Je reçois d’une écriture qui n’est pas la vôtre ce conte déchiré contre lequel je devais vous envoyer le vrai et je n’ose plus le faire pensant que vous n’êtes pas à Paris ou que vous êtes bien souffrant ou fâché – je ne sais pourquoi –
Enfin donnez-moi si possible de vos nouvelles, et remerciez l’aimable messagère en me croyant toujours
Me voilà pourtant rassurée. J’apprends à l’instant par votre téléphone que vous n’êtes pas malade et que je pourrais si je le voulais vous appeler à 8h ce que je ne ferais que si je comprenais quelque chose à ce désir – le vôtre – de silence et si je ne croyais plus [mot illisible] le respecter !