Je trouve votre mot au retour de Gilly, où j’ai prolongé mon séjour jusqu’à hier, rien de particulier – hélas ! – n’exigeant ma présence ici.
L’automne savoyard est toujours admirable. Paul va beaucoup mieux. L’y aide une récolte de fruits sans précédent. Lily, toujours charmante, tourmentée, un peu écrasée par ses enfants-vampires. Ils allaient, tous, passer ce dimanche à Lausanne.
Ces deux semaines m’ont, physiquement, un peu « retapé ». J’en avais grand besoin. Il va falloir, à présent, reprendre la course au travail. Denoël m’a demandé une autre traduction de roman « fantastique ». Je suis une légende , dont je vous ai parlé, vient de paraître. Je vous le recommande : il me semble que ce roman (de Richard Matheson) apporte quelque chose de nouveau dans le genre.
Je vous enverrai dans quelques jours la note sur Pierre Boulle.
Et je dois faire, pour la radio, mon « dernier quart d’heure ».
Pour l’instant, c’est tout. Mais je ne suis pas fâché de mieux me porter.
Je vous ai dit, je crois, qu’Amiot-Dumont a finalement consenti à me verser 1 mois d’indemnité, grâce à Roditi ?