Transcription Transcription des fichiers de la notice - Lettre de Marcel Arland à Jean Paulhan, 1929 Arland, Marcel (1899-1986) 1929 chargé d'édition/chercheur Société des Lecteurs de Jean Paulhan, IMEC, Université Paris-Sorbonne, LABEX OBVIL ; projet EMAN (Thalim, ENS-CNRS-Sorbonne nouvelle) PARIS
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1929 Fiche : Société des Lecteurs de Jean Paulhan ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l'Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR)
Français
[1925]Erreur de classement ? Mon cher Jean,

Le livre de J. Maxence n’est pas négligeable. Et que M. ait dit du mal de la nrf, c’est une nouvelle raison d’en parler, n’est-ce pas ?

Tu devrais parler des jeunes revues; Je ne vois que toi (et moi, peut-être) pour en parler. Mais moi, ne me demande pas de notes, s’il te plaît, avant quelques mois.

Est-ce que nous ne devrions pas tourner en ridicule la manière dont on parle (Et d’abord dont l’éditeur parle) de certains livres ? J'imagine assez bien ce que pourrait être un « sottisier « qui ne s’intéresserait pas aux fautes de français ou aux erreurs de géographie ou d’histoire.

- Comme, au milieu même de gens sympathiques, je me sens près de toi !

M.

par exemple « Le grand critique A. Thérive » (publicité N.R.F.) - « Un de ces romans comme il n’en paraît qu’un par siècle » (publicité des Hommes de bonne volonté) – Liste des écrivains qui réclamèrent de veiller le cadavre présidentiel.Relié par une flèche à l’avant-dernier paragraphe de la lettre.

vendredi

Je reçois une lettre de Th. Maulnier ; je te la montrerai. Elle est très belle. Il est impossible pour l’homme qui l’a écrite soit un sot (mais la question ne se pose pas) et que nous ne lui devions pas de la sympathie. Lui as-tu demandé qqch. pour la nrf ?

Maulnier me paraît de tous les jeunes gens de ce groupe, le plus indépendant. Nous devrions le gagner à la nrf.Ces deux paragraphes en bas de la page.

Tu devrais demander que l’on parle du livre de Berthault.En haut de la page.

1925

BruxellesDate et nom au dos de la lettre, d’une autre main (Paulhan?)