe qu'il confirme l'importation de 380 tonnes de fonte dont Émile a demandé l'achat par son télégramme du 8 juillet. Il lui signale que monsieur Blanchard lui a écrit poste restante à Calais pour lui communiquer les noms des commissionnaires-expéditeurs et agents des douanes relevés dans l'Almanach du commerce : Morny père et fil, Boutel et Darquer, commissionnaires-expéditeurs ; Lebeau et Cie, agent en douane ; Le Do Arsène, transiteur. Il précise qu'il ne connaît que monsieur Vandroux. Il lui demande de télégraphier s'il ne se trouve pas à Calais au moment de l'arrivée du vapeur pour savoir à qui confier les opérations de douane. Il regrette qu'Émile n'ait pas plus de temps pour approfondir sa connaissance des sujets qui les intéressent en Angleterre. Sur les maisons de production de fonte en Angleterre : il existe 110 hauts-fourneaux autour de Middlesbrough qui n'appartiennent pas tous au même propriétaire et qu'il faudrait visiter. Il recommande à Émile de boire de la bière Pale Ale si la viande l'échauffe. Sur une affaire à mener par Émile à Calais. Godin fait observer à Émile que le transport par bateau à voiles est moins cher que le transport par bateau à vapeur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 16 juillet 1869
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin remarque que les lettres envoyées d'Angleterre par Émile arrivent à Guise avec retard. Il se réjouit qu'Émile parvienne à acheter de la fonte. Il souhaite qu'il trouve à en acheter de bonne qualité dans le Cumberland car cette fonte est indispensable pour donner de la résistance à celle de Middlesbrough. Sur des mélanges de fonte de qualité inférieure ordonnés par Émile avant son départ : Godin lui indique que la fonte de Cleveland est elle-même mélangée, mais qu'il arrive parfois des lingots très serrés qui font des pièces dures ; il signale qu'il a fait arrêter la fonte de Pinart et d'autres fournisseurs mais que les éprouvettes sont encore dures, et qu'il y a plus de casse dans les pièces qu'auparavant. Il informe Émile que la Compagnie du Nord ne demande pas moins de 8,30 F pour transporter une tonne de fonte de Calais à Bohain, que monsieur Pauwels a un pouvoir pour 500 tonnes et que Gillian Schmit a envoyé 200 tonnes. Godin fait observer à Émile qu'il pensait qu'Émile avait demandé à Trystram et Crujeot de faire entrer de la fonte [en France]. Il l'avertit qu'il part le dimanche suivant à Metz et qu'Eugène André est à Guise. Il lui fait part de son espoir que l'émaillage va s'améliorer et lui annonce qu'ils ont trouvé le moyen de supprimer le plomb. Il transmet ses amitiés à monsieur et madame Pagliardini.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 novembre 1870
Sur l'échange de lettres entre Godin et son fils. Godin demande à Émile comment va son mal de jambe et la fatigue de ses pieds et lui conseille de soigner sa blessure. Godin décrit à Émile les essais d'un four à verre. Sur le bombardement de La Fère et sa reddition : la reddition de la place va, selon Godin, rendre impossible le transport de la fonte par bateau à partir de Calais ; le transport sera également difficile par chemin de fer jusqu'à Bohain. Il l'informe que le père Parmentier lui demande de vendre les plus mauvais chevaux.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 25 février 1857
Godin annonce à Brullé qu'il lui expédie une caisse par le chemin de fer à partir de Valenciennes. Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Brullé qu'il ne peut croire que les fontes anglaises n° 1 valent les fontes belges n° 1 et surtout celles de Hourpes. Sur le prix de la fonte de Hourpes.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 4 août 1860
Dolot communique à Godin une lettre de Bolkow et Vaughan de Middlesbrough pour leur faire réponse et l'avertit que Jacques-Nicolas Moret lui a signalé qu'il n'y a plus de fonte Cleveland à Guise. Il lui rappelle que monsieur Vendroux, commissionnaire en douane à Calais, est chargé de la réception de la fonte de Bolkow et Vaughan. Sur la pénurie de marchandises à l'usine de Guise : Dolot rappelle à Godin sa lettre du 4 mai 1860 indiquant qu'une désorganisation des ateliers allait produire une pénurie, mais lui explique qu'il ne pensait pas qu'elle surviendrait aussi vite et sur les modèles nouveaux comme le lui a signalé monsieur Lemaire ; il incite Godin à donner des ordres fermes pour que la fabrication permette de répondre aux commandes : « Si je me permets ces quelques observations, c'est que mes intérêts aussi bien que les vôtres souffriront d'un semblable état de choses et qu'il me serait extrêmement désagréable d'avoir une rétribution inférieure à celle de l'année dernière après le surcroît de travail et les relations aussi pénibles qui m'auront été imposées cette année. » Le post-scriptum est relatif à la fourniture de meules par Essig ou par Picard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Vandroux, 21 février 1861
