je crois que je ne serai pas près de toi, cet après-midi, bien que je ne sois pas allé au Montcel aujourd’hui, afin de pouvoir accompagner ton père. Je ne tiens ni à te voir suivant le corps de ton père, ni à te dire, et à tes parents, des mots affectueux, ni surtout à prendre ma place de figurant parmi tous les gens qui seront là. Je passerai l’après-midi à relire des pages de ton père. Nous irons, Janine et moi, la semaine prochaine, au cimetière.
Tu m’approuves, n’est-ce pas ?
Je t’embrasse
Ce n’est pas seulement à cause de toi, que la mort de ton père m’a ému. Si peu que je l’aie connu, j’avais – j’ai de l’attachement pour lui.
- Je ne veux pas faire une belle lettre à ta mère et à ta tante ; dis-leur, un peu plus tard, ce que je pense, et ressens. Ta mère m’a à peine vu, mais ta tante connait mon affection.