J’ai toujours trouvé un peu bête le rite des vœux de fin d’année. Mais croyez que si je vous adresse (et rien qu’à vous, d’ailleurs…) les miens, les nôtres, ce n’est pas pour sacrifier à une vaine tradition.
Les circonstances ont fait que nous ne nous sommes plus vus depuis bien longtemps. Je le regrette. Je voudrais que très bientôt vous veniez passer un après-midi ou une soirée avec nous. De toute manière, nous pensons souvent à vous, et avec beaucoup d’affection.
La vie (plutôt recluse) suit son cours, au jour le jour. Nous nous en accommoderions assez bien, n’était une insécurité matérielle dont je n’arrive pas à sortir depuis quatre mois. J’imagine qu’on se fait à tout…
Il faudra que je vous raconte mes deux visites récentes à… l’ambassade de Belgique, à laquelle mon ex-femme avait demandé de me « faire des ennuis » et où, au contraire, j’ai noué des rapports on ne peut plus courtois avec l’attaché juridique, manifestement amusé et