Bien cher ami. Je ne puis – malheureusement – (car vous d’abord, le hêtre pourpre ensuite, ce sont là grand attraits & grands charmes) aller à Ville d’Avray dimanche.
Le dimanche étant consacré à ces sacrées joies familiales qui sont des joies sacrées. Dommage, dommage car je pars pour l’Auvergne mardi matin...
Alors la joie de vous revoir est remise à un peu plus tard – soit en juillet – soit en septembre. Que de choses à vous dire...
Dans un mouvement d’aveugle & amicale confiance, vous me Recherches de la base et du sommet » (Char m’a envoyé les Poème des deux Années) Vous seriez un ange de me faire adresser ce recueil à l’ile Garo, par Loctudy, Finistère, au fin fond de la Cimmérie où je vais, pour la durée des brumes afin de me guérir de l’Afrique
Très affectueusement à vous