FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 mars 1865
Émile Godin informe son père qu'il va lui expédier à Paris une lettre de monsieur Vigerie contenant un travail qui lui avait été demandé avant son départ pour Paris. Il lui signale qu'il pleut de façon continue à Guise et que l'Oise commence à sortir de son lit. Il l'informe enfin qu'il a demandé à monsieur Cornil de livrer de la fonte à Bohain-en-Vermandois car il est sans nouvelles des bateaux. Dans le post-scriptum, il signale le passage de la lettre de Vigerie sur le besoin d'argent de celui-ci.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 3 décembre 1863
Émile Godin donne à son père des informations sur les nouveaux événements survenus à Guise. Madame Vigerie a appris la veille au soir qu'une nouvelle chanson avait été affichée dans la nuit précédente. Fayon a montré à madame Vigerie un exemplaire qui avait été collé sur sa boutique. Madame Vigerie, qui n'a pu en prendre copie, dit qu'il n'est pas question de Godin, mais de toute la famille Moret. Madame Ville a dit à Fayon que 20 personnes chantaient la chanson chez Pierre. Émile Godin estime que la chanson doit avoir 7 couplets. A. Villot a reçu un placard par la poste, qu'il n'a pas voulu confier à Émile par peur d'envenimer les choses. Émile explique qu'il n'a pas voulu laisser emporter par madame Lemaire une glace se trouvant dans l'appartement de sa mère. Il l'informe qu'un vent très fort a causé des dégâts dans l'usine. Il regrette que la population guisarde mette tant d'acharnement à diffuser des insultes. Il ajoute des informations relatives à Laloux, Charles, Esther Lemaire, son grand-père. Dans le post-scriptum, il annonce à son père que madame Vigerie vient de lui donner un exemplaire de la chanson chantée la veille chez Pierre et qu'on dit que c'est madame Carlier qui a reçu la chanson par la poste et l'a diffusée.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste Godin, 12 décembre 1866
Émile Godin adresse à son père une lettre provenant de Liverpool : « Ci-joint une lettre de Liverpool. Aussitôt votre réponse, je leur écrirai pour leur dire la quantité que vous désirez. À moins que vous ne voulussiez écrire directement de Paris, votre lettre ne serait pas au copie de lettres d'affaires. » Il évoque un rendez-vous d'une personne non nommée avec son père à son hôtel. Il demande à son père de rapporter des mandarines rouges que Marie Moret a appréciées, ainsi que des dattes, et qu'il les trouvera à droite de la porte de l'hôtel. Il prie son père de demander à François Cantagrel l'adresse de son marchand de vin pour acheter 50 ou 100 bouteilles de vin de Lunel, préférable au vin du Rhin. Il indique qu'il pleut continuellement depuis 24 heures. Il adresse ses compliments au couple Cantagrel.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 4 avril 1865
Émile informe Godin qu'il a reçu de son oncle onze photographies de Bertaux, mais que le dessinateur n'a pu les reproduire avec une gravure sur zinc. Il lui envoie les photographies pour les reproduire en gravure par Furcy au 20, rue de Bréa. Il signale que le temps à Guise est admirable. Il transmet ses amitiés à la famille Cantagrel

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Cappelié, 31 janvier 1864
Godin explique à Cappelié que le brouillard empêche que soit exécutée la vue stéréoscopique de l'ensemble des constructions du Familistère depuis le haut de la tour de Guise [le donjon du château fort], mais qu'il lui enverra dès que possible. Il annonce qu'il joindra « une photographie prise de plus près pour les détails qui ne ressortent pas bien encore sur la construction nouvelle parce qu'elle n'est pas rejointoyée », et précise que la partie supérieure du fronton central a été arrêtée par crainte du gel. Il ajoute qu'il lui demandera une étude d'un familistère sur un nouveau plan après qu'il aura exécuté celui qu'il doit refaire et qu'il lui fournira les indications pour en faire un dessin à vol d'oiseau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow et Vaughan, 8 février 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande si Bolckow et Vaughan peuvent l'approvisionner en fonte n° 1 et à quel prix. Il signale que la fonte chargée sur navire Norfolk est retenue par la gelée des eaux, et il annonce qu'il pourrait acheter 2 à 3 000 tonnes de fonte résistante et douce à la lime, qu'on peut obtenir en la produisant au vent froid ou faiblement chauffée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Ferdinand Guillon et Allyre Bureau, 14 mai 1856
