Entendu pour ma [la?] note sur M. de Saint-Pierre (bien d’accord avec vous sur la « qualité » de ce livre ; je crois qu’il n’est pas mauvais de le dire : depuis les Aristocrates on tient – Dieu seul sait pourquoi ! – M. de St-P. [Saint-Pierre] pour un grand romancier) et la notule sur Catherine L. Moore.
Je suis mauvais juge en ce qui concerne la traduction de Bierce. Vous ai-je jamais raconté qu’en 1944 j’avais obtenu non sans mal de la censure allemande l’autorisation de traduire et de publier In the Midst of Life – et que j’en corrigeais les épreuves lorsque… vous savez la suite ?
Oui, je compte bien relancer Michel Mohrt d’ici quelque temps (pour l’instant je termine une traduction pour La Palatine et vais en commencer une autre pour Stock) – et merci de votre appui éventuel. Mais peut-être savez-vous comme moi que la traduction seule nourrit mal son homme (la traduction d’un livre « normal », qui demande approximativement trois mois de travail, est rarement payée plus de 150.000 fr – et encore… À moins que Gallimard ne fasse à ses traducteurs des conditions particulièrement honorables?)
Ce serait donc plutôt des « à-côté » que je souhaiterais trouver. Je sais que c’est très difficile.
PS – J’ai reçu les Cahiers des Saisons .