Mon cher ami, vous m'aviez dit que vous liriez avant votre départ la 2ème partie de mon roman, et surtout le début de cette 2ème partie. J'en ai besoin, car je ne sais si les changements que j'y ai apportés sont heureux. Pouvez-vous lire cela avant de partir et m'envoyer un mot. C'est pressé : Gaston Gallimard me réclame le manuscrit. Quand vous aurez fini, remettez-lui ce manuscrit. Votre ami
Monsieur Jean Paulhan
nrf
3 rue de Grenelle
Paris
[Carte postale : Scènes et Types. Jeune Mauresque]