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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Guillon ou Ferdinand Guillon, 4 mai 1853
Réponse à une lettre de Guillon du 25 avril 1853 demandant des renseignements sur des travaux d'irrigation et de drainage dans l'Aisne. Godin communique à Guillon les informations obtenues auprès de la préfecture de l'Aisne : le conseil général s'est peu occupé de la question ; les ingénieurs à Laon et à Vervins n'ont fait que commencer des études hydrauliques ; rien n'a été entrepris par aucune compagnie ; quelques propriétaires privés sont disposés à s'occuper de l'amélioration de leurs terres par leur assèchement ; certains s'occupent d'assèchement de marais près de Laon, dans la Somme ou à Saint-Quentin. Godin est prêt à fournir d'autres renseignements à Guillon : « J'ai désiré et désire encore que les phalanstériens soient un peu moins civilisés dans leurs échanges de services. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Azambre, 14 juin 1848
Godin demande à l'huissier Azambre d'intervenir pour que Fiévet-Grain lui paie la somme de 373,35 F qu'il lui doit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 3 décembre 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. À propos des dommages et intérêts réclamés par Godin à l'encontre de Degon. Godin indique avoir réalisé un chiffre d'affaires de 108 000 F l'année précédente et qu'il est en mesure de présenter sa comptabilité au tribunal de Vervins. Il affirme qu'il a subi un préjudice d'au moins 20 000 F, bénéfice qu'il aurait fait en cédant une partie de ses brevets pour la fondation d'un établissement dans le Midi de la France. Il mentionne ensuite le détournement de sa clientèle par Degon, qui, en tant qu'ancien ouvrier des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, a pu connaître ses clients dans les départements de l'Aisne, du Nord, de la Somme, de l'Oise, de la Seine et de la Marne, et leur proposer ses marchandises contrefaites. Godin craint que si le procès ne lui donne pas clairement raison, les contrefacteurs de ses produits se multiplieront. Parmi les préjudices que lui cause l'affaire, se trouvent également le temps que Godin n'a pas consacré à ses affaires et l'argent déboursé pour les voyages ou les expertises, au moins 1 200 F. La loi considère principalement comme préjudice la valeur de la marchandise contrefaite, que Godin estime à 22 080 F, correspondant à la valeur de 80 cuisinières et poêles saisis chez Degon, et l'estimation de la marchandise fabriquée par Degon à partir de la quantité de fonte qu'il a acquise en Belgique. Godin informe Oudin-Leclère que le président du tribunal de Vervins lui a donné connaissance de la lettre de l'expert Bouchez qui lui est défavorable.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Wagret fils, 2 janvier 1861
Godin répond à une lettre de Wagret fils lui fournissant des renseignements sur un candidat [non nommé] à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin l'informe que le candidat lui serait plus utile pour la comptabilité que pour voyager pour son compte dans le Nord, la Somme, le Pas-de-Calais et la Belgique, et lui demande de nouveaux renseignements à cet égard. Il sollicite d'autres renseignements sur deux autres candidats [non nommés] qui vivent dans une ville où il pense que Wagret fils a des relations de famille.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 9 juillet 1861
À propos de conditions de représentation des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire par Darras, voyageur de commerce. Godin fait observer à Darras qu'il a omis dans sa lettre du 16 juillet 1861 de préciser qu'il était entendu entre eux qu'il parcourrait quatre fois par an les départements du Nord, du Pas-de-Calais, de l'Oise et de la Somme, mais non l'Aisne et la Seine-Inférieure. Godin reproche à Darras de lui causer un préjudice en délaissant le Nord et le Pas-de-Calais. Il lui confirme une commission de 2,5 % sur les ventes qu'il fera, mais précise qu'il lui imputera 10 % des pertes de mauvais placements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 15 septembre 1875
Godin approuve ce que lui apprend son fils Émile sur la fabrication. Il espère des nouvelles d'un approvisionnement en fonte de qualité supérieure car il est d'accord avec Émile que le moment est venu de reprendre les bons ouvriers. Godin indique qu'il ne connaît pas Paul Barau et ne sait pas s'il peut prendre un emploi dans l'établissement ; il lui pose des questions à son sujet. Il demande enfin à Émile si on a envoyé des brochures à monsieur Contaut.
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