FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 105 résultats dans 19286 notices du site.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 9 septembre 1891
Sujets divers : fête de l'Enfance, présence d'une jeune étrangère au Familistère, envoi du périodique Les États unis d'Europe ; envoi de livres à Paul de Régla à Courbevoie et à Gellereau.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 4 septembre 1892
Revient au Familistère pour la Fête de l'Enfance mais a laissé à Lesquielles la lettre d'Antoniadès. Au sujet du voyage de Marie prévu à Paris puis finalement annulé car visiteurs et visiteuses ont afflué au Familistère. Marie heureuse du voyage d'Antoniadès et lui souhaitant le meilleur dans ses résultats aux examens. Envoi du nouveau numéro du journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Sauvestre, 29 août 1867
Godin envoie une invitation à Charles Sauvestre et à son fils à la fête de l'Enfance. Il s'excuse du retard de son courrier, dû à la maladie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Sauvestre, 14 septembre 1867
Réponse à la demande de Sauvestre du 9 septembre 1867 demandant un compte rendu de la récente fête de l'Enfance : Godin ne peut le rédiger lui-même, mais il lui communique un compte rendu rédigé par les enfants des écoles du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Valère Faneau, 13 septembre 1869
À la demande de Charles Sauvestre, Godin informe son correspondant que la fête de l'Enfance du Familistère a eu lieu le premier dimanche de septembre, et exprime ses regrets que Faneau ne puisse en faire le compte-rendu ainsi qu'il en avait l'intention.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à la Société du Familistère Dequenne et Cie, 30 août 1893
Invitation à la fête de l'Enfance de septembre : l'invitation reçue de la part de l'économat indique qu'une place sera réservée sur la scène du théâtre à Marie Moret, alors qu'elle occupe habituellement en cette circonstance avec sa famille la loge de Jean-Baptiste André Godin.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Dequenne, 6 septembre 1893
Demande à Dequenne la remise de son discours à la fête de l'Enfance du dimanche 3 septembre 1893 pour publication dans le journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Fête de l'Enfance
Déroulé de la Fête de l'Enfance.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adèle Augustine Brullé, vers le 4 septembre 1880
Marie Moret s'excuse pour le retard de sa réponse. Elle explique à sa correspondante être très occupée par la préparation de la fête de l'Enfance et la visite d'étrangers. Il est question de sa sœur Émilie Dallet qui « a supporté avec un héroïque courage » la perte d'une autre de ses filles ; il ne lui reste que sa fille aînée Marie-Jeanne. Il est aussi question de la fille aînée de cette personne, appelée Marie. Moret transmet ses amitiés à sa correspondante et à son mari, et la remercie pour l'intérêt qu'ils éprouvent pour le Familistère. Elle donne des nouvelles du Familistère, siège désormais de l'Association coopérative du capital et du travail.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Emmanuel Épaulard, 8 septembre 1882
Marie Moret fait parvenir avec ce courrier un certificat d'épargne au nom de monsieur Épaulard. Moret évoque, en tant que mandataire d'Épaulard, la question du non paiement des intérêts de 1881 à 1882, expliqué par le taux qui doit être fixé dans un mois. Sur la santé de Godin. Nouvelles de personnes du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 septembre 1865
Godin avertit Émile qu'il a écrit la veille à Auguste Oyon pour le prévenir qu'Émile ira l'inviter lui et sa femme à la distribution des récompenses de l'enfance. Sur le recrutement de l'économe du Familistère. Godin a écrit à Cantagrel pour faire passer une annonce dans les journaux, mais n'a pas eu de réponse à sa lettre. Il demande à Émile d'aller s'informer chez Cantagrel et de lui proposer de faire paraître l'annonce dans L'Association, journal des sociétés coopératives qui a publié un compte rendu de la brochure d'Auguste Oyon sur le Familistère, et aussi de lui demander s'il veut bien réceptionner les lettres de candidature. Godin souhaite qu'Émile se rende à la régie générale des annonces