Il faut avoir absolument envie d’être fixé sur la grave question de savoir si M.
Bien que je n’aie eu que le plaisir de voir M.
C’est à peu près ce que j’ai découvert de plus intéressant en allant voir le grand-prêtre du naturalisme.
Si la mode des sous-titres n’était pas un peu vieillotte, il faudrait intituler ceci : M. Zola décoré, ou Attendons le 14 juillet. C’est du moins le conseil que nous a donné le romancier. Nous attendrons. Mais comme ce sera long !
Toutefois, comme il est assez admis maintenant de rédiger, sous le nom d’interviews, des récits qui se bornent à ceci bien développé :
— Monsieur, que pensez-vous de telle chose ?
— Monsieur, je n’en pense rien, ou — monsieur, je ne veux pas vous le dire.
— Bien, monsieur, je rapporterai vos paroles.
Exécutons-nous.
Pour ceux de nos lecteurs qui n’ont pas vu M.
Il est impossible en entrant là de se figurer qu’on va se trouver chez un romancier, et naturaliste encore. C’est plutôt la maison d’un bonnetier misanthrope et admirateur du grand siècle. — Ainsi nommait-on le siècle de Louis XIV quand nous étions en rhétorique.
Nous prenons bonnetier comme nous aurions pris n’importe quel type de bourgeois, ne voulant dire aucun mal de ce sexe à qui nous devons le gilet de tricot.
C’est en effet une maison carrée, avec des arêtes en briques, surmontée, si nous avons bonne mémoire, d’une balustrade en pierre. On s’étonne de ne pas découvrir dans le jardin une ou des statues en plâtre de Galants Jardiniers qui iraient avec le reste. Quant à l’épithète de « misanthrope », elle est justifiée par la difficulté d’accéder à cette retraite. Il n’y a pas de station à
Pour l’admiration professée par M.
Les habitants de
Enfin, à travers une grille, il m’a fallu d’abord interviewer la cuisinière de M.
— Monsieur ne pourra sans doute pas vous recevoir, il a quelqu’un.
Cependant je suis introduit dans une salle de billard pseudo-japonais. Aux murs un portrait de
Au bout de quelques instants, j’entends siffler une fanfare de chasse, la porte s’ouvre, et M.
C’est sur ces mots pleins de mystère que j’ai quitté M.
Puis, lorsque, après cette bonne promenade, j’ai vu au retour la gare