FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Dallet, Marie-Jeanne (1872-1941)
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Envoie 0,50 F en timbres postaux pour le changement d'adresse d'expédition du Magasin d’éducation et de récréation auquel Marie-Jeanne Dallet est abonnée.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 1er mars 1865
Émile Godin annonce à son père qu'il a retrouvé la copie de la lettre de monsieur Joudrain, qu'il a autorisé Nozal à rentrer et l'a envoyé auprès du cousin Moret. Il demande à son père, en séjour à Paris, de bien vouloir aller au siège du journal La Presse afin d'y trouver 16 gravures de la Révolution française ainsi qu'un planisphère Babinet. Il transmet enfin ses bons souvenirs au couple Cantagrel et à leur enfant, ainsi que ses civilités à madame Vigerie, à sa famille et à « Andrée ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 18 avril 1865
Jean-Baptiste André Godin annonce à Noirot qu'il va lui envoyer le travail [sur le Familistère] qu'il a demandé pour le colonel Favé avec une ou deux photographies. Il lui indique que l'envoi de photographies est onéreux par la poste et qu'il faudrait en limiter la distribution ; il annonce qu'il va en faire faire prochainement une nouvelle représentant le Familistère dans un état plus avancé, ainsi qu'un panorama de la vallée de l'Oise depuis la plateforme du pavillon central. Godin voudrait obtenir les lettres qui ont été écrites au Petit Journal contre lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Charles Sauvestre, 7 février 1865
Jean-Baptiste André Godin explique à Sauvestre qu'il n'a plus de motif pour refuser de livrer le Familistère à la publicité. Il l'informe que des articles sont en préparation pour Le Siècle ou pour Le Journal de l'Aisne. Il l'invite à venir au Familistère. Il lui signale qu'un pèlerinage au Familistère depuis Paris est organisé par Cantagrel, et qu'il aura lieu probablement au printemps.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au rédacteur du Journal de l'Aisne, 19 novembre 1864
Jean-Baptiste André Godin souhaite insérer dans le Journal de l'Aisne une offre d'emploi pour 100 ouvriers ajusteurs, intitulée « Travail offert aux adultes, l'éducation pour leurs enfants ». Le texte de l'annonce décrit les logements du Familistère et l'organisation de l'éducation des enfants qui y résident, de la crèche jusqu'à l'apprentissage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Démon, 2 avril 1863
Ville, voyageur de commerce de la maison Godin-Lemaire, a informé Godin du désir de Démon de placer sur son enseigne la mention « Dépôt des cuisinières, poêles, calorifères, cheminées de l'usine Godin-Lemaire de Guise ». Godin l'informe qu'il a autorisé d'autres maisons, à Paris notamment, à faire de même sans que cela ne l'engage en rien à l'égard du commerçant. Il lui donne l'autorisation en lui proposant de mentionner le nom de sa maison dans des annonces publiées dans les journaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur de La Vigerie, 29 juillet 1862
Godin signale à de La Vigerie que sa santé ne lui a pas permis de lui écrire depuis son arrivée à Londres, et il l'informe que l'expédition d'appareils lui a été faite sans emballage spécial. Godin souhaite recevoir les dessins promis par de La Vigerie et il voudrait avoir des nouvelles de la possibilité d'obtenir un article d'un journal de Londres sur les produits de la maison Godin-Lemaire en fonte vitrifiée imitant le marbre.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lacarole, 1er juillet 1862
Godin fait à Lacarole une série d'observations sur le paiement de ses services de représentation de la maison Godin-Lemaire à l'Exposition universelle de Londres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Laffite, Bullier et Cie, 20 janvier 1863
Godin demande à Laffitte, Bullier et Cie de publier dans les journaux Le Siècle, L'Opinion nationale, La Presse, Le Constitutionnel, La Patrie et Le Temps une offre d'emploi pour la direction et la surveillance du travail d'une exploitation rurale.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Laffite, Bullier et Cie, 1er novembre 1862
Godin demande à Laffitte, Bullier et Cie de publier dans les journaux Le Siècle, L'Opinion nationale, La Presse, Le Constitutionnel, La Patrie et Le Temps une offre d'emploi pour un artiste sculpteur connaissant les formes applicables à l'ameublement et le modèle pour la fonte de fer.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Laffite, Bullier et Cie, 17 mai 1862