au 8, place de la Bourse pour faire paraître l'annonce dans les grands journaux, et qu'il demande à Auguste Oyon ou à Jean-Baptiste Noirot, rue des Saints-Pères, de l'accompagner à la régie générale et au bureau du journal L'Association au 26, rue des Grands-Augustins ; il souhaite aussi qu'Émile s'entende avec l'un ou l'autre pour lui renvoyer les lettres de candidature. Il signale à Émile qu'il n'a pas encore reçu de réponse du préfet à la demande d'autorisation de l'organisation de la fête de l'Enfance et d'ouverture à cette occasion d'un débit de boissons. Il veut qu'Émile parle de cette question à Noirot, qui pourrait obtenir l'intervention du colonel Favé, et de lui faire la description de cette fête qui fait la joie de la population mais qu'on menace d'interdire parce que le bal n'est pas autorisé et qu'un débit de boissons est ouvert à des personnes qui n'habitent pas au Familistère. Godin incite Émile à se rendre dans les bureaux d'abonnement de la presse au 123, rue Montmartre pour voir les gravures de la Révolution française qu'il désire posséder et qu'il pourrait acheter au prix de 15 F si elles étaient de qualité. Il transmet les compliments de monsieur et madame Vigerie et transmet les siens et ceux de Marie Moret à monsieur et madame Oyon. Une copie de l'annonce de l'offre d'emploi d'économe du Familistère suit la copie de la lettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Isanie Ducruet, 17 octobre 1893
Réponse à une lettre d'Isanie Ducruet en date du 10 octobre 1893. La famille Ducruet de retour chez elle après avoir assisté à la fête de l'Enfance du Familistère de Guise le 3 septembre 1893. Prochain départ de Marie Moret pour le midi. Sur madame Lavabre et ses petits-enfants. Sur les ouvriers mineurs et l'École professionnelle de Charleroi. Compte rendu de la fête de l'Enfance dans le numéro d'octobre du journal Le Devoir. Sur les manifestations franco-russes à Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Dequenne, 5 septembre 1894
Demande à Dequenne le texte de son discours prononcé à la Fête de l'Enfance pour qu'il soit inséré dans Le Devoir d'octobre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 7 septembre 1863
Godin écrit à Cantagrel qu'en revenant de Bruxelles avec madame Cantagrel, il pourrait venir le voir à Guise. Il lui explique qu'en le voyant occupé aux affaires, il a pensé qu'il pourrait être son nouveau représentant à Paris. Il lui explique que le travail consiste à rendre visite de temps à autre aux commerçants et qu'on peut gagner jusqu'à 1 400 F, voire davantage s'il parvient faire des affaires avec les architectes. Godin pense aussi que voir le Familistère est un autre motif pour venir à Guise : « Si jusqu'ici je marche seul, c'est pour que l'unité d'action ne me fasse pas défaut, mais à un certain moment, cela devra cesser, c'est du moins mon espoir. » Il l'informe qu'il prépare un livre « sur lequel je suis privé de toute critique et de tout conseil » et il voudrait avoir un ami avec lui quelques jours pour lui en parler. Il lui signale que le dimanche suivant sera un jour de fête au Familistère à l'occasion des quelques jours de vacances donnés aux enfants.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 18 septembre 1863
Godin poursuit son compte-rendu des expériences qu'il a faites après sa lettre de l'avant-veille sur le robinet de Cantagrel pour en réduire le bruit. Il ajoute que, préoccupé par la fête de dimanche, il a oublié de lui parler des appareils de chauffage au gaz qu'il veut construire et lui demande d'y réfléchir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 8 août 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin revient sur un argument de sa femme, lui reprochant d'avoir fait assister Marie Moret à la fête de l'Enfance de 1863. Godin demande à Favre s'il doit laisser la population du Familistère organiser à nouveau la fête ou s'il faut l'annuler pour ne pas fournir des arguments à ses adversaires, car Marie Moret devrait naturellement y assister. Il indique à Favre qu'il ne veut pas faire appel du jugement du tribunal de Vervins, car il ne veut pas perdre du temps : tant que le procès dure, le développement de son industrie s'accomplit au profit de la communauté. Il s'interroge sur les témoignages que sa femme pourra produire dans l'enquête et craint qu'elle ne fasse traîner encore les choses. Godin demande à Favre le moyen de la contraindre à avancer dans l'enquête. Il lui demande enfin s'il est bon qu'il produise des témoignages sur la conduite non irréprochable de sa femme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Cantagrel, 17 août 1864