Godin renvoie à son correspondant des lettres de Victor Considerant et de Simonin des 29 et 30 mars 1856. Il donne des nouvelles de sa santé, toujours fragile.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 28 octobre 1858
Godin explique à Brullé que le brouillard était aussi épais à son arrivée à Guise qu'il l'était à Laeken. Godin communique à Brullé les dimensions du châssis pour mouler un bac à eau de soude et celles du moule à briquettes. Il fournit des détails sur la construction du châssis du moule du bac à eau de soude qu'il accompagne d'un croquis de la pièce en perspective. Godin transmet ses amitiés à madame Brullé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Leborne, 9 juin 1856
Godin demande à Leborne de lui expédier un bateau de coke et non 125 tonneaux avant le chômage de la navigation. Il le prie d'obtenir des renseignements sur la fonte de moulage n° 1 que l'on peut trouver dans les hauts-fourneaux du bassin de Charleroi, à Hourpes-sur-Sambre et à Laneffe. Dans le post-scriptum, Godin signale qu'il a reçu le coke en bon état mais qu'il a été déchargé sous la pluie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Cador, 8 août 1855
Godin informe Cador qu'il a différé son voyage à Bruxelles à cause de mauvais temps et qu'il se rendra à Charleroi avant le 11 courant pour régler avec lui le litige qui l'oppose à son frère [comptable à l'usine Godin-Lemaire de Forest].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 23 avril 1862
Godin, qui craignait qu'Émile ait rencontré une mer agitée pendant sa traversée [de la Manche], exprime sa satisfaction de recevoir de ses nouvelles : « Tu es ainsi fait que la peur te fera souvent plus de mal que le mal lui-même. » Sur une caisse égarée contenant des planchers pour l'exposition : Godin demande à Émile de faire réclamation à l'administration française.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux régisseurs des hauts-fourneaux du Nord, 18 [avril 1846]
Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire par voie terrestre et fluviale : le temps ne permet pas la navigation ; Godin demande l'envoi d'une voiture et annonce que le bateau affrété par Lucq pourra charger prochainement la fonte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux régisseurs des hauts-fourneaux du Nord, 21 décembre [1845]
Sur l'approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire. Le voiturier envoyé par Godin lui a annoncé que les Hauts-fourneaux du Nord devaient immédiatement lui envoyer une autre voiture de fonte, mais il n'a rien reçu. Godin explique qu'il utilise actuellement 3 tonnes de fonte par semaine : puisque le mauvais temps rend difficile la navigation sur le canal, il demande qu'on lui envoie plusieurs voitures de fonte pour lui éviter d'être constamment à cours de matériau. Godin commande 50 tonnes de fonte de première qualité aux conditions formulées par les Hauts-fourneaux dans leur lettre du 29 novembre 1845 : 25 tonnes à 21,50 F les 100 kg et 25 tonnes suivant les variations du cours belge avec 5,50 F d'augmentation pour 100 kg ; Godin sollicite toutefois une remise, car le sable s'attache davantage à la fonte des Hauts-fourneaux du Nord qu'à la fonte de Châtelineau. Godin estime que le transport d'une telle quantité de fonte ne pourra dépasser le prix de 4 F la tonne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand, 9 octobre [1845]
Facturation de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire. Godin précise qu'il a remis 5 poêles au transporteur envoyé par monsieur Bertrand, mais ne lui a pas confié de cuisinière à cause du mauvais temps.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Allez fils, 17 avril [1845]
Sur le transport de cuisinières par bateau jusqu'à Paris, retardé à cause du gel des eaux : Godin estime le coût du transport à 20 F la tonne et prévient que sa durée sera de 15 à 30 jours selon la facilité de la navigation. Réception d'une facture pour la fourniture de fils de fer et commande de limes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Collart, 3 août [1843]
Réponse à une commande : expédition de robinets à Étreux (Aisne).

