Non, je n’ai pas reçu votre fameuse lettre. Je n’en connais encore que ce qu’en ont écrit le Figaro, (M. Ch), Rivarol et ce matin Combat. Je serai heureux de lire ce texte. Et peut-être de dire mon mot. Je n’oublie pas 1940, et ce que vous avez été alors.
Sous la cendre fait son trou, si j’ose dire. Mais aucune publicité n’a été
. A bientôt, j’espère. Comment va Germaine. Ici tout le monde va bien et je me prépare à être grand-père cet été….
Je vous embrasse