Jean-Baptiste André Godin évoque sa rencontre à Bruxelles avec son frère François Cantagrel, qui lui a parlé d'une lettre de son correspondant relative à des cheminées en fonte qu'il a vues chez lui rue de la Coutellerie à Paris. Godin sollicite l'avis de Joseph Cantagrel sur ce modèle de cheminée. Il lui explique combien il est difficile de commercialiser un produit nouveau et prévient une de ses objections dont son frère lui a déjà fait part. Il établit un questionnaire sur les fonctionnalités et la commercialisation de la cheminée qu'il soumet à Joseph Cantagrel. Il lui demande en outre s'il peut lui communiquer les plans et coupes des maçonneries des cheminées telles qu'elles se font à Paris, et lui donner les indications d'installation de poêles de salle à manger.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Norbert, 1er septembre 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. La domestique Augustine a proposé à madame Norbert d'aller voir Godin. Godin lui fait savoir qu'il serait flatté de discuter avec elle, qui connaît la vérité, pour empêcher les mensonges de certains. Il lui propose de la prendre en passant « à la croix des veneurs » dans sa voiture pour aller à Esquéhéries le lundi suivant. Il indique qu'il ne tient pas à ce qu'on le voit aller chez elle au Nouvion et lui demande de ne pas parler de leur rendez-vous.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 4 novembre 1864
Godin annonce à Souplet qu'il répond avec retard au questionnaire de Duvergier de Hauranne qu'il lui a transmis. Il lui explique que s'il a demandé autrefois le silence sur son œuvre par crainte d'une critique prévenue contre lui, il n'en va plus de même aujourd'hui car il a obtenu des résultats. Il veut toutefois avoir un regard sur ce qui se publie sur le Familistère et il prie Souplet de lui indiquer quel usage veulent faire Duvergier de Hauranne et Jules Simon des informations qu'il communique, et pourquoi ils ne lui ont pas fait la demande directement. « Jusqu'ici à mon sens on a trop négligé l'étude des véritables conditions du progrès dans l'ordre matériel : car sans celui-ci le progrès dans l'ordre moral manque de base solide ; il n'est que passager, et est le privilège de quelques-uns. » Il exprime l'idée que l'architecture de l'habitation doit donner à tous les équivalents de la richesse « en leur faisant goûter les bienfaits des fruits du travail, sans péril pour le capital ». Sur les bienfaits de l'architecture nouvelle. Il l'informe qu'il a dû renoncer à l'inviter à la fête de l'Enfance mais il l'invite à venir passer une journée au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 21 août 1865
Sur une autorisation de débit de boisson au Familistère. Godin demande au préfet de modifier l'autorisation du débit de boisson pour ne pas le restreindre aux seul·es habitant·es du Familistère. Il demande également au préfet d'autoriser le bal qui aura lieu à l'occasion de la fête de l'Enfance, surtout après l'annulation du bal du carnaval. Godin donne en exemple le fait qu'il a dû refuser à la population du Familistère de danser sous les verrières du Familistère à la suite de l'annulation pour raison météorologique du bal public des fêtes du 15 août. « En accordant à la population du Familistère, qui est aujourd'hui d'environ 700 personnes, plus de facilités pour user chez elle des avantages dont elle dispose, votre administration me viendrait en aide dans l'œuvre que je poursuis et qui est si bien conforme aux désirs d'amélioration que le gouvernement de l'Empereur s'efforce de faire entrer dans la pratique au profit du peuple, et si quelques cabaretiers venaient à se plaindre, la moralisation de mille ouvriers y aurait gagné. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 24 août 1865