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société des hauts-fourneaux du Nord, 19 janvier 1850
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique aux Hauts-fourneaux du Nord que le mauvais temps l'a empêché de se rendre à Maubeuge afin de leur payer une expédition de fonte et de leur demander de lui fournir 50 tonnes de fonte d'une qualité supérieure à celle qui a été livrée, dont la qualité est insuffisante. Il leur remet 12 effets d'un montant total de 7 234,69 F

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la maison Allez, 13 [janvier 1850]
Godin informe Allez que l'abondance de la neige a rendu les transports presque impossibles, cause du retard de l'envoi qu'il lui fait le jour même. Il demande qu'Allez lui indique les articles qu'il est le plus pressé d'obtenir afin de préparer un nouvel envoi. Il ajoute qu'il a placé des prospectus dans les cendriers des cuisinières envoyées.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 26 novembre [1849]
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin s'inquiète du retard du chargement du bateau de fonte à cause des gelées qui vont commencer. Il lui demande s'il a l'occasion de faire prendre quelques tonneaux de fonte des Hauts-fourneaux du Nord et lui demande par ailleurs s'il veut transporter 10 tonnes de coke qu'il a commandées à Semet de Charleroi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société des hauts-fourneaux du Nord, 26 [novembre 1849]
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin s'inquiète du retard du chargement du bateau de fonte qui se trouve encore à Charleroi selon Lucq à cause des gelées qui vont commenceLucq lui a appris que son bateau pouvait charger plus de 50 tonneaux, mais Godin n'a pas la certitude que la fonte a la ténacité nécessaire et ne veut pas en prendre davantage, sauf à juger de sa qualité en allant à Maubeuge ou en en recevant quelques tonneaux par un autre bateau passant près de Maubeuge.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 2 février 1849
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Lucq que ses bateliers n'étaient pas arrivés à Hourpes avant son départ des hauts-fourneaux où il s'est rendu pour faire le choix de la fonte et que le facteur de Lucq, Wautier, est remonté vers Thuin mais ne les a pas trouvés. Il demande à Lucq d'éviter tout retard et de l'informer s'il peut profiter d'une voiture qui transporte des farines à Maubeuge pour la charger de fonte au retour.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société anonyme des hauts-fourneaux, usines et charbonnages de Marcinelle et Couillet, 7 octobre 1848
Approvisionnement en fonte et en coke des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin indique à l'administrateur-gérant qu'il refusera de prendre livraison de fonte de mauvaise qualité et rappelle que les Usines de Couillet lui ont déjà livré de la fonte de qualité n° 3 à la place de fonte de qualité n° 1. Il regrette le retard de l'expédition qui le contraint à s'approvisionner ailleurs de 20 à 30 tonnes de matériau. Il lui demande d'ajouter 10 tonnes de coke à la livraison qui doit lui être faite si celle-ci lui parvient par beau temps.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société anonyme des hauts-fourneaux, usines et charbonnages de Marcinelle et Couillet, 4 octobre 1848
Approvisionnement en fonte et en coke des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin accuse réception de la lettre de l'administrateur-gérant, qui lui annonce que le bateau n'a pas encore été chargé. Godin le presse de le faire avant que le mauvais temps rende difficile le transport du rivage [du Canal de la Sambre à l'Oise] jusqu'à son établissement. Godin rappelle qu'il paiera les marchandises dès leur réception.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Defauton, 8 décembre 1847
Godin informe Defauton qu'il cherche un moyen pour lui expédier la cuisinière demandée ; il ne souhaite pas l'envoyer par bateau à Creil car les gelées peuvent interrompre la navigation à tout moment ; il demande à Defauton s'il peut enlever l'appareil à Saint-Quentin, Ham ou Roye

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société des hauts-fourneaux du Nord, 26 janvier 1847
Sur l'approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin n'a pas de nouvelles de la promesse des Hauts-fourneaux du Nord du 28 octobre 1846 de lui fournir prochainement de la fonte n° 1. Il informe les Hauts fourneaux du Nord qu'il aura besoin de 100 tonnes de fonte l'été prochain et leur demande s'ils peuvent les lui fournir et à quel prix. Il demande qu'on lui livre de la fonte par bateau dès que la navigation sera possible grâce au dégel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Georges Coulon, 29 septembre 1869
