Vous êtes tout à fait aimable. j'ai reçu les Soliloques en une jolie édition et les deux volumes des Confessions, éditions Granier.
Je suis vraiment un ignorant. J'aurai pu, en me
cordialement.
Je vous communique les dernières épreuves de l'Ile fée (mais non pas pour corrections, nous avons depuis, échangé des feuillets
J'espère que vous serez à nouveau ici à Pâques
Fort attachant, fort vif d'esprit votre dernier carnet. Le grand homme ne vous en saura peut-être pas le plus grand gré bien que vos ligne ne contiennent point la moindre irrévérence.
Nous avons eu peu de degrés au dessous de zéro mais hélas ! assez, cette fois, pour que nos jolies bordures de géraniums et nos plantes périssent
[Dans la marge gauche]
C'est peu auprès de ce que nous lisons avoir sévi sur le continent. Le soleil est là toujours splendide et bienveillant. (– voir l'Ile fée – !!!). N'avez-vous pas trop souffert. Ma femme s'est enrhummée. Elle est robuste, mais elle [la suite de la phrase est entièrement raturée et donc illisible]
[en-dessous de cette phrase] caviarde ce qui suit. Amen
[Dans la marge droite]
Nos amitiés les meilleurs à Germaine et bien affectueusement vôtre, Cl. Balyne.