Sur l'emploi de comptable en chef des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin remercie tardivement Pernet-Vallier de l'avoir aidé à rechercher un comptable. Il lui indique qu'il pensait le faire à l'occasion de sa venue au Familistère avec le groupe d'amis conduit par Cantagrel. Il l'invite à assister à la prochaine fête de l'Enfance avec des amis de Paris. Il l'informe qu'Alfred Denisart est entré en fonction de chef de la comptabilité et qu'il recherche un homme aux mêmes dispositions pour occuper la fonction d'économe du Familistère. Godin précise qu'il veut s'entourer d'hommes « dont le cœur sache seconder la capacité ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 29 août 1865
Godin répond à la lettre de Cantagrel du 28 août 1865. Sur le recrutement d'hommes dévoués. Il affirme qu'il a l'espoir que Denisart remplace avantageusement Vigerie. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin indique à Cantagrel qu'il n'est pas encore sauvé du naufrage, mais qu'il cherche pourtant à renforcer les capacités du Familistère : « La France n'est pas trop grande pour trouver mon homme, mais puisqu'elle a le fondateur du Familistère, elle doit en avoir l'économe. » Il donne raison à Cantagrel qui lui conseille de s'adresser à la publicité générale, et il lui demande s'il ne faudrait pas faire adresser les candidatures au bureau du journal L'Association de manière à attirer l'attention sur « eux ». Il demande à Cantagrel s'il connait des personnes qui voudraient venir assister à la fête de l'Enfance du Familistère ; il l'avise qu'il a invité Pernet-Vallier à y assister et qu'il aimerait qu'Oyon vienne aussi. Il lui communique le texte de l'offre d'emploi d'économe du Familistère aux appointements annuels de 2 400 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 1er septembre 1865
Godin rappelle au préfet sa lettre du 21 août 1865 relative à la modification de l'autorisation de débit de boisson du Familistère. Il souhaite au moins obtenir une autorisation spéciale pour la « fête de l'éducation de l'enfance » du Familistère, au cours de laquelle il n'est pas possible de distinguer la population de Guise de celle du Familistère pour le service des rafraîchissements. Godin invite le préfet à assister à la fête.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Oyon, 2 septembre 1865
Jean-Baptiste André Godin annonce à Oyon que son fils va lui rendre visite pour l'inviter ainsi que sa femme à assister à la fête de l'Enfance du Familistère. Il lui demande le service de s'entendre avec Pernet-Vallier pour venir avec lui dont il veut prendre en charge les frais de voyage en remerciements des services rendus. Godin évoque l'incertitude qui plane sur la fête de l'Enfance : le préfet avait fait interdire aux habitants du Familistère un bal aux jours du carnaval ; il n'a pas répondu aux deux lettres de Godin sollicitant une modification de l'autorisation du débit de boissons, jusqu'ici réservé aux habitant·es du Familistère ; il est probable que la fête sera privée du bal qui suit la distribution des récompenses ; Godin ne peut en conséquence encore déterminer le jour de la fête. Il incite Oyon à accepter l'invitation et il lui annonce qu'il invitera également Calixte Souplet. Il lui signale que Marie Moret a lu sa lettre avec plaisir. « Vous me pardonnerez de n'avoir soigné dans celle-ci ni la diction, ni la syntaxe, ni la ponctuation. Je m'affranchis malgré moi de ce fardeau qui vous pèse. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Savardan, 11 septembre 1865
Sur un emploi de cuisinier. Godin remercie Savardan de lui avoir proposé Alphonse Latron comme cuisinier du Familistère. Il regrette toutefois de ne pouvoir l'employer car il ne s'agit que d'une cuisine alimentaire pour des ouvriers et non une cuisine de premier ordre. Il lui explique que faute de talents, le restaurant fonctionne assez mal, mais que la charcuterie se maintient. Il ajoute que Latron ne trouverait pas au Familistère l'application du travail attrayant et encore moins l'harmonie réalisée. Il invite Savardan à venir assister à la fête de l'Enfance pour laquelle Sauvestre va venir. Il demande à Savardan de lui communiquer le montant des appointements auquel prétend Latron, et de lui fournir divers renseignements à son sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Guise, 11 septembre 1865
