Non renseigné

Mme Helvétius tint salon à Auteuil après la mort de son mari en 1771

Pappas la date de 1750 car il la pense destinée à Dumarsais, ce qui est peu probable, d'une part parce que l'Essai sur les préjugés est plutôt attribué à d'Holbach et compte 210 p., d'autre part parce que la l. semble plutôt adressée à un jeune confrère, auteur d'un ms. de 10 p. sur les préjugés (aucun écrit connu de Condorcet ne correspond à ce ms)

Non renseigné

D'Al. habite au Louvre après 1776

ce n'est pas parce que cette l. parle de la Destruction des jésuites qu'elle est de 1765. Adressée au « secraitaire de l'academie francoise au Louvre », elle est donc postérieure à 1776. Lacretelle écrit le 12 novembre [1783] (cat. vente N. Charavay octobre 1979, n° 38365) qu'il a passé ses soirées chez D'Al., « proche de la mort » et cette l. peut donc dater de c. 1780

le Ms. 2466, à quelques exceptions près, ne contient que des lettres adressées à D'Al.

à la date de la l., plusieurs vol. de l'Enc. ont paru et Maupertuis est encore vivant

les six vers à Fréd. II sont probablement ceux que D'Al. écrivit après la guerre de Sept Ans (Ms. 2467, f. 282-283)

si le « gâteau » désigne le Supplément à l'Enc., la l. est postérieure à mi-1771. Il peut également s'agir de l'éd. de Kehl ou de l'Enc. méthodique : voir les l. qui font état des relations de D'Al. avec Panckoucke en 1780-1781

pourrait être de l'auteur des Mémoires sur les cacouacs (1757) et de nombreux autres ouvrages anti-philosophiques jusqu'à sa mort, mais Moreau est un nom très commun

D'Al. a lu son éloge de Bossuet à l'Acad. fr. le 15 mai 1775. Les vendredi 22 précédents tombent en avril et juillet 1774. Mais D'Al. a manifestement retravaillé cet éloge jusqu'à la publication en 1779

d'après Mlle Rezler, la l. est de la main d'un secrétaire. D'Al. s'est servi d'un secrétaire la première moitié de l'année 1767 qui n'a pas de mardi 22, fin 1768, en 1769 et en 1771

après décembre 1760, puisqu'il fait allusion à son confrère Watelet

Pougens né en 1755, est devenu proche de D'Al. dans les années 1780

mise en vente Piasa déc. 2010, Rde 46

Stoupe est reçu libraire en avril 1772 et imprimeur en août 1773. Il succède à Le Breton en mai 1773 après avoir été son prote.

Gaillard est secrétaire général de la Librairie du 21 avril 1775 au 16 mars 1779

probablement entre 1758 et 1766, date de leur commerce épistolaire connu

la l. date d'une époque où Chamfort est un « jeune homme de beaucoup de mérite »

Non renseigné