Voici la note sur Marceau.
Nos dernières lettres se sont croisées. Je pense que la rumeur publique vous aura dit ce qu’il advenait de DIMANCHE-MATIN. Nous sommes déjà trois ou quatre à nous en être allés. D’autres semblent devoir nous imiter cette semaine-ci. Il n’est plus guère possible de collaborer à ce journal, dont l’activité et les convictions (?) politiques de son directeur passent les limites du raisonnable, et dont les moyens de financement ne laissent pas d’être assez obscurs.
J’ai donné à la REVUE DE PARIS, pour son prochain numéro, une note sur les Réflexions de Jouhandeau.
À part cela, je me remets à de nouvelles traductions.
Demandez-moi bien entendu ce que vous voulez pour la nrf [Nouvelle Revue Française].