Godin soutient la demande des habitant·es du Familistère d'obtenir du maire un délai au-delà de l'heure réglementaire de clôture du bal qui suivra la remise des récompenses de la fête de l'Enfance du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Savardan, 15 septembre 1865
Godin assure Savardan qu'il lui a toujours porté de l'estime, même s'il a été critique à l'égard de « notre malheureuse affaire » [la Société européo-américaine de colonisation du Texas] et que c'est à tort qu'on lui a rapporté qu'il l'avait jugé sévèrement. Il l'informe que la fête de l'Enfance aura lieu le dimanche 24 septembre ; il l'invite à y assister et lui conseille d'arriver au plus tard le vendredi 22 pour pouvoir voir le samedi l'usine en pleine activité et le Familistère dans son calme habituel ; il indique que les jours suivant la fête seront perturbés « car toute fête a son lendemain dans un monde où les fêtes sont rares ». Godin se plaint de l'apathie de leurs amis de Paris ; il demande à Savardan s'il peut emmener quelqu'un de Paris avec lui ; il lui précise que Sauvestre a promis de venir mais que Delbruck a toujours des motifs qui l'empêchent de faire le voyage. Sur l'emploi d'Alphonse Latron, protégé de Savardan.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 15 septembre 1865
Godin rappelle à Souplet que faute d'entente entre les personnes venues visiter le Familistère [avec François Cantagrel], il n'avait pu l'inviter à se joindre à elles. Il lui annonce que la fête de l'Enfance est une nouvelle occasion pour l'inviter : « Faites-moi le plaisir de faire exception à l'indifférence générale en assistant à cette fête. » Il précise que la fête commencera le dimanche 24 septembre à 2 heures ; il lui offre l'hospitalité au Familistère à partir du samedi précédent pour examiner le Familistère en détails et juger si cela vaut un compte-rendu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Sauvestre, 15 septembre 1865
Godin rappelle à Sauvestre qu'il a promis à son fils Émile d'assister à la fête de l'Enfance et d'y amener Pernet-Vallier, qui lui a rendu des services. Il lui annonce que le docteur Savardan pourrait venir si sa santé le lui permet, et qu'il a invité ce dernier à venir le vendredi précédent la fête pour voir l'usine en activité. Il suggère à Sauvestre de venir en même temps que Savardan. Il précise que la fête aura lieu le dimanche 24 septembre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 16 septembre 1865
Godin annonce à Pernet-Vallier que la fête de l'Enfance aura lieu le dimanche 24 septembre. Il l'invite à y assister, lui signale que Sauvestre devrait venir et lui suggère de consacrer deux ou trois jours au voyage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 18 septembre 1865
Godin demande à Noirot de lui adresser les nouvelles candidatures à l'emploi d'économe du Familistère. Il lui annonce que la fête de l'Enfance aura lieu le 24 septembre et qu'il en a prévenu Sauvestre et Savardan : « Mais viendra-t-il quelqu'un ? »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 29 septembre 1865
Godin regrette l'absence de Pernet-Vallier à la fête de l'Enfance à laquelle 2 500 personnes ainsi que Sauvestre ont assisté. Sur l'emploi d'économe du Familistère. Godin accepte que Pernet-Vallier s'occupe des candidats à la fonction d'économe. Il brosse le profil du bon candidat et transmet à Pernet-Vallier une copie de l'offre d'emploi et cinq dossiers. Il lui demande de s'entretenir avec les candidats et de lui communiquer ses impressions. Il précise que l'économe recevra 200 F d'appointements par mois et qu'il devra louer un appartement au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 29 septembre 1865
Godin annonce à Souplet que la fête de l'Enfance du Familistère a été l'événement le plus remarquable qui ait eu lieu en 1865 dans le département, ainsi que Sauvestre a dû lui dire. Il regrette que Souplet n'ait pu y assister et il craint que la presse du département garde le silence sur la fête : « Je craignais de la voir parler quand je sentais que je n'avais aucun fait à opposer au dénigrement qui s'attache aux innovations mais maintenant qu'il ne peut y avoir que du bien à dire, n'est-ce pas un devoir de lutter ensemble contre le silence ? » Bien qu'on vienne de lui annoncer que le Journal de Saint-Quentin a demandé un compte rendu de la fête au maître d'école du Familistère, Godin communique à Souplet un compte rendu de la fête destiné au journal Le Glaneur. Il lui signale que la presse anglaise a devancé la presse française et il mentionne un journal d'architecture de Londres, le Journal de Birmingham et la Social Science Review.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 30 septembre 1865
