Vaux-s.mer. par Pontaillac Chte Infre
je vous écris des Charentes, d’où je n’ai pas bougé, contrairement à ce que je vous annonçais dans ma dernière lettre. Laboris causa, car je suis pour le moment à vingt-quatre heures près. Depuis ma dernière lettre, j’ai reçu une réponse de la Revue de Paris, qui, ayant lu ma première partie et mon plan, accepte l’ouvrage. J’ai tout de suite répondu pour prendre date ; cela fera quatre numéros ; je voudrais commencer le 15 novembre ; je n’ai pas encore reçu de réponse, mais, si je commence en effet à cette date, il me faut immédiatement (j’ai écrit à un jeune agrégé d’histoire pour (il me faudra pendant ces quinze jours un jeune spécialiste, licencié ou agrégé d’histoire, comme secrétaire ; j’ai écrit dans ce sens à plusieurs personnes ; verriez-vous quelqu’un ?) – Si la Revue de Paris ne peut commencer à cette date et si j’ai du répit, ne fût-ce que quinze jours, alors mes projets changent ; je pourrais, si cela ne vous dérange pas, vous arriver le 5 ou 6 septembre, peut-être un peu avant, et remonter à Paris vers le 15 ; peut-être j’ai idée que vous
Je vous envoie ci-joint une note sur un ouvrage relatif à la Politique ecclésiastique du Second Empire ; j’aimerais, si elle vous convient, que vous la donniez le plus tôt possible ; mais tous les auteurs vous parlant ainsi .. J’ai reçu, relativement au D[iscours] cohérent, une curieuse lettre de J[ean] Wahl ; je vous l’envoie et aussi la réponse que je lui adresse. Je songe à publier cette réponse sous le titre de lettre à un bergsonien, en y supprimant, bien entendu, ce qu’elle a de trop personnel ; en
Nous n’avons eu ici que de la pluie. Pour moi, cela m’est absolument égal ; je ne quitte pas ma tttable de travail. Mais je pense que vous prenez, vous, de véritttables vacances et que le plein air vous a été possible. Meilleur souvenir à tous deux, et combien je serais heureux de pouvoir bientôt passer quelques jours avec vous.