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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jacquet-Robillard, 1er mars 1847
Facturation de marchandises et recouvrement de créances. Godin indique qu'il a placé dans l'emballage de la dernière cuisinière livrée un paquet de 50 limes qu'il demande à Jaquet-Robillard de retailler, mais il lui fait remarquer que ses prix sont trop élevés. Godin commande 50 limes en acier fondu de la meilleure qualité, à remettre à Saint-Quentin au voiturier Vaillant, le transport par Cambrai étant trop cher.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélémy Godin, 14 août 1847
Godin envoie à son frère 50 F et lui communique le tarif approximatif des transports de marchandises à destination de plusieurs villes. Il l'informe que l'expertise [dans l'affaire de contrefaçon Degon] a eu lieu la veille, mais que le procès-verbal des experts n'est pas encore connu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Degoix, 29 janvier 1843
Réponse à la lettre de monsieur Degoix en date du 25 janvier 1843. Sur l'achat d'étaux de Cambrai.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame veuve Dubois, 16 octobre [1843]
Annonce l'expédition de deux cuisinières par l'intermédiaire de monsieur Boitte de Cambrai.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jacquet-Robillard, 8 mai [1845]
Expédition et facturation de deux cuisinières de la manufacture Godin-Lemaire. Godin précise qu'en raison de l'augmentation du prix de la fonte, il ne peut consentir une remise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Décamp, 8 mai [1845]
Réponse à une commande du 30 avril 1845 : expédition et facturation de deux cuisinières de la manufacture Godin-Lemaire. Godin consent à céder à Décamp les appareils à un prix inférieur au prix de détail car celui-ci lui a promis de payer à réception des marchandises.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 24 novembre 1870
Godin regrette de ne pas avoir attendu Émile à Busigny où il était allé voir le préfet, car il pensait que la compagnie d'Émile se trouvait à Esquéhéries et qu'Émile ne prendrait le train que jeudi ; aussi est-il reparti quand le préfet lui-même est parti à Lille. Sur la faiblesse de l'effectif des compagnies que les appelés n'ont pas tous rejoint : Émile peut écrire à Busigny au préfet, qui veut faire partir à l'armée les récalcitrants. Godin signale à Émile qu'il pourra voir le préfet à Cambrai et lui demande de le tenir au courant des événements ; il lui fait part de sa satisfaction de le savoir en bonne santé. Sur une expérience de fusion de verre initiée par Émile. Il lui adresse les encouragements de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 29 décembre 1870
Godin signale à Émile qu'il a appris hier au Nouvion que son bataillon serait à Cambrai et que les Prussiens se dirigeraient dans cette direction. Il demande à Émile ce qu'il y a de vrai parmi les rumeurs contradictoires qui circulent tous les jours. Godin estime que la rumeur relative à Cambrai n'est pas plausible car il ne peut y avoir en ce moment que des batailles rangées dans le nord, l'armée du Nord commandée par le général Faidherbe s'y trouvant. Il explique à Émile que c'est le hasard qui décide des événements de la guerre actuelle « et c'est de la somme des courages réunis et de la haine de l'étranger que pourra sortir la délivrance de la France ». Il annonce à Émile qu'il vient de recevoir une lettre de Willermy datée du 22 décembre envoyée par ballon l'informant qu'une action considérable s'engageait à Paris : « Plût à Dieu que nous ayons un grand succès propre à relever les courages français et à jeter la démoralisation chez l'ennemi. » Godin adresse à Émile ses vœux de Nouvel An et lui indique qu'il se trompe en pensant que son bataillon est en disgrâce, car les mesures qui le frappent sont générales.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 17 janvier 1871
Godin indique à Émile qu'il ne doit pas compter sur ses deux chevaux, trop faibles ou trop lourds pour pouvoir être montés. Il conseille à Émile de s'adresser à quelqu'un à Cambrai pour recevoir des leçons d'équitation et à qui il pourrait louer un cheval, voire en acheter un à l'essai avec le conseil d'un maréchal-ferrant. Godin conseille à son fils de ne pas mettre d'éperons en commençant pour ne pas se faire mettre à bas en montant à cheval, faute de placer les talons en dehors. Il lui signale enfin que les marchands de chevaux réputés de Solesmes se rendent toutes les semaines à Cambrai.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gustave Goffard, 5 décembre 1861
Godin répond à Goffard, économe du Familistère qui lui écrit du Familistère, sur les raisons qui le poussent à vouloir se séparer de lui. Godin lui reproche ses manques dans l'organisation de services, manques qu'il a dû pallier par le recrutement d'un comptable, que Goffard accuse à tort de calomnie. Il lui rappelle qu'il lui a proposé un emploi de voyageur de commerce. Il lui signale que des irrégularités, voire des malversations, ont été constatées avec les fournisseurs de marchandises. Godin propose à Goffard de cesser de s'occuper des écritures et de lui remettre la caisse, mais de continuer à s'occuper pendant un mois de veiller à la propreté générale et à l'approvisionnement du restaurant, le temps qu'il trouve un nouvel emploi. Godin l'assure qu'il ne veut pas mener d'enquête et que la question doit pouvoir se régler entre eux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis-Joseph Wallerand, 26 décembre 1861