Godin demande à Noirot de lui envoyer en papier d'affaire les candidatures parvenues au bureau de L'Association. Il l'informe que la fête de l'Enfance a été splendide et que 2 à 3 000 personnes ont assisté à la distribution des récompenses et au bal et à la fête de nuit. La suite de la lettre est rédigée et signée par Émile Godin, qui demande à Noirot d'envoyer une brochure d'Oyon à monsieur Duprez, directeur-gérant de l'usine métallurgique de Marcinelle près de Charleroi en Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 2 octobre 1865
Godin prévient Pagliardini qu'il va lui envoyer une photographie récente du Familistère, meilleure que celle qu'il a emportée, une photographie du plan du Familistère, ainsi qu'une photographie de la cour du pavillon central prise le lendemain de la fête de l'Enfance, qui a eu lieu le 24 septembre et à laquelle 2 500 personnes ont assisté.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 3 octobre 1865
Godin informe Souplet qu'Auguste Oyon habite au 3, rue Christine à Paris et lui envoie un exemplaire de la brochure publiée par ce dernier. Il le remercie pour ses paroles sympathiques parues dans Le Glaneur. Il l'informe qu'il a reçu le premier article publié dans The Builder et que les articles de cette revue vont être publiés en brochure.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 3 octobre 1865
Godin envoie à Pagliardini deux épreuves de la nouvelle photographie du Familistère ; il lui demande de les faire réunir sur un carton par un photographe. Il lui envoie également une photographie du plan du Familistère et une vue, prise le lendemain de la fête de l'Enfance, de la cour du Familistère où se voient des guirlandes ; la vue est prise du rez-de-chaussée et Godin pense qu'il va en faire réaliser une nouvelle, prise du premier étage. Il le remercie pour l'envoi de la revue Le Constructeur contenant son article. Il lui suggère d'envoyer des exemplaires de ce numéro de la revue aux grands journaux de Paris ou à des publications sensibles au fait que la presse anglaise s'intéresse à des faits sociaux réalisés en France que la presse française n'évoque pas. Godin prévient Pagliardini que la photographie de la cour n'est pas fixée et qu'elle risque de s'effacer s'il l'expose à la lumière ; il le prévient également qu'il devra sacrifier sur la vue du Familistère un peu de la file des enfants du bambinat qui reviennent de la promenade des jardins ; il appelle l'attention de madame Pagliardini sur Marie Moret qui se trouve en tête des jeunes filles de l'école. Il lui transmet les sentiments affectueux d'Émile Godin et de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Oyon, 5 octobre 1865
Godin informe Oyon qu'un Anglais, Tito Pagliardini, a publié un article sur le Familistère dans The Social Science Review. Il lui adresse le numéro du 4 octobre du Journal de Saint-Quentin qui contient un compte-rendu de la fête de l'Enfance, signé par le correspondant du journal à Guise, mais qui en réalité a été écrit par Marie Moret. Il lui signale que la fête de l'Enfance a été admirable. Il fait remarquer à Oyon qu'il est singulier que ce soit la presse anglaise qui fasse de la publicité au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Sauvestre, 7 octobre 1865