Godin adresse à Laffitte, Bullier et Cie un paiement de 100 F sur le Comptoir d'escompte de Paris pour la publication d'une offre d'emploi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Laffite, Bullier et Cie, 13 mai 1862
Godin demande à Laffitte, Bullier et Cie de faire paraître dans différents journaux une offre d'emploi pour un jeune homme capable de diriger industriellement et commercialement une usine de fonderie en Belgique et pour un jeune homme capable de diriger la construction et la réparation de l'outillage mécanique d'une usine en France comprenant plusieurs machines à vapeur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 9 novembre 1861
Godin informe Cantagrel que l'offre d'emploi d'un économe qu'il lui a demandé de faire paraître est mal rédigée et qu'il aurait dû mettre l'accent sur le mot cuisine. Il lui demande de faire paraître une nouvelle annonce « car je crains que la demande de cuisinier passe inaperçue et je veux arriver au perfectionnement de l'art culinaire pour les masses ». Il indique que messieurs Attishoffer et Prudhomme ne lui conviennent pas.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 28 septembre 1861
Godin informe Cantagrel que l'annonce d'offre d'emploi lui a valu déjà 15 lettres qui ne satisfont pas son besoin de comptables. Il évoque la candidature de Vannaisse, qui se présente comme homme d'action et comme phalanstérien : « Quoique cette qualité ait infiniment perdu de son prestige à mes yeux, elle ne peut être malgré cela une cause d'écart [...] ». Godin explique à Cantagrel qu'il pourrait remplacer le responsable actuel de l'économat du Familistère qui perçoit 2 000 F d'appointements. Godin décrit la fonction. Il indique à Cantagrel que Vannaisse habite au n° 37, rue Notre-Dame-de-Lorette, qu'il a 35 ans, qu'il est marié et qu'il a un enfant ; il demande à Cantagrel des renseignements complémentaires. Dans le post-scriptum, il réclame la note des frais de la publication de l'offre d'emploi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 12 septembre 1861
À propos de Pernet-Vallier. Godin informe Cantagrel qu'il pense confier à Pernet-Vallier des affaires. Il demande à Cantagrel de remercier Pernet-Vallier de l'avoir aidé à faire le choix de Vigerie pour le poste de comptable des Fonderies et manufactures du Familistère, qu'il est heureux d'avoir rencontré pour le seconder dans la tâche qu'il s'est fixée. Godin demande à Cantagrel de publier dans les journaux une nouvelle offre d'emploi. Sur le Familistère : Godin demande à Cantagrel de lui indiquer le moyen de réunir une collection de livres pour un cabinet de lecture, de façon à donner une lecture variée et attrayante ; Godin soumet à Cantagrel l'acquisition des œuvres de Balzac illustrées par Furne, un Traité d'astronomie à l'usage des gens du monde par Arago, et il lui demande conseil pour la littérature contemporaine, qu'il connaît peu ; il remercie Cantagrel de l'aider à constituer une « collection de livres les plus propres à faire sortir la masse de l'ornière des préjugés tout en ayant le mérite de l'attirer », ce qui justifie son désir d'avoir des livres illustrés, qu'on aime à revoir. Sous la signature de Godin, au bas du folio 226v, se trouve le texte d'une offre d'emploi pour la direction des fonderies et du travail de 300 mouleurs, et pour le travail d'outillage mécanique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Guillon, 2 février 1858
Godin demande à Amédée Guillon de faire paraître dans les journaux une offre d'emploi de responsable des modèles des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, dont le texte est copié à la suite de la lettre. Il informe Guillon qu'il n'a pas de nouvelles observations à faire sur le Bulletin de la Société de colonisation européo-américaine au Texas après celles qu'il avait communiquées à Bourdon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Charles, 11 décembre 1857
Godin expose à A. Charles qu'en 1855, madame Charles lui écrivait, à la suite d'une offre d'emploi publiée dans les journaux, pour lui proposer son beau-frère qui habitait en Belgique, mais qu'il ne donna pas suite. Il souhaite reprendre contact avec la personne, car ses établissements se développent et que des besoins nouveaux se font sentir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Boureau, 4 mai 1896
