j’ai trouvé hier à la nrf (qui l’avait gardée) la lettre que tu m’écrivais le 10 septembre.
Je n’ai pas lu la pièce de Marc Bernard. Mais il a bien pris tes reproches ; il m’a simplement conclu que, sur certains points (fort rares), tu pouvais te tromper.
Je relis ta Petite Préface..., qui ne cesse de m’exciter (bien que, çà et là, l’envie me prenne de renoncer pour jamais à la critique).
Mon récit est achevé ; je n’ai qu’une soixantaine de pages à revoir et à recopier. Mais pour les Cahiers il est beaucoup trop long, et de nature particulière ; je t’en donnerai des fragments.
Ce sera au point vers la fin de l’année.
Je t’embrasse.