Godin explique à Sauvestre qu'il avait égaré la lettre qu'il lui avait laissée au Familistère, c'est pourquoi il y répond tardivement. Il lui envoie un exemplaire du numéro du 4 octobre 1865 du Journal de Saint-Quentin contenant un compte rendu de la fête de l'Enfance. Il l'informe que la population du Familistère croît sans cesse et qu'il ne peut lui en fournir le chiffre exact ; il lui communique l'effectif des écoles (42 garçons et 47 filles), du bambinat (48 garçons et 42 filles) et du pouponnat (12 garçons et 9 filles) ; il lui communique l'effectif de la population active (197 hommes, 42 femmes occupées dans les services du Familistère et 20 femmes occupées à l'usine) ; il indique que la population totale est de 600 personnes environ. Godin signale à Sauvestre que la presse anglaise fait de la publicité au Familistère, que The Builder a publié deux articles et que The Social Science Review a publié un article dont un tiré à part est publié en brochure. Il lui annonce l'envoi d'une nouvelle photographie, qu'on fait actuellement graver à Londres. Il ajoute que le prix d'un logement au Familistère de deux pièces et d'une surface de 40 m² est de : 10,80 F par mois au rez-de-chaussée, 11,60 F au 1er étage, 10,80 F au 2e étage, 10,00 F au 3e étage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 9 octobre 1865
Godin raconte à Cantagrel que la fête de l'Enfance a été splendide, que Sauvestre était le seul de l'École sociétaire à être venu mais que 2 500 personnes y ont assisté : « Le Familistère devient en vérité comme une espèce d'église que tous les jours on vient visiter. » Il l'informe que les journaux The Builder et The Social Science Review ont publié des articles sur le Familistère, alors qu'on cherche à l'étouffer en France. Sur l'emploi d'économe du Familistère : Godin prie Cantagrel de demander à Pernet-Vallier où il en est de l'examen des 12 candidatures que Godin a sélectionnées parmi 300 ; « Je dois vous avouer que je ne suis en définitive pas trop désireux de m'attacher à titre d'employés des hommes fort imbus de l'esprit de l'école phalanstérienne. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 17 octobre 1865
Godin demande à Pagliardini s'il a reçu les photographies du Familistère et le numéro du Journal de Saint-Quentin évoquant la fête de l'Enfance envoyés le 3 octobre précédent. Godin lui confirme qu'il a bien reçu les numéros des journaux The Builder et The Social Science Review, mais qu'il n'a pas reçu les tirés à part de l'article de la Social Science Review. Il l'informe que Marie Moret a traduit l'article du Builder et qu'elle traduira l'autre quand elle aura un peu de loisir. Godin fait remarquer à Pagliardini que sa description du Familistère est trop élogieuse et il imagine qu'un Anglais en visite au Familistère pourrait être déçu par les connaissances des enfants qui y sont éduqués. Il lui signale qu'il n'a pas reçu la visite du docteur Hardwicke annoncée par Pagliardini ; il lui indique qu'il a transmis à Oyon ses félicitations pour sa brochure et ajoute que ce dernier serait d'autant plus heureux de recevoir son compte rendu d'une visite au Familistère qu'il sait parfaitement l'anglais. Il remercie Pagliardini pour les paroles sympathiques de sa lettre à l'égard du Familistère. Godin se plaint de la conspiration du silence contre le Familistère mais se félicite des progrès de sa population. Il transmet ses sentiments affectueux et ceux de Marie Moret et de son fils Émile à Tito Pagliardini et à sa femme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Sauvestre, 20 octobre 1865
Godin fait remarquer à Sauvestre que son article sur la fête de l'Enfance dans L'Opinion nationale est trop sympathique à l'égard du Familistère dans la mesure où, pour cette raison, il ne sera pas repris par le Journal de l'Aisne qui participe à la « conspiration du silence » malgré les articles parus dans Le Glaneur et le Journal de Saint-Quentin. Sur une photographie du Familistère : le photographe n'a pas pu s'occuper des épreuves car il a consacré son temps à des portraits de dames et de demoiselles ; il lui annonce qu'il lui enverra toutefois une épreuve le lendemain, par chemin de fer entre deux planches, au 18, rue des Invalides. Il l'informe que des articles sur le Familistère ont paru en Angleterre dans The Builder et dans The Social Science Review, dont l'auteur a passé trois jours au Familistère. Il regrette que Sauvestre n'ait pas vu les comptes rendus de la fête de l'Enfance parus dans Le Glaneur du 2 octobre et le Journal de Saint-Quentin du 4 octobre. Il lui suggère d'envoyer à Souplet un exemplaire de son article de L'Opinion nationale. Il lui transmet les compliments de Marie Moret. La copie de la lettre est suivie de la copie d'une note explicative de la photographie adressée à Sauvestre par Godin (folios 190r et 191v).