Godin avertit Vendroux que son fils se rend à Calais pour acheter du bois et il lui demande de le conseiller. Il évoque le transport de ce bois et suggère de profiter d'un bateau de fonte lui arrivant d'Angleterre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow et Vaughan, 27 mars 1861
Godin informe Bolckow et Vaughan qu'il a donné ordre à Masson de Londres de payer leur facture du 22 février. Sur une expédition de fonte à Dunkerque et à Calais.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Trystram et Crujeot, 31 mars 1861
Godin demande à Trystram et Crujeot s'ils peuvent se charger des opérations de douanes pour un approvisionnement en fonte arrivant d'Angleterre au port de Dunkerque. Il leur indique qu'il a préféré jusqu'ici le port de Calais à celui de Dunkerque à cause des meilleures conditions qui lui sont faites et il leur demande à quelles conditions ils le fourniraient d'une grande quantité de bois de sapin du nord. Sur le chemin de fer : il informe Trystram et Crujeot que la ligne de chemin de fer de Dunkerque à Strasbourg est soumise à enquête ; il leur transmet un exemplaire de trois mémoires qu'il a rédigés sur la question du chemin de fer et leur demande de les porter à la connaissance de personnes intéressées à la prospérité de Dunkerque, comme le maire Mollet et le président de la chambre de commerce Féron à qui ils ont déjà été envoyés ; il leur signale enfin que la ville de Cambrai s'est prononcée en faveur du tracé du chemin de fer par Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Boittelle, 14 juin 1861
Sur le tracé du chemin de fer dans le Nord et l'Aisne. De retour de Paris, Godin explique à Boittelle qu'il est urgent que les représentants des intérêts houillers du Nord et du Pas-de-Calais se concertent pour adresser au gouvernement leurs griefs sur les prétentions de la Compagnie du chemin de fer du Nord. Il juge que les députés du Nord (« vos députés ») croient utile de soutenir le tracé de la Compagnie du Nord plutôt que celui par Guise dans l'espoir d'obtenir le prolongement jusqu'à Lille. Godin évoque ses rendez-vous manqués à Paris avec Boittelle, chez lui ou à l'hôtel de Godin, et il relate la séance de la veille du Conseil des ponts et chaussées ajournée du fait du député Godard-Desmarest. Godin incite Boittelle à mettre à profit ce délai pour faire ses observations au Conseil des ministres ou directement à l'Empereur : « L'Empereur s'est déjà occupé de la question et je pense qu'il est de la plus grande utilité de donner des armes au gouvernement pour lutter contre la puissance de Rothschild. Et les armes du gouvernement c'est la volonté des populations. » Godin pense que le gouvernement est favorable au tracé par Guise et que le soutien des houillères que Boittelle représente peut lui être utile pour s'opposer à la volonté de Rothschild. Il rappelle que le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord serait au seul bénéfice des charbonnages belges au détriment des intérêts locaux et des houillères françaises. Godin analyse le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord et conclut qu'il serait préjudiciable à l'industrie houillère dans son ensemble.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow et Vaughan, 14 juillet 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande l'expédition à Calais de 500 tonnes de fonte. Il rappelle à Bolckow et Vaughan qu'il souhaite qu'ils lui fournissent une fonte de qualité supérieure à la fonte livrée, quitte à la payer un peu plus cher.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Bailey Brothers et Cie, 22 septembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Bailey Brothers et Cie s'ils peuvent lui expédier à Calais deux bateaux de 100 à 200 tonneaux chargés de fonte de moulage n° 1.