voici ce que je vous disais ce matin au téléphone et que vous paraissiez ne pas entendre.
Il se pourrait que Gaston G[allimard] vous réponde, quand vous lui soumettrez mes projets : » Le traité de Julien B[enda] expire en mars 1933 ; nous verrons à cette époque-là. » C’est précisément la réponse que je voudrais éviter car il m’est très difficile de travailler avec la perspective que la vie matérielle peut cesser de m’être assurée en un si bref délai. O affreux besoin – bourgeois – de sécurité. (A dire dans mes Mémoires.)
A Vendredi et bien amicalement toujours