Voici la lettre assez réticente reçue tout à l’heure de Robert G. N’ayant rien reçu de Gaston G [Gallimard] à la veille de mon départ je lui avais écrit pour lui demander ses intentions quant à la publication de Sous la Cendre. Après votre jugement je ne pensais pas rencontrer de difficultés pour la publication de ce roman suite naturelle, obligatoire de Déroute que G.G [Gaston Gallimard] avait désiré publier en 1945. Celà m’est égal de sortir en janvier 1951, mais j’aimerais une certitude. Je suis sur que si le
J’espère que vous passez de bonnes vacances et que Germaine se fait du bien. Dites-lui combien nous pensons souvent souvent à vous deux ma femme et moi. Ici l’ile est curieuse. La végétation tres « Méditerranée ». Mais la côte, les marais salants, le vent, la lumière, nordiques. C’est un pays tres attachant. J’espère qu’aucune catastrophe politique ne nous rappellera à Paris. Mais il faut que le R.P.F. s’impose dès la rentrée ….
Bien cordialement à vous.