Godin accuse réception du travail de Georges Coulon. Il lui indique qu'un brevet manque dans la chemise qu'il lui a confiée. Il lui demande s'il n'est pas resté dans ses papiers. Il l'informe qu'il fait un temps magnifique depuis son départ et lui demande des nouvelles de son voyage en Égypte. Il l'invite à revenir à Guise pour examiner avec lui s'il pourrait devenir son représentant à Paris. Il précise les conditions de rémunération de la fonction : 4 % sur les premiers 500 F et 1 % sur le surplus ; les commissions ne doivent pas être scindées pour une seule maison.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Didier Numa Joubert, 24 avril 1866
Godin répond à la lettre de Joubert du 20 février 1866 en lui envoyant un paquet contenant : un plan du Familistère à l'échelle 1/200, une coupe en élévation à l'échelle 1/100 et un plan de deux appartements courants, la brochure d'Oyon et une photographie de la partie centrale du Familistère. « Je serais heureux que cela pût vous servir et contribuer à faire inaugurer sur la terre d'Australie l'Architecture unitaire, la véritable architecture du travail, celle qui seule peut donner au travailleur comme au capitaliste un palais pour maison, assurer tous les soins physiques et moraux dus à l'enfance et donner à tous et à chacun une somme de bien-être immédiat que l'isolement ne peut produire qu'au profit de quelques privilégiés de la fortune et de l'industrie ». Sur le vitrage de la cour et les orages de grêle en Australie ; sur la ventilation et l'arrosage des cours vitrées. Sur les cabinets d'aisance et les cabinets aux balayures. « Je m'arrête aux choses matérielles parce que ce sont elles qui entraînent la direction morale. » Godin précise à Joubert qu'il n'existe pas de règlement au Familistère. Sous la signature de la lettre se trouvent la légende des plans communiqués à Joubert, des observations sur les descentes d'eaux de pluie en façade et dans le comble, sur les magasins du rez-de-chaussée, sur les écoles, sur la crèche et sur les économats.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bastien, 18 janvier 1876
Sur les recherches de minerais dans la Nièvre. Godin estime qu'il est inutile que Bastien poursuive ses recherches dans le mauvais temps de l'hiver. Comme il le lui écrivait dans sa précédente lettre également envoyée à Cosne, Godin demande à Bastien de le prévenir quand il rentrera à Paris avant de venir à Guise car il a des renseignements à recueillir dans les environs de Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chamolle, 10 décembre 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin fait à Chamolle des recommandations pour l'usage du trépan de sondage. Sur une trempe d'acier au charbon de bois. Sur l'usage des différents couteaux du trépan. Il espère que le froid est moins vif désormais à Sardy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chamolle, 9 décembre 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin encourage Chamolle et lui fait des recommandations pour l'usage du trépan de sondage. Sur le grand froid qu'il fait à Sardy. Sur le dégagement du trépan à nouveau bloqué. Sur l'aide bientôt apportée par Bastien.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 19 juillet 1854
Godin informe Émile qu'il pleut à Guise depuis les vacances de Pâques et qu'on est mieux à Paris qu'à la campagne par un temps aussi humide. Il lui annonce qu'il ira le chercher à Paris pour le ramener à Guise, et le félicite pour ses bons résultats scolaires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Prosper Goubaux, 14 janvier 1856
Godin sollicite l'autorisation pour son fils de porter un caban pendant la récréation pour permettre à son corps de supporter les températures froides du dehors. Il signale à Goubaux que son fils n'a pas souhaité aller à l'infirmerie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 avril 1856
