J’en ai enfin fini avec la traduction du long roman de Norman Mailer (448 pages dactylographiées). J’en aurai sans doute une autre à faire, pour Stock, qui m’occupera cet été. Dimanche-Matin est à nouveau en grande difficulté (on n’y a pas été payé depuis deux mois, alors qu’en janvier-février la situation semblait s’améliorer). Bref, la vie continue…
Projets pour les mois qui viennent : nous irons en Normandie (sauf imprévu) du 15 au 30 juin, et nous passerons le mois d’août dans notre « ermitage » des Ardennes.
J’essaie – et j’essayerai – d’avoir raison de l’espèce de non-vouloir qui, depuis pas mal de temps déjà, me retient d’écrire (autre chose que quelques articles). Je voudrais, durant les mois qui viennent, poursuivre et achever ces Cinq lettres auxquelles je pense depuis trois ans et pour lesquelles j’ai déjà accumulé pas mal de notes et de brouillons. Ne serait-ce que pour faire plaisir à Moucky – et pour lutter contre la tentation du non-agir, le sentiment (vraisembla
J’ai lu avec une espèce d’enchantement, tant le diagnostic me semble juste, Sur une civilisation essoufflée de Ciroan, dans la dernière nrf [Nouvelle Revue Française ].
Il faudrait se voir, d’ici le 15 juin. Vous serait-il possible de venir passer une soirée à la maison ?
J’ai corrigé (et renvoyé) les épreuves de mes notes sur Simenon et Bierce. Que penseriez-vous d’une note de 2 pages sur le Livre des Damnés , de Charles Fort ? Vous seriez gentil de me le dire assez rapidement, car j’ai l’intention de faire de toute manière un papier sur ce très curieux livre – et voudrais éviter les « doublons ». (Mais où diable Defez va-t-il chercher les traducteurs des livres qu’il publie?)
[horizontalement, en bas de page, en rouge] MA