Kimbolton. Castle Lundi 19 mars 1849
9 heures
J'arrive. Je viens de m'habiller. On dîne à 6 heures. La poste part dans une demi-heure. Grand château délabré. Vous aviez raison. A coup sûr il n'est pas riche. Deux choses seules l’occupent ; les prophéties hébraïques et les ruines de Ninive. Bon et saint homme, très poli. Il vient de me remettre ses papiers. J'examinerai cela demain matin. Je désire qu’il vaille la peine d'être venu. Car sans cela, j’en serais fort ennuyé. Point de Macalllay. Un beau-frère, M. Calérafh, que j’ai rencontré au chemin de fer, assez d’esprit, ami de Peel. Une jeune fille de 18 ans en grand deuil, jolie, noble, intelligente et gauche. Des chambres très froides. Je m'en doutais. J’ai ma pelisse. Adieu. Adieu. Je vous disais demain à quelle heure je partirai après demain. Adieu. G.