je vous remercie d’avoir rétabli mon premier texte de Sporades, qui valait en effet, bien mieux.
Je vois, en reprenant mon scholie, que la partie conservée par vous comporte encore les trois notes que je vous envoie. (La première note toutefois me semble d’un intérêt discuttable.)
Thérive a consacré à mon Délice un grand feuilleton, qui me paraît de nature à améliorer mes affaires avec la maison Gallimard. – Aurai-je un « Arland » pour septembre ?
Je commence, pour le Dictionnaire philosophique de Voltaire,
Bien amicalement à tous deux.
A Paris, jusqu’au 6 août.
En vieux militaire que je suis, j’ai un surcroît de respect pour Tatou depuis qu’il a voulu dévorer Le S[avoureux]. – Et sans aboyer !.