Cher Monsieur,

Ainsi que je vous l’avais dit, j’ai tenu à soumettre au Conseil d’Administration, la commande de « La porte de l’Enfer » destinée à notre Musée. Elle vous avait bien été en effet, commandée ferme, voici un certain temps (23 novembre 1922) mais, comme nous avons besoin de 2 portes de l’Enfer, 1 pour Monsieur Matsukata, et une pour Monsieur Mastbaum, la commande des 2 Portes de l’Enfer se trouvait remplie par les besoins de nos commandes.

Le Conseil d’Administration a toutefois décidé, que conformément à votre lettre du 22 décembre 1922, nous pouvons vous commander ferme à nouveau, une porte de l’Enfer en bronze, destinée au Musée de la Rue de Varenne étant bien entendu, que cette porte ne coûtera pas de fonte davantage que vous ne l’avez prévu dans la lettre citée ci-dessus.

Voulez-vous être assez aimable, pour confirmer notre accord à ce sujet, quant au prix et quant à la date de livraison, pour le bon ordre de mon Administration.

Veuillez trouver ici, Cher Monsieur, l’assurance de mes meilleurs sentiments.