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 3 octobre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Bailey Brothers et Cie qu'il a acquis cette année plus de 2 000 tonnes de fonte auprès de Bolckow et Vaughan et qu'il a payé la marchandise à leur maison de Londres sitôt les bateaux arrivés à Calais. Il demande à Bailey Brothers et Cie s'il peut faire de même avec eux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow, Vaughan et Cie, 23 octobre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin réitère les observations faites dans sa lettre du 15 octobre sur les livraisons excessives de fonte de la part de Bolckow et Vaughan, qui ont pensé devoir livrer 200 tonnes par semaine et non 200 tonnes par mois comme il le souhaitait. Il indique qu'en raison du manque de bateliers à Calais, 300 tonnes s'y trouvent qu'il ne peut faire transporter à Guise. Il demande à Bolckow et Vaughan de suspendre leurs expéditions. Il leur rappelle que leurs dernières expéditions doivent être faites de lingots plus petits et qu'il en fera venir à Guise par chemin de fer pour juger de la qualité de la fonte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Henri Dupont, 9 novembre 1861
Godin demande à Dupont dans quel délai et à quel prix il pourrait lui livrer des pièces de bois dont il dresse la liste. Godin pense que l'importance de la commande permettrait de charger le bois dans un port de la Baltique et le décharger à Calais directement sur un bateau pour Guise sans passer par ses ateliers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow, Vaughan, 15 novembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies Godin-Lemaire. Godin informe Bolckow et Vaughan qu'il a fait l'essai de la fonte qu'il a fait transporter par chemin de fer et que les résultats ne sont pas satisfaisants. Godin ne comprend pas pourquoi il paye plus cher cette fonte de moindre qualité que celle expédiée précédemment. Il leur annonce qu'il va faire transporter de la fonte de Calais pour leur donner son appréciation définitive.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow et Vaughan, novembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies Godin-Lemaire. Godin confirme à Bolckow et Vaughan qu'il a fait un essai de la fonte qu'il a fait transporter de Calais par chemin de fer et que les résultats montrent qu'elle est de qualité inférieure à la fonte livrée par les premiers bateaux. Après que Bolckow et Vaughan lui ont assuré que les essais qu'il leur a recommandé de faire ont été concluants, il a songé à faire venir un nouvel échantillon de fonte, mais le chargement a été expédié par les canaux et il est obligé d'en attendre la livraison pour réformer son jugement s'il y a lieu. Godin leur fait part de son inquiétude et leur annonce qu'il ne veut plus recevoir de fonte tant que sa qualité n'a pas été vérifiée. La fin de la lettre porte sur le paiement de traites de Bolckow, Vaughan et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers, 7 décembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin accuse réception de l'échantillon de fonte de Bailey Brothers et Cie, dont il a été satisfait, et accepte la livraison de 500 tonnes de cette fonte n° 1 très résistante et douce à la lime au prix de 4 livres la tonne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Bailey Brothers et Cie, 6 janvier 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Bailey Brothers d'expédier un bateau de fonte à Calais et d'en faire l'assurance. Dans le post-scriptum Godin demande à Bailey Brothers de lui communiquer des renseignements sur les lieux d'approvisionnement en fonte en Angleterre pour fabriquer de la fonte malléable, et il mentionne les marques Lornn et Cox.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 11 mars 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin annonce à Bailey Brothers et Cie qu'il n'a pas reçu l'avis d'arrivée du bateau le Sarah à Calais. Il demande qu'on lui fasse expédition de 125, voire 150 ou 175 tonneaux de fonte. Il remercie Bailey Brothers pour les renseignements sur la fonte Lornn, leur rappelle qu'il en attend sur la fonte Cox, et leur demande s'ils peuvent lui fournir quelques tonneaux de fonte malléable.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 25 mars 1862