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gilbert Stenger, 26 août 1866
Godin invite Gilbert Stenger, auteur d'un article sympathique au Familistère, à assister à la fête de l'Enfance du Familistère le 2 septembre suivant. Il met une chambre à sa disposition. Il précise que la fête commencera vers deux heures et finira au milieu de la nuit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 26 août 1866
Godin invite Tito Pagliardini et sa femme à la fête de l'Enfance du 2 septembre suivant pour laquelle le Familistère devrait être entièrement illuminé. Il lui envoie un exemplaire d'un numéro d'un journal de Laon contenant un article sur le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 26 août 1865
Godin est sans nouvelles de Cantagrel depuis la visite de « ces Messieurs de l'Association supprimée ». Il l'invite à assister à la fête de l'Enfance du 2 septembre suivant, à l'occasion de laquelle la façade du Familistère devrait être illuminée et pour laquelle « on ravage aujourd'hui les bois des alentours pour y cueillir le lière (sic) qui doit servir aux décorations ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 30 août 1865
Godin avertit Noirot que Tito Pagliardini, qui a fait expédier au Familistère une lettre qui lui est destinée, est probablement en France et qu'il compte venir à Guise. Il demande à Noirot de découvrir où se trouve Pagliardini à Paris et de lui faire savoir que la fête de l'Enfance du Familistère aura lieu le 2 septembre prochain. Il lui signale qu'il a invité à la fête Cantagrel qui n'a pu se joindre à Élie Reclus et ses amis lors de leur visite au Familistère. Dans le post-scriptum, il annonce à Noirot que la rédaction de son article [pour l'Annuaire de l'Association] est terminée mais qu'il doit encore mettre au net certains passages le 3 ou le 4 septembre et qu'il l'enverra ensuite à Auguste Oyon pour relecture, et il l'avertit que l'article sera signé par un pseudonyme qui lui servira en d'autres circonstances.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 28 août 1868
Godin annonce à Eugène André qu'il le verra avec plaisir à la fête de la distribution des prix du Familistère et lui demande de venir quelques jours auparavant pour voir les ateliers en activité. Il lui signale qu'il n'a plus le n° 12 de La Lanterne et il lui demande de l'apporter lui-même sans le montrer à la frontière plutôt que l'envoyer par la poste à cause de la surveillance du courrier. Il lui signale qu'il a reçu le n° 13 par Beckmans et lui demande s'il peut également amener le n°14 : « C'est du fruit défendu ». Dans le post-scriptum, il indique qu'il cachète sa lettre à la cire pour vérifier que le courrier pour la Belgique n'est pas ouvert.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 31 août 1868
Godin précise à Eugène André que la fête de distribution des prix aura lieu le dimanche 6 septembre. Il lui demande si sa lettre précédente est arrivée intacte. Il lui demande de mettre ses lettres dans des enveloppes plus solides pour ne pas donner à la poste locale le prétexte qu'elles se sont déchirées au cours de l'expédition.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gobelet, 27 août 1869
Godin confirme à Gobelet qu'il juge que sa prétention à des appointements de 250 F par mois est élevée car il n'est pas certain des services qu'il peut rendre dans l'usine. Il l'invite à venir à Guise afin qu'il puisse voir les ateliers et pour discuter avec lui de la fonction qu'il pourrait prendre ; il propose de lui rembourser ses frais de voyage et d'hôtel. Il lui communique les horaires de train de Reims à Saint-Quentin et de la diligence de Saint-Quentin à Guise. Dans le post-scriptum, il lui demande d'éviter de venir les 5, 6 et 7 septembre car les ateliers seront fermés à cause de la fête.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Harriet Burton, 19 août 1872
Godin informe Harriet Burton, qui souhaite assister à la fête de l'Enfance, que celle-ci aura lieu le dimanche 1er septembre 1872. Il lui conseille de venir à Guise dès le vendredi pour voir les écoles avant les quelques jours de vacances. Il lui signale qu'il sera absent les jours précédents la fête pour assister à la session du conseil général, mais qu'elle pourra être accueillie par Marie Moret, directrice de l'éducation de l'enfance.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2