Godin demande à Wallerand des renseignements sur Boullet, commis dans sa ville, autrefois comptable à la verrerie de Masnières près de Cambrai, et candidat à l'emploi d'économe de la cité ouvrière fondée à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Lebret, 5 mars 1861
Godin explique à Lebret que le décret du 26 juin 1857 a donné espoir à la ville de Guise que le chemin de fer passerait par la ville, mais que la Compagnie du chemin de fer du Nord mène une lutte acharnée contre le projet de tracé passant par Guise et la vallée de l'Oise qui offrirait un débouché aux charbonnages du département du Nord au détriment de ceux du bassin de Mons et donc aux intérêts particuliers de son actionnaire principal. Il indique que la Compagnie du chemin de fer du Nord veut obtenir la concession d'un tronçon vers Maubeuge, tandis que le prolongement de la ligne de Cambrai à Busigny par Guise et la vallée de l'Oise servirait plus utilement les charbonnages de la région de Valenciennes. Il adresse à Lebret deux exemplaires de la pétition et du mémoire adressés au ministre [de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Désiré Besson, 27 mars 1861
Godin reproche à Besson de l'empêcher d'emporter à Cambrai des exemplaires de son travail [sur le chemin de fer]. Il lui indique qu'il croit connaître le motif de cette obstruction et lui annonce qu'il enverra le soir même des exemplaires du mémoire aux membres de la commission d'enquête.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Joly, 29 mars 1861
Godin fait observer à Joly que les pièces en fonte que ses ouvriers ont rapportées ont selon lui été faites selon les usages et qu'il ne peut les prendre à son compte. Il lui adresse un exemplaire broché du mémoire sur le tracé du chemin de fer. Dans le post-scriptum, il lui annonce que la ville de Cambrai est acquise au tracé du chemin de fer par Guise et la vallée de l'Oise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 29 mars 1861
Godin adresse à Émile Collin un exemplaire du mémoire sur le tracé du chemin de fer qui a été déposé à Vervins. Sur la nomination de membres de la commission qui doit se réunir à Cambrai.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Trystram et Crujeot, 31 mars 1861
Godin demande à Trystram et Crujeot s'ils peuvent se charger des opérations de douanes pour un approvisionnement en fonte arrivant d'Angleterre au port de Dunkerque. Il leur indique qu'il a préféré jusqu'ici le port de Calais à celui de Dunkerque à cause des meilleures conditions qui lui sont faites et il leur demande à quelles conditions ils le fourniraient d'une grande quantité de bois de sapin du nord. Sur le chemin de fer : il informe Trystram et Crujeot que la ligne de chemin de fer de Dunkerque à Strasbourg est soumise à enquête ; il leur transmet un exemplaire de trois mémoires qu'il a rédigés sur la question du chemin de fer et leur demande de les porter à la connaissance de personnes intéressées à la prospérité de Dunkerque, comme le maire Mollet et le président de la chambre de commerce Féron à qui ils ont déjà été envoyés ; il leur signale enfin que la ville de Cambrai s'est prononcée en faveur du tracé du chemin de fer par Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 14 avril 1861
Godin informe Collin qu'il a envoyé trois exemplaires du mémoire sur le chemin de fer à monsieur Dumesnil (?). Il évoque un voyage de Collin à Douai relatif au tracé du chemin de fer. Il explique à Collin que la Chambre de commerce de Lille est favorable à un tracé direct sur Valenciennes et Landrecies et considère que le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord sert ses vues. Il relate son voyage à Dunkerque où il a assisté à une séance de la Chambre de commerce sur le sujet. Il indique qu'il espère que celle-ci n'adoptera la résolution de la Chambre de commerce de Lille « qu'autant que la Cie du nord s'engagerait à exécuter le chemin de Landrecies jusqu'à Lille » et que dans le cas contraire, elle donnera sa préférence au tracé par Guise. Godin résume la situation en exposant qu'il existe deux partis dans le Nord : celui favorable au tracé direct de Lille à Mézières et l'autre, composé de Cambrai, Douai et des charbonnages du Pas-de-Calais et du Nord, favorable au tracé par Guise. Il ajoute que « notre président » est bon juge pour déterminer le moment opportun de se rendre à Paris, et que Wallerand va stimuler la commission à Cambrai. Il exprime finalement son désir de voir la fin de l'affaire pour ne plus avoir à s'en occuper.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 8 mars 1862
Sur le tracé du chemin de fer par Guise. Godin informe Collin que le Conseil d'État doit se prononcer le 11 mars sur le tracé du chemin de fer, mais qu'en raison de ses affaires, il ne rejoindra Chenest à Paris que si nécessaire. Il lui indique que les gens de Cambrai se rendront également à Paris et qu'il pourrait lui aussi y retrouver Chenest au 23 rue des Jeûneurs dans la maison de commerce de Bernoville frères.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret répond en l'absence de Godin à mademoiselle Cazé qui présente une note de frais de voyage de 25,40 F pour elle et sa mère. Marie Moret fait observer qu'elles auraient mangé à Cambrai comme à Guise et qu'ainsi les frais de nourriture ne devraient pas être pris en compte, pas davantage que les frais de voyage de la mère de mademoiselle Cazé qui s'était même offerte le 29 août dernier de venir à Guise sans que ses frais soient payés. Marie Moret lui adresse cependant un mandat postal de 10,40 F en plus de ses frais personnels dont elle a été indemnisée.

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