Godin répond à la lettre de Bailey et Cie l'informant du prix de leur fonte à 4 100 livres la tonne franco à bord à Newport en leur demandant d'affréter un bateau pour Calais chargé de bonne fonte de moulage n° 1.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Germain Marie Maxime Desnoyers, 7 mai 1872
Godin explique à Desnoyers qu'il a passé commande à Muller, commissionnaire à Middlesbrough de 2 000 tonnes de fonte en août 1870 et de 600 tonnes le 8 septembre 1871 à livrer à Calais ou Dunkerque, qu'il a reçu 1 607 tonnes, mais que la guerre a interrompu la suite des expéditions. Depuis la fin de la guerre, poursuit Godin, Muller se refuse à livrer le solde de la commande en raison de l'élévation du cours de la fonte, et il cause un préjudice important à son industrie. Godin demande à Desnoyers d'intervenir pour trouver une solution.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Harriet Burton, 10 juillet 1872
Godin avertit Harriet Burton qu'il lui envoie un exemplaire de Solutions sociales qui lui donnera, en vue du voyage qu'elle veut accomplir, une idée plus exacte du Familistère que les articles de journaux. Il lui donne les indications du voyage : arriver à Southampton puis prendre à Douvres le bateau pour Calais, de Calais le chemin de fer pour Saint-Quentin, et de là un omnibus pour Guise. Il lui signale qu'il lui revient de décider si elle doit prendre le bateau à New York.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au chef de l'agence de Nice de la compagnie des wagons-lits , 3 mai 1897
Demande d'information sur le voyage d'Avignon à Paris par le train de luxe Vintimille-Calais : sur les horaires du train qui les lundis et jeudis part d'Avignon à 7 h 44 du soir et arrive à Paris à 8 h 04 du matin ; sur le prix pour 3 places dans un wagon réservé aux dames ; sur la réservation de ces places.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Seydoux, 12 mai 1876
Godin explique à Seydoux que le conseil général de l'Aisne a maintenu la concession de la ligne du Cateau à Hirson et a émis le vœu que le gouvernement et les députés de l'Aisne intègrent la ligne dans le prochain projet de loi sur l'intérêt général des chemins de fer. Sur la ligne du Cateau à Saint-Erme et le message de Plichon [président du conseil général du Nord] à Waddington, président du conseil général de l'Aisne. Godin signale à l'attention de Seydoux de Saint-Vallier, sénateur, Turquet, député, et Waddington, intéressés au sort de la ligne du Cateau à Saint-Erme, que soutient Godin et dont il défend le caractère d'intérêt général. Sur une ligne de chemin de fer d'Amiens à Dijon concédée à la Compagnie du chemin de fer du Nord et à la Compagnie du chemin de fer de l'Est, et sur la ligne de Lille à Dijon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin autorise Eugène André à acquérir 1 000 tonnes de fonte n° 1 et 1 000 tonnes de fonte n° 3. Il l'invite à ne pas subir les exigences de Muller au sujet de ses navires pour le transport de la fonte. Il regrette qu'André ne soit pas allé en Angleterre 3 mois plus tôt pour s'approvisionner à meilleur prix, et il lui demande d'y rester le temps qu'il faudra pour étudier la question. Il lui signale que le port de Calais est tellement encombré qu'il télégraphie à Dunkerque pour savoir si on peut y décharger la fonte de ses navires. Il lui demande enfin de profiter de son séjour pour examiner la question des exportations vers Londres et l'Angleterre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Hodgson Pratt qu'il peut se rendre de Guise à Calais. Il lui communique les horaires de train de Paris à Guise et de Guise à Calais. Il lui confirme qu'il le fera chercher à la gare de Guise le surlendemain et lui précise qu'il mettra à sa disposition un appartement au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du télégramme de Bernardot. Il lui propose d'acheter de la fonte au Comptoir de Longwy plutôt qu'à Bolkow et Vaughan. Il lui demande s'il peut faire transporter 50 tonnes de fonte Cleveland à Calais. Il lui indique qu'il est préférable d'approvisionner l'usine de Laeken par voie d'eau à partir d'Anvers plutôt que par chemin de fer à partir de Terneuzen. À propos d'approvisionnement en fonte n° 1 « avec Bilbao ».
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