Godin répond à un candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Alfred Boureau d'éclaircir un point de sa candidature : Boureau a quitté Varigny, car il y était accablé de travail ; cependant Godin prévient que l'emploi à pourvoir nécessite « des soins attentifs et soutenus joints à une participation active en tout ce qui touche les rapports commerciaux, la comptabilité et à ce que la fabrication a de commun avec eux pour l'achat des matières premières, le soin des débouchés et de la vente, toutes choses dans lesquelles viennent prendre place la correspondance, la direction des voyages, les renseignements sur les produits similaires qui peuvent surgir au dehors, l'envoi en temps opportun des circulaires et des tarifs annuels, enfin les vue d'ordre et d'économie générale ». Godin précise que le travail dans les bureaux se fait de 7 à 8 heures du matin jusqu'à 7 heures du soir, voire davantage au moment de presse des expéditions. Godin mentionne la présence de 200 ouvriers à Guise. Il demande à Boureau ce que la description du poste lui inspire.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Coquenet et Van Heusden, 29 juillet 1863
Sur un accord commercial avec Coquenet et Van Heusden. Godin confirme à Coquenet et Van Heusden : qu'ils percevront une commission de 5 % sur toutes les affaires conclues aux Pays-Bas ; que Godin prendra à sa charge les frais de transport des marchandises, les frais de douane et de correspondance ; qu'ils prendront à leur charge la publication de quatre annonces annuelles dans le journal Handelsblad indiquant aux marchands qu'ils sont les agents de Godin-Lemaire dans les Pays-Bas et au public les maisons des différentes villes où se trouvent les appareils Godin-Lemaire. Il les informe qu'il préviendra par circulaire ses clients des Pays-Bas qu'ils représentent la maison Godin-Lemaire et que Van Gennip n'est plus en relation avec cette dernière. Il indique que l'accord prendra effet le 15 août 1863.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 23 [août 1846]
Envoi d'un mandat de 61 F pour l'abonnement de Lhermitte d'Esquéhéries à La Démocratie pacifique et à La Phalange, pour l'abonnement de Caron fils d'Esquéhéries au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique, et pour la contribution de lui-même et de Lhermitte à la rente de l'École sociétaire. Godin indique qu'il compte bientôt aller à Paris. Il fait remarquer que certains abonnés au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique en jugent la lecture trop sérieuse, pas assez amusante et ne renouvelleront pas leur abonnement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 19 mars [1846]
Godin envoie 16 F dont l'emploi est indiqué à la fin de la lettre : abonnements au numéro de quinzaine de La Démocratie pacifique de monsieur Moricourt-Viéville, banquier au Nouvion-en-Thiérache, et de monsieur Paringaux ; contribution de Godin et Lhermitte en faveur de la Pologne. Sur une pétition. Godin évoque la difficulté du libraire de Guise d'obtenir des livres de la Librairie sociétaire, que le Comptoir central de la librairie n'expédie plus.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 23 [décembre 1845]
Sollicite une réponse à la lettre du 8 décembre 1845 et signale qu'il ne souhaite pas d'almanachs supplémentaires. Abonnement au nom de madame Auguste Lécolier à Floyon (Nord).

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 8 décembre [1845]
À propos d'une circulaire du 16 août mentionnée dans la « Petite correspondance » [de La Démocratie pacifique]. Godin demande l'envoi des titres correspondants aux souscriptions qu'il a déposées à Paris et qu'Allyre Bureau avait promis d'envoyer chez monsieur Doloi à Saint-Quentin. Godin demande qu'on lui adresse des almanachs, et il envoie 8 F pour l'abonnement au numéro de quinzaine [de la Démocratie pacifique] de messieurs Gosse à Prisches, Viéville-Charlemagne à Esquéhéries et Élisée Drucbert rue du Palais-de-justice à Saint-Quentin. Godin reproche à ses correspondants la publication du feuilleton du dernier numéro de quinzaine de La Démocratie pacifique : « On ne devrait pas en infliger de pareils à La Démocratie pacifique ; douze grandes colonnes de papier noircies ! Rien n'a pu rester dans la mémoire de ce que je me suis efforcé d'y lire que la couleur. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre [1845]
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent ; monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier le théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs les gérants de La Démocratie pacifique, [12 janvier 1844]
À propos de l'abonnement à La Démocratie pacifique de Godin et de monsieur Lhermitte. Sur les conditions d'existence des tisserands et des ouvriers du bois de la région du Nouvion-en-Thiérache (Aisne).