Godin espère que les maux de dents d'Émile vont disparaître avec le temps doux « car ce sont les vents froids et secs du nord qui les occasionnent au printemps et à l'automne à beaucoup de monde ». Il lui recommande l'emploi de la cigarette au camphre pour prévenir le mal. Il pense qu'une simple dissolution de soude est impuissante à guérir les poireaux [verrues] : il faut y additionner de l'eau de chaux pour la rendre caustique ; il lui envoie de la chaux chargée de sels de chaux et un peu de soude. Il espère que le bulletin scolaire de la semaine sera bon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Sur la publication par Godin d'articles sur le projet d'école normale de Laon. Godin informe Levasseur qu'il ne publiera pas sous le couvert de l'anonymat mais qu'il signera les articles car il a été nommé membre de la commission d'étude par le conseil général de l'Aisne. Il envoie à Levasseur la matière de deux premiers articles sur le sujet et lui demande 20 exemplaires des numéros du journal dans lesquels seront publiés les articles. Godin rappelle à Levasseur qu'il avait promis de faire une visite du Familistère avec sa femme et l'engage à l'accomplir dès le retour du beau temps.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin informe Henri de Hulster qu'il envoie quelqu'un auprès de Richon pour s'assurer de l'état des choses. Sur le dégagement du trépan du trou de sondage de Sardy. Godin annonce à Henri de Hulster qu'il attend des jours de beau temps pour aller choisir un terrain pour un sondage « dans notre arrondissement ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin adresse à Henri de Hulster la copie du journal de sondage pour qu'il puisse apprécier la situation dans la Nièvre. Il lui propose d'aller faire un voyage avec lui dans la Nièvre, et l'avertit qu'il va s'y rendre pour choisir un terrain à sonder si le beau temps persiste.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Levasseur que, pour la troisième fois, son bulletin politique ne lui est pas parvenu à temps, et qu'il ne s'agit pas d'un refus de publier de sa part. Godin attribue ce retard à la neige et à l'insuffisance de l'affranchissement. Il lui explique que le compte-rendu du vote des chambres a été établi d'après Le Courrier de l'Aisne. Godin demande à Levasseur de continuer à lui envoyer son bulletin hebdomadaire, mais il lui fait remarquer que les derniers manquaient de soin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Charles Fauvety a reporté sa visite au Familistère pour des raisons de santé. Godin, qui été lui aussi un peu gêné par un rhume, le prie de venir lorsque le temps sera beau car en raison des pluies continuelles, il est impossible de se promener au jardin et l'Oise inonde la vallée. Il lui renvoie une lettre qui lui avait été adressée à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Levasseur qu'il doit venir à Guise pour voir s'il ne peut embaucher Migrenne. Godin pourrait l'occuper mais à 100 F par mois seulement : il demande si Levasseur peut lui offrir davantage. Il lui indique que le temps est beau, favorable pour qu'il vienne le voir, et précise qu''une chambre sera à sa disposition chez lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin encourage Limousin à venir visiter le Familistère. Il l'avertit qu'il fait en ce moment une chaleur caniculaire à Guise mais qu'il aura de l'air devant les fenêtres de l'appartement mis à sa disposition et qu'il trouvera de l'ombrage dans les jardins et dans la campagne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Cambier du 12 janvier 1882. Il lui envoie son livre Mutualité sociale. Il lui explique que la pierre lithographique ayant servi à imprimer la vue générale du Familistère parue dans Solutions sociales a été détruite, mais qu'il possède la pierre lithographique ayant servie à imprimer la vue générale parue dans . Il précise qu'il ne dispose pas de la photographie utilisée pour faire cette dernière vue et que le temps ne permet pas de réaliser une autre photographie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 décembre 1870
Godin informe Émile qu'il ne peut le jour même se rendre à Solesmes pour le voir, comme le lui avait annoncé le fils Chenest, car il doit loger à Guise 4 000 soldats français. Il espère pouvoir y aller le dimanche prochain si la neige n'empêche pas de voyage en voiture. Il indique à Émile que Lemaire, Lemoine et Judas consentiraient peut-être à servir de sergents instructeurs des compagnies de son bataillon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de son « cher co-religionnaire » du 1er août 1876 et d'un numéro de la revue [La Religion laïque]. Il rappelle à Fauvety qu'il avait demandé un deuxième abonnement au nom de Marie Moret au n° 27 au Familistère. Il demande à Fauvety un troisième abonnement au nom de madame Dallet au numéro 28 du Familistère. Fauvety sollicite une rencontre avec Godin au sujet du spiritisme : Godin mentionne plusieurs auteurs ou ouvrages traitant de la question et signale qu'il ne peut rien leur ajouter ; il indique que ses expériences personnelles sont proches de celles d'Allan Kardec ; il propose à Fauvety une rencontre au Familistère de Guise, dont il pourrait tirer des enseignements d'économie sociale utiles à sa revue, plutôt qu'à Paris. Godin indique