[1927]
Mon cher ami, je vous ai déjà remercié en Juillet dernier de m’avoir indiqué Cassis et Porquerolle. Je vous remercie aujourd’hui pour Port-Cros. Evidemment c’est assez merveilleux (cela m’ennuie de le reconnaître.) C'est un repos pour moi, et un petit paradis. Mais il est bien entendu que je n’aime pas ça. Je le déteste. Ce paradis me rend malade. - Je vos ai envoyé quelques niaiseries ? Ce matin.
Je ne vous ai pas dit – mais ma voix compte pour vous, n’est-ce pas ? - que votre réponse au banquet P. était à la fois très noble et très [fine?]
monsieur Jean Paulhan
nrf
3 rue de Grenelle
Paris