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants et directeurs de La Démocratie pacifique, 29 novembre 1843
Sur la souscription de 250 F au capital de la société formée pour la transformation de La Phalange, envoyée le 3 juillet 1843 et dont Godin n'a pas reçu l'avis de réception. Sur les abonnements de Lhermitte, « mon collaborateur », et de Michaud de Prisches à La Phalange et à La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Considerant, 16 août 1843
Sur l'abonnement à La Démocratie pacifique de monsieur Michaud de Prisches. Récit de l'abandon d'un nouveau-né à Bergues, manifestation de la misère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Considerant, 3 juillet [1843]
Souscription d'une valeur de 250 F au capital de la société formée pour la transformation de La Phalange en journal quotidien, au nom de Godin et à celui de Lhermitte. Sur la diffusion du journal ; Godin suggère l'envoi de numéros de La Phalange à monsieur Michaud de Prisches, dont l'abonnement au Siècle pourrait ne pas être renouvelé. La lettre est signée « du phalanstérien Godin-Lemaire ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants du journal La Phalange, 30 avril [1843]
Souscription au capital de la société formée pour la transformation de La Phalange en journal quotidien. Sur le titre du journal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie Pacifique et à l'École sociétaire, 20 [septembre 1849]
Godin accuse réception du numéro 11 du Bulletin phalanstérien contenant un appel de Victor Considerant ; il promet de verser 1 000 F au bénéfice des sociétés créées en 1840 et 1843 [pour la propagation et la réalisation de la théorie de Fourier et la publication de la Démocratie pacifique], comprenant les 500 F prêtés en 1848 à La Démocratie pacifique ; il envoie 100 F à titre d'avance. Godin explique qu'il croit à un découragement général parmi les phalanstériens. Il constate que les circulaires et les appels du Bulletin sont devenus une habitude et n'éveillent plus l'attention des destinataires. Il livre un conseil aux dirigeants de l'École pour exciter l'intérêt des phalanstériens et les presser à la générosité envers l'École : « Élevez les cœurs au diapason de l'unitéisme. Pour cela, faites lithographier immédiatement une nouvelle circulaire dans laquelle vous ferez ressortir les chances probables de l'appel européen, les avantages qui en résulteront, l'espoir d'une réalisation prochaine dont dépendent notre salut et le salut de l'humanité. Demandez formellement l'accusé de réception de l'appel de Considérant (sic) et la détermination de chacun. » Godin joint à sa lettre une note relative à son compte de librairie et aux abonnements, par laquelle il renouvelle son abonnement à La Démocratie pacifique et à La Phalange et celui de Poupart de Lesquielles-Saint-Germain à La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 18 mai 1849
Godin renouvelle un abonnement à La Démocratie pacifique au nom de Poupart à Lesquielles-Saint-Germain et souscrit un abonnement au numéro de huitaine du journal au nom de Romarisse, ouvrier fondeur à Guise, dont le prix est à porter sur son compte de librairie.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léon Magnier, 3 mai 1849
Godin demande à Magnier de supprimer son nom de la liste d'envoi du supplément littéraire de son journal. Il lui demande ce qu'il pense du banquet socialiste qui doit avoir lieu le dimanche suivant à Saint-Quentin. Godin indique qu'il compte s'y rendre si cela est utile « au progrès de l'idée » et demande si des toasts seront prononcés, si les journaux en rendront compte et qui sera présent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 13 avril 1849
Godin souscrit un abonnement au numéro de huitaine de Le Démocratie pacifique au nom de Hutin-Parmentier à Guise. Il signale que les envois de l'abonnement au numéro de huitaine du journal auquel il a souscrit récemment ne parviennent pas régulièrement. Il demande l'envoi de plusieurs exemplaires de deux ouvrages par l'intermédiaire de Véran Sabran.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 23 mars 1849
Godin souscrit un abonnement au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique au nom de Millet, ajusteur à Guise, et demande de porter la dépense de 4 F sur son compte de librairie, créditeur de 32,45 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 10 février 1849
Godin explique à ses correspondants que la liste nominative de phalanstériens voulue par le congrès phalanstérien pour développer les liens entre condisciples a peu de chance de s'étoffer en raison des persécutions qu'ils subissent. Il propose de publier dans le Bulletin phalanstérien, à l'imitation de monsieur Fromon de Chartres et de monsieur Santonase de Dole, une annonce commerciale relative à la vente des appareils de chauffage de sa fabrication, avec une remise de 10 à 20 % pour les acheteurs phalanstériens et un versement de 10 % du prix à la rente de l'École sociétaire ; Godin fait l'hypothèse d'une vente annuelle de 100 appareils à 100 F en moyenne par ce moyen, qui permettrait une contribution de 1 000 F par an à la rente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 10 février 1849