à Fauvety que les températures excessives vont cesser, qu'il part quelques jours pour la session du conseil général de l'Aisne, que la fête de l'Enfance aura lieu le 3 septembre, qu'il se rendra ensuite dans la Nièvre et que la visite de Fauvety pourrait avoir lieu avant ou après ce voyage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 11 février 1885. Godin propose à Tisserant de venir séjourner au Familistère pour approfondir les questions relatives à la modification des statuts de la Société du Familistère. Godin lui indique qu'il pourrait indemniser le temps consacré par Tisserant à cette affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Eugène Simon qu'il sera heureux de l'accueillir au Familistère. Il lui explique qu'il a lu avec intérêts ses articles sur la Chine parus il y a deux ans dans la Nouvelle Revue car il y a vu un parallèle avec sa proposition de l'hérédité de l'État en France. Il fait l'historique de sa proposition, publiée dans son livre Le gouvernement... et dans la brochure Mutualité nationale adressée aux députés. Il explique à Simon qu'il a répondu dans Le Devoir aux objections qui lui ont été faites et qu'il a publié une nouvelle brochure sur le sujet, qu'il lui envoie. Il compare la France et la Chine sur cette question. Il remercie Simon de l'envoi de son étude La famille Ouang-Ming-Tse. Il lui recommande de ne pas attendre le mauvais temps pour venir au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les conditions financières d'achats de fonte. Sur des acquisitions de terre : Godin préconise d'acheter des terres près de l'usine. Godin informe son fils Émile qu'il a fait envoyer à Guise une douzaine d'exemplaires de la petite édition de Solutions sociales dont il lui donnera la destination plus tard. Godin croyait Émile absent de Guise : il a indiqué au conseil la réponse à faire à Avot et à Poulain. Dans le post-scriptum, Godin informe son fils que le mauvais temps le fait toujours souffrir et il revient sur l'achat de terres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à son fils Émile de payer l'annuité du brevet qu'il a déposé à Versailles et dont il a remis à Guise le récépissé à Grebel. Il lui explique qu'il était dans un état satisfaisant lors de sa venue à Versailles en raison du beau temps, mais que cet état s'est dégradé depuis à cause du temps pluvieux et froid.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 24 octobre 1855
Esther Lemaire avertit Émile que Godin est parti le matin à Paris, qu'il pourra le retrouver rue de Beaune car il ne descend plus à l'hôtel Voltaire. Elle l'informe que Godin a un paquet pour lui contenant des vêtements. Elle l'encourage à bien étudier. Elle lui indique qu'elle n'a pas eu le temps de lire car Fanie était malade et qu'elle a dû faire le travail à sa place. Elle l'informe que le petit Wateau l'a vu à Paris et lui demande d'embrasser Godin. Elle ajoute qu'elle n'a pas retrouvé son couteau et qu'il doit en acheter un nouveau.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 13 mars 1856
Esther Lemaire adresse à Émile une lettre à remettre à Goubaux pour qu'il lui donne les 30 F. Elle donne à Émile les instructions et les horaires de train pour son voyage de Paris à Guise. Elle lui interdit de prendre le train de nuit et lui demande de prendre un billet de 1re classe. Elle souhaite qu'en arrivant à la gare du Nord, il réserve une place de Saint-Quentin à Guise auprès du bureau des messageries impériales. Elle lui signale qu'il fait un peu froid.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 29 avril 1856
Esther Lemaire informe Émile que Godin part le soir à Paris et qu'il pourra aller le voir jeudi à l'hôtel Voltaire ou lui demander de venir le chercher au collège Chaptal. Elle l'informe que sa marraine est venue hier et qu'elle et la grand-mère Lemaire se portent bien ; elle lui annonce qu'elle va semer sa luzerne et que Godin laisse pousser sa barbe. Elle note que les jardins de leur propriété à Guise ne sont pas encore beaux et qu'il fait encore trop froid pour que les graines poussent convenablement. Elle le félicite d'avoir gagné d'un coup 15 places dans le classement de sa classe. Elle lui signale qu'elle va semer des soleils comme l'année précédente et qu'elle a acheté à Clovis Doudon (?) une chèvre et son petit qu'Émile soignera pendant les vacances. Elle l'avertit enfin que son père lui apportera du chocolat, du pain d'épice et du sel de soude. Dans le post-scriptum, elle demande à Émile s'il a besoin de papier à lettres, d'enveloppes ou de timbres, et lui demande de présenter ses compliments à Wateau.
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