Je vous réponds tardivement et quand même à la hâte, parce que le temps, n’est-ce pas, le temps, le temps, eh bien mais c’est ma faute. Je suis très content que vous vouliez publier les Clavicules. J’ai donné à Renéville des instructions, je crois, sur la façon dont, si c’était nécessaire, on pourrait les couper : de fort admissibles pis-aller.
Hélas je suis d’une ignorance [rature] lamenttable quant à Goethe : c’est un des grands trous noirs nombreux de ma damnée culture.
Merci, en tout cas. Je suivrai un de ces jours Renéville jusqu’auprès de vous, avec joie.