Godin transmet deux communications, deux coupons de sa souche [de cotisations à la rente de l'École sociétaire] et la somme de 64 F. Il demande le renouvellement de l'abonnement à La Démocratie pacifiquede monsieur Poupart à Lesquielles et l'envoi par l'intermédiaire de Véran Sabran d'une vue du phalanstère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 10 janvier 1849
Godin reçoit une circulaire des gérants de La Démocratie pacifique au moment où il s'apprêtait à leur envoyer des cotisations [à la rente de l'École sociétaire]. Godin déplore le dénuement de l'École sociétaire. Il avance l'idée que 300 phalanstériens versent chacun 100 F en cinq jours. « Est-ce là la stricte mesure de ce que je puis ? Non, je ne conçois pour limites au dévouement que l'épuisement absolu des ressources et je suis encore loin de là. » Godin pense que la rente pourra connaître un nouveau développement après la proposition de réalisation que Considerant doit faire à l'Assemblée nationale, mais croit aussi que le phalanstère est trop éloigné du domaine politique et qu'on ne peut attendre un soutien à sa réalisation que par des personnes qui ont sérieusement étudié la théorie de Fourier : « Il faut des convictions. Les livres seuls peuvent les former. Vous savez combien cela est long, mais quand l'idée phalanstérienne sera posée officiellement devant le monde, il se peut que la tâche de vos amis devienne plus facile. » Sur la collecte des cotisations à la rente. Godin remet 200 F à ses correspondants, somme qui porte ses versements à 340 F depuis le 16 novembre 1848, dont 182 F pour la rente, 72,35 F pour des abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange, 4,90 F pour la souscription à Robert Blum et le reste à porter sur son compte de librairie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 26 décembre 1848
Godin signale aux gérants de La Démocratie pacifique que certains numéros du journal ne lui sont pas parvenus. Il accuse réception d'exemplaires des Entretiens socialistes qu'il a choisi de donner plutôt que vendre : « L'ouvrier qui depuis longtemps est privé du salaire qui le faisait vivre ne peut acheter de livres et l'ignorance des masses est encore trop profonde pour que la vérité écrite triomphe aussi facilement du charlatanisme et de l'erreur. » Il ajoute que le sol est aride et qu'il ne faut pas être pressé de recueillir les fruits de la propagande. Il renouvelle ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange, commande des livres et des estampes à lui expédier par Véran Sabran, et envoie un billet de 100 F. Godin indique que la Librairie sociétaire doit commettre des erreurs dans la vente des lithographies : il a payé 5 F la vue coloriée d'un phalanstère de 90 par 63 cm, qu'il ne trouve pas à ce prix au catalogue ; il demande une vue identique à la sienne et un portrait de Fourier (à 12 F) qu'il destine à quelqu'un.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérants de La Démocratie pacifique, 16 novembre 1848
Godin souscrit un abonnement à La Démocratie pacifique au bénéfice de monsieur Poupart à Saint-Germain près de Guise et commande plusieurs ouvrages à lui expédier par l'entremise de Véran Sabran. Godin remet un mandat de 40 F et demande qu'on n'oublie pas ses droits à la remise [sur les ouvrages de la Librairie sociétaire].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Damaye, 14 novembre 1848
Godin demande à Damaye le service de se rendre dans les bureaux des trois journaux de Saint-Quentin pour leur demander les numéros de 1847 et 1848 dans lesquels ont été publiées des annonces pour la vente de cuisinières.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Richard, 19 août 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin accuse réception de la lettre de Victor Richard du 7 août 1848 et des pièces qu'elle contenait. Il le remercie pour ses services dans l'affaire de l'expertise par Barral, mais exprime son regret que trois mémoires et d'autres pièces ne lui aient pas été renvoyés et qu'on lui ait fait croire à l'existence d'un rapport qui n'existe pas.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 17 août 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin demande qu'Oudin-Leclère agisse pour que l'affaire soit appelée devant le tribunal même si Beaudelot ne préside pas le tribunal de Vervins et même s'il n'a pas reçu le rapport qu'il attend.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie Pacifique, 5 août 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin informe ses correspondants que Barral lui a écrit le 28 juillet 1848 pour lui annoncer qu'il avait déposé les documents du procès en contrefaçon à La Démocratie pacifique, et qu'il ne les a toujours pas reçus.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 11 juillet 1848
