D'vnun œil fardé, d'vnun trahiſtreuxtrahistreux entretien, D'vneune douceur dedans le fiel paßéepassée, Tu me nourris depuis que ieje ſuissuis tien, Et ſisiaussi en as vnun autre en la penſéepensée. O cœur maling ! ô amour inſenséeinsensée ! Plus ij'ayme, &et moins à m'aymer ieje te force : Et l'autre en qui ſonson ardeur eſtest glacée, IouitJouit du bois dont ieje n'ay que l'eſcorceescorce.