je me rends compte que je suis mal fait pour tenir mon emploi à la revue – pour tenir un emploi dans le monde littéraire. Trop maladroit et trop vulnérable. L’article de R. Guérin [Raymond Guérin] achève de me convaincre. Permets-moi donc de me retirer de la revue. Je vais essayer de retrouver un peu de courage loin de tout cela.
Je t’embrasse :