Sur la persécution des phalanstériens de l'Aisne : Godin explique à Bureau qu'au cours de l'interrogatoire qu'il a subi le 4 juillet 1848 pendant la perquisition de sa maison, le procureur de la République lui a demandé s'il avait vendu des livres à un prix différent de celui qui y était porté, qu'il a répondu qu'il n'avait placé que des ouvrages de la Librairie phalanstérienne et qu'il a écrit une lettre aux journaux de Saint-Quentin qu'ils ne pourront publier que le dimanche suivant [16 juillet 1848]. Sur l'expertise du procès en contrefaçon Degon : Godin rappelle à Bureau qu'il avait confié à Barral en février 1848 un rapport de contre-expertise et des documents à examiner et qu'il a compris en lisant La Démocratie pacifique les raisons pour lesquelles Barral ne lui a pas répondu ; il demande à Bureau de lui retourner les documents confiés à Barral pour lui éviter d'aller à Paris les chercher lui-même. Sur la faillite d'un monsieur Budy qui devait 413,12 F à Godin : sans nouvelles de l'huissier Lépine à qui il avait confié l'affaire, Godin propose à Bureau de charger quelqu'un de recouvrer sa créance au bénéfice de La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 4 juillet 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin demande à Jean-Augustin Barral qu'il réponde à la lettre qu'il lui a écrite le 3 juin 1848 et qu'Allyre Bureau a dû lui rappeler ; Godin lui précise qu'il ne peut se passer des pièces qu'il lui a confiées.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léon Magnier, 5 mai 1848
Godin adresse à Léon Magnier le compte-rendu d'une fête qui s'est tenue à Guise le 4 mai 1848 afin qu'il soit publié dans le journal de celui-ci [Le Courrier]. Il lui signale qu'il en a envoyé une copie à Calixte Souplet ; il lui demande si l'article dépasse les limites d'une insertion gratuite et se dit prêt à payer dans le cas contraire « car les scandales que l'on a versés sur les phalanstériens ont besoin d'une réhabilitation ». Il prie Magnier de demander au Guetteur s'il devra quelque chose pour l'insertion.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 5 mai 1848
Godin adresse à Calixte Souplet le compte-rendu d'une fête qui s'est tenue à Guise afin qu'il soit publié dans le journal de celui-ci [Le Guetteur]. Il souhaite par ailleurs lui parler à l'occasion de son prochain voyage à Saint-Quentin d'un roman dont il est l'auteur et qui pourrait être publié en feuilleton dans le journal.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 2 avril 1848
Godin demande à Godon sa profession de foi pour les élections afin qu'il puisse lui faire ses observations. Il affirme à Godon que le mouvement de l'opinion lui semble favorable et qu'il espère obtenir deux à trois mille voix à Guise. Il envoie à Godon sa profession de foi et celle de Véran Sabran et lui demande combien il en souhaite d'exemplaires. Godin encourage Godon à se montrer actif à Laon, lui envoie le programme des travailleurs de Guise et espère qu'il fera insérer sa profession de foi et celle d'Adolphe Sabran dans les journaux de Laon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frédéric Lejeune, 2 avril 1848
Godin indique à son correspondant qu'il est recommandé par La Démocratie pacifique pour être candidat aux prochaines élections. Godin l'informe qu'il compte obtenir à Guise deux à trois mille voix, l'invite à le rejoindre et prône l'union des phalanstériens. Godin envoie à Lejeune la profession de foi d'Adolphe Sabran et la sienne et lui demande combien il en souhaite d'exemplaires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérants de La Démocratie pacifique, 14 mars 1848
Godin informe ses correspondants qu'il vient d'écrire à Glatigny et Godon de Laon et à Curé de Fargniers pour leur proposer de s'unir afin de s'adjoindre un journal, par exemple Le Courrier de Saint-Quentin, pour diffuser leurs idées auprès des travailleurs en distribuant gratuitement le journal dans les auberges et les lieux publics. Godin affirme qu'ils ne pourront obtenir une majorité qu'avec le concours des travailleurs, et leur annonce qu'il se rendra le lendemain avec Adolphe Sabran pour mettre à exécution ce projet. Il demande quels rapports ses correspondants ont avec monsieur Dufour et s'ils connaissent des personnes pouvant l'aider. Il leur indique qu'il se trouvera au Café français. Godin envoie 8 F pour l'abonnement à La Démocratie pacifique de monsieur Gosse